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le blog en sucre
5 septembre 2020

Sa langue disjoint le haut de ma fente mouillée...

Le fils de JP m'a laissée sur des draps fripés. Songeuse de sa performance, de sa désinvolture aussi. Un jeune homme que je n'ai pas vu grandir. Il m'avait paru ému lors de ma dernière visite, mais insouciante, je n'y avais pas pris garde. Heureuse pour lui. Le repas du soir m'a réconfortée du bien-être qui règne dans la maison.

Après le dessert fruité, JP m'a invitée à contempler le ciel étoilé, dans le grand parc, sur une couverture, au clair de lune.

Je me suis couverte d'un gros pull, un legging, on ne sait jamais. L'air est humide mais doux. JP m'attendait, assis sur un grand plaid moelleux. Il a préparé un plateau avec de quoi se désaltérer, et quelques sucreries. Un amour d'homme, il pense à tout.

Seuls au monde, on bavarde de tout, le ciel est dégagé, la nuit calme. Il me passe de temps en temps ses lunettes astronomiques. Je ne trouve pas toujours l'étoile dont il parle, il se rapproche de moi, je me colle à lui pour mieux observer l'univers. Une coupe de champagne, puis deux, je me sens bien, JP devient plus pressant. C'est un ami de longue date. Je le charrie et le taquine dès qu'il se colle à moi. Ses bisous dans mon cou me donnent des frissons agréables.

Allongés sur la couverture, nos bras se rapprochent, nos mains se tiennent. Les verres se remplissent, se vident, on rit, on s'amuse à refaire le monde.

JP prend un air sérieux,  il se met sur son coude, je devine son sourire. Sa bouche m'embrasse, sa main glisse sous mon gros pull-over. Ses mains se ferment sur mes seins dénudés. Ma poitrine pointe, je tressaille, ferme les yeux devant l'intensité du plaisir.

JP me chevauche, se couche sur moi. Sa langue se mêle à la mienne, tremblante, je me laisse faire et lui rend son baiser langoureux. Ses hanches ondulent, je ressens un pénis dur sur mon bas-ventre. Ses étreintes ont une ferveur possesive. Dans mon cou ses lèvres s'ouvrent, je cambre d'émotion. Sa main repouuse mon pull. 

Je mets les bras au-dessus de ma tête. Mes seins blancs se voient dans l'obscurité, la faible lumière éclaire les contours.  JP lèche mes mamelons durcis, ses dent mordillent ma peau jusqu'au creux de mon ventre. Il se déplace sur moi, ses genoux encerclent mes jambes. Je chavire quand sa bouche atteint le mont de vénus. Il hume le triangle ou ma fente se calque sous le legging. JP aspire, lèche le tissu fin, puis aventure sa langue sur ma chatte trempée. Sa bouche atteint le mont de vénus, hume le triangle ou ma fente se calque sous le legging.

Ma respiration est saccadée, je le veux très fort, je le tire sur moi, mord ses lèvres, décoiffe ses cheveux, me pends à son cou.

Sa main glisse entre mes cuisses, remonte sur la ceinture élastiquée, se faufile  sous mon pantalon léger. Elle me caresse, presse sur mes lèvres vaginales.

" Tu es moullée ! "

" Oh oui, prends-moi, j'ai envie de toi ! "

Dans le silence de la nuit, JP descend mon legging, il s'arrête sur mon pubis, sa bouche se ferme dans la tiédeur de l'aine.

" Tu n'as pas mis de culotte ? Cochonne...! "

Avides, les mains s'affairent, mon plaisir est intense, je gémis de délice. Femme, je creuse les reins, murmure des mots doux.

" Chut, ou je vais te bâillonner ! "

JP me fait fléchir les jambes, en un tour de main, mon legging est ôté. Ses mains écartent mes genoux, je pousse mon bas-ventre vers lui. JP hume mon odeur de femme excitée. Le bout de sa langue disjoint le haut de ma fente, elle tourne autour de mon clito. Sensible, je sursaute, sa bouche se ferme sur le petit bouton dur, un frisson de passion me traverse, je crie, étouffe mes plaintes  d'émotion. Mon sexe est trempé, JP caresse ma chatte, plonge ses doigts dans ma vulve chaude.

J'ai très chaud. Près de l'orgasme, JP glisse sa grosse verge tendue, sur moi. Le gland énorme écarte ma chatte qui s'ouvre, qui s'élargit. Un plaisir incandescent remonte de mon bas-ventre.

JP bouge, il pousse de plus en plus sa bite en moi. Dans la nuit, j'aperçois son visage aux paupières closes. Ses coups de reins sont rapides entre mes cuisses bien écartées. Il me pénètre fortement, en cadence. Je resserre ma chatte, mon anus, régulièrement, mon coeur bat la chamade.

" Je vais jouir, je vais.... "

JP s'active plus fortement. Il tape, cogne ma chatte serrée, mouillée de plaisir. Je remonte mes fesses vers lui. Il crie, donne de grands coups de reins plus secs.

Dans ses bras, cuisses écartées, bite au fond de mon ventre, je jouis longuement. Je serre le pénis, ma fente le retient et partage  avec lui les spasmes de mon bonheur.

JP a giclé du sperme chaud sous la pression. Mon amant étouffe des éclats de rire, l'étreinte de ma chatte le fait sursauter à chaque fois.

" Chut, arrête, c'est trop bon...! "

La tête entre mes seins, JP se remet doucement. Je ressens le sperme couler entre mes fesses, sur mon anus. Je remonte mes jambes sur les siennes, mes mains tirent la couverture de chaque côté pour le couvrir un peu., pour le protéger.

Enveloppés, nous nous calmons. Comme des fous, nous restons dans la position en riant discrètement. Il roule sur le côté m'entrainant avec lui. Je reste dans ses bras, je me fais toute petite. 

L'émotion, le plaisir, étaient au rendez-vous.

 

© bisou

 

( la suite dans peu )

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