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le blog en sucre

17 mars 2022

Il se masturbe devant la fenêtre

 

La journée est ensoleillée, chaude. Le jardin est inondé de fleurs.

J'ai décidé de m'allonger sur le transat sur la grande terrasse, de terminer mon livre de chevet, surtout de me reposer après quelques jours de travail assez harassants.

J'aime la sensualité des rayons ardents sur ma peau. Ils caressent mon corps, m' inondent. Je me sens féline. Mon maillot noir est petit, j'ai descendu les bretelles de mes épaules pour éviter les traces blanches. Mon slip de bain je l'ai tiré entre mes fesses, il ne couvre que le petit triangle sur mon bas-ventre.

Le soleil brûle, caresse mon épiderme. Chaque centimètre nu, bronze. Mes taches de rousseur criblent ma peau de brune, j'adore, j'abuse. La crème solaire me protège, je suis calme, tranquille.

J'écarte mes jambes un peu repliées, comme une starlette je prends des positions délicates pour bien me nourrir du soleil, sur toutes les parties du corps.

Allongée sur le ventre, somnolente, j'entends un bruit de respiration. Je ne vois personne. Pourtant je distingue un bruit de souffle nerveux, coupé. Derrière mes lunettes de soleil, sans trop bouger ma tête, je regarde, j'espionne. Je bouge mes hanches, soulève mon fessier, disjoint mes jambes. Le halètement devient plus présent, plus éminent.

Après quelque instant je m'étire, me retourne. Un rideau bouge, une forme sombre disparait derrière le rideau clair, puis redevient visible, plus rien ne bouge.

C'est un voisin à l'étage. Je fais semblant de ne pas le voir, derrière mes lunettes aux verres noires il ne peut savoir où mon regard se pose. Je ne bouge plus, reste dans une position aguichante. La tête un peu sur le côté, les jambes légèrement repliées, cuisses à l'écart. Je veux voir la réaction, parce que moi-même je ressens une excitation. Je contemple avec avidité.

Le voilage bouge, il couvre légèrement la tête, copie le corps doucement. Il se masturbe. Sa main s'active, il grogne, murmure. Un gland, une queue se démarque sous le voilage. Il bande fortement, ses mouvements de va et vient n'arrêtent pas.

Troublée et émoustillée, je ressens des chatouillements. Ma chatte mouille. Excitée de voir un homme se branler, je prends du plaisir. Je me retourne sur le ventre, tire un peu plus ma petite culotte dans la raie de mes fesses rebondies. J'écarte mes cuisses, mon sexe est à peine caché par le tissu, il est bien visible. Je ressens l'étoffe qui colle sur mes lèvres vaginales. Je divague comme une catin, ma jouissance est au comble.

Je me retourne sur le dos, je descends le maillot jusqu' au cercle brun de mes tétons.

Je roule mon slip de bain sur les hanches, remets de la crème solaire sur les jambes en écartant les cuisses. Ma fente se dessine sous le tissu, je suis fébrile. Je masse le mont de vénus et laisse mes doigts se hasarder sur ma chatte trempée. Indécente, salope, je pose une cuisse sur

le côté, le creux de mon aine se termine vers ma chatte. Ma main tire le slip de bain qui rentre dans ma fente. Cet homme, rien qu'en me regardant a allumé en moi un incendie brûlant. Mon émoi est activé.

Le voisin est stimulé. Je pose mon regard fasciné sur ses deux mains qui entourent son pénis. Il se flatte en tenant ses testicules d'une main tandis que l'autre tourne vivement sur le gland rouge.

Je me retourne pour offrir à son regard mes fesses rondes. Mon maillot tiré dans ma fente, écarte les lèvres. Aussi excitée que lui, mon plaisir est grand. J'ondule mes reins doucement, provocante, aguichante, indécente.

L'homme éjacule, je tourne mon regard vers lui, ses mains sont collées au rideau, il ronronne de plaisir avec de petits cris sourds, étouffés. Il disparait du voilage fin.

Instant calme, je ne bouge plus, j'attends le cœur battant, la tempe sensible.

Je me relève, habille ma taille avec un paréo, quitte le transat.

Dans ma chambre, extrêmement excitée par l'image de cet homme se masturbant en me regardant, les caresses de ma main déclenchent la jouissance. L'orgasme s'étale. Je suis bien, calme et heureuse.

 

© bisou

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16 mars 2022

Kim, le dernier black, surprise

Avant notre départ nous nous retrouvons Val et moi et toutes les personnes du voyage en Afrique de l'Ouest, dans la grande salle pour le pot de l'amitié. Un au revoir fêté, une sorte de familiarité avec les gens de l'hôtel.

Des billets circulent avec des numéros de téléphone. Nous nous promettons de se revoir, de refaire une sortie à l'identique, des vacances hautes en rencontres. On se bouscule pour donner la dernière poignée de mains, le dernier bisou.

Par maladresse ou mégarde j'ai taché mon chemisier avec un jus de fruits. Discrètement je m'absente pour remonter dans ma chambre, espérant nettoyer la tache.

Dans la salle de bain un jeune homme lave déjà les murs et le sol. Une jeune fille change les draps du lit. Le jeune s'excuse, veut partir. Je lui demande de rester, je lui dit que j'ai besoin de lui, que j'ai besoin d'aide. Devant lui,  j'ouvre les boutons en nacre de mon corsage La poitrine presque découverte, je vais tout près de lui pour lui montrer mon désarroi. Il ne comprend pas ce que je veux, ses yeux sont grands ouverts, son regard trouble. Il s'agite, lorgne mes seins sous la dentelle rouge.

Je lui demande un petit chiffon, ses gestes sont désordonnés.. Je m'approche de lui, il recule. Je comprends qu'il ne parle pas le Français. Stressée, j'enlève ma blouse, lui montre la tache sur le tissu.

Le jeune homme me regarde, je ressens son souffle sur mon épaule. Il a les yeux tellement doux. Adopté, il glisse ses doigts délicatement sur ma peau. Je sursaute, le regarde, je ressens son émotion, il est tactile. Ses mains me frôlent sans brutalité.

Toute mon énergie s'est envolée. Il est d'une sensibilité extrême. Il discerne mon émoi.

" Peur Madame, j'ai eu peur!! Je suis Kim, mon prénom! "

" Mais non, je ne voulais pas te faire peur, j'ai besoi de toi , svp! "

Mon coeur s'accélère. Il est tout près de moi, jeune, beau gosse, des cils de velours, un regard qui caresse. Ses yeux dans les miens ne me quittent pas. Il ose prendre ma taille, je me laisse faire. Enhardi, il pose une main sur ma poitrine, risque son doigt à suivre le bord de mon soutien-gorge. Je frissonne, me laisse attoucher, ferme les paupières. Audacieuse, je descends ma main sur son corps, vers son pantalon. Il recule un peu, je le retiens. Kim s'empresse de glisser sa main sous mon sous-vêtement, elle se ferme sur un  sein et déplace le balconnet. Ma poitrine est nue. Il profite de me caresser le bout des tétons. Affolée, je perds la raison.

Kim m'embrasse frénétiquement, baisse son pantalon. Ses dents mordillent la peau de ma poitrine pointée. Par-dessus son épaule, je remarque la jeune fille dans le reflet du miroir de la chambre. En tablier blanc, elle serre un oreiller sous son bras. Elle nous regarde, éberluée.

Kim se relève, ses lèvres me mangent. Je lui caresse le ventre, les hanches étroites. Je glisse ma main sous son slip, le baisse vers ses genoux.

Un sexe bien dur, des couilles bien rondes et imberbes s'offrent à mes doigts. Je l'encourage, lui prends la main pour la descendre dans ma petite culotte rouge, sur ma chatte rasée.

Un doigt s'aventure dans ma fente humide, puis deux. Kim ferme les yeux, sa main fouille mon sexe, se perdent dans mon vagin trempé. Je roule ma culotte sur mes cuisses.

Dans la chambre la jeune fille s'est assise sur le lit, fascinée, muette, l'oreiller sur son ventre.

Les mains sur les carreaux de la salle d'eau, cambrée, je me donne à la verge dure. Kim bande fort, sa queue balance, bondit de plaisir.

Le pénis raide pousse sur ma chatte trempée, le dard s'enfonce doucement. Kim tient mes mains plaquées sur la faïence. Sa verge défonce ma fente chaude. Je creuse ma taille plus fortement, serre fermement mes muscles pour retenir au plus profond le pénis jeune et tendue. 

Mon plaisir explose, ma chatte a des contractions. Kim gicle la semence en sanglotant. Les secousses de la jouissance déferlent dans nos ventres. Quel imprévu...

Coulante de sperme, je me déshabille complètement. La douche prise, mon chemisier souillé, je vais rejoindre Val dans le hall laissant mon dernier amant inattendu d'Afrique, sur les carreaux de la salle de bain.

15 mars 2022

Madi et Assa, sodomie

 

Val est partie pour faire du shopping, sa peau a légèrement rougit, elle a préféré quitter le transat.

De retour de la plage, la peau halée, encore du sable entre les doigts de pieds je me rends dans une boutique exotique, flâner un peu avant de retourner à l’appartement.

Madi me suit, porte mon panier d’achats. Il est patient comme d’habitude. Un jeune l’accompagne, reste près de lui. Assa est assez mignon, il est intelligent, me parle du continent comme un livre ouvert. Je suis fascinée  par son phrasé et sa culture.

Dans le couloir, les hommes chahutent. Galant, Madi m’aide, il débarrasse le panier des courses, Assa range les denrées au bon endroit dans la cuisine,  les souvenirs achetés sur la commode du salon. Je les laisse faire.

Sous la douche tiède, Madi se propose de me savonner, j’accepte. Je m’abandonne à ses mains douces bienfaisantes qui ne négligent aucune petite courbe de mon corps. Il m’essuie avec un grand drap de bain, me couvre le corps, noue le linge à la façon africaine. Après avoir enveloppé mes cheveux longs dans une serviette blanche, je me retrouve sur le canapé, une tasse de café est prête, préparée par Assa. Les deux noirs sont silencieux, discrets.

Madi me demande la permission d’une douche qu’il va prendre avec son ami. Souriante, j’acquiesce. Il vient vers moi, embrasse mon front. La paume de ses mains est douce, elle caresse mes jambes nues. Je claque mes doigts sur ses fesses, Madi sursaute. Ma main remonte le long d’une de ses cuisses, je touche son aine, sa verge. Je suis d’humeur spontanée, émotionnée. Assa regarde, seul le blanc de ses yeux et de ses dents me surprend, il pose sa main sur son bas-ventre pour cacher une érection qui commence à apparaître.

«  File, allez, prenez la douche ! »

Les deux hommes partent dans la salle de bain, je me relève de mon canapé, je vais les épier. Je m’approche, regarde leurs corps débarrassés de leurs vêtements légers. Affolée de voir ces sexes longs, noirs, décalottés, je retourne dans le salon, attends avec impatience de les revoir près de moi. Bouleversée  mon cœur s’accélère, je ressens un bien-être. Mon bas-ventre chatouille, ma chatte est en émoi total.

Madi le premier s’approche, une serviette nouée autour de sa taille, Assa apparaît dans la même tenue. Je me relève, m’assieds sur une chaise. Je leur fait signe de venir près de moi. Ma main ouvre le nœud du linge autour de leurs hanches. Emue, excitée, je caresse les queues, passe ma main sur les bourses. Assa pour son jeune âge, a un pénis large. Il bande vite. Sa verge tendue est presque plate, droite comme un bâton. Madi doit tenir sa bite à la base, longue et courbée elle est plus grosse, plus veineuse.

Je m’approche, mes lèvres se ferment sur les glands ronds couleur rouge vin. J'enroule ma langue autour des bites, suce, léchouille les pieux tendus. Mes doigts caressent, masturbent les pénis raides.

Ma chatte mouille, mon bas-ventre chauffe. L’odeur des verges est forte, musquée. Je suçote les bourses serrées. Mes doigts effleurent les fesses dures, les anus ridés. Ma cyprine coule. e. Passionnée  je lèche, engloutis les bites, passe d'une queue à l'autre. Ma langue aspire de bas en haut, mes mains touchent, malaxent les testicules aux poils frisés et rêches. Ma peau bronzée est blanche à côté de leurs peaux noires.  Madi défait le nœud de mon grand drap de bain, nue je vais vers la soumission. Madi me relève du siège, il embrasse ma bouche, fébrile je n’ai aucune envie de défense.

Ma chatte est imbibée,  Assa masturbe sa verge ébène,  ses murmures sont plaintifs, l’image des bites tendues me font perdre l’esprit. Je délire, me couche sur le ventre, place un oreiller sous mes hanches, creuse mon dos comme une catin. Mon cul, ma chatte sont offerts aux deux hommes. Je veux être dominée, je fantasme. Madi câline mon dos, Assa ferme ses mains sur mes fesses, il malaxe la chair, écarte les globes. Madi en profite, lèche mon anus, pousse sa langue dans l’étui serré.

Sa langue se perd sur ma chatte, ma mouille l’encourage. Ses doigts s’enfoncent, recueillent la cyprine sur mon anus qui s’ouvre un peu. Je détends mes muscles, j’ai une forte envie de pénétration, de sodomie. Madi le comprend. Ma taille ondule, mes fesses écartées par les mains d’ Assa vont vers son visage. Madi déroule un préservatif sur sa belle queue bandée. Mes yeux se révulsent, je transpire en voyant Assa fignoler sa bite large.

Madi lèche la peau brune de ma raie du cul, sa langue butine de ma mouille chaude, la dépose sur mon trou de plus en plus souple. Je délire, veut ce coït anal.

«  Prends moi, encule moi Madi « 

Agenouillé entre mes cuisses, je discerne la bite raide, elle glisse entre mon cul, le gland rond pousse sur le muscle, un doigt dilate le rectum. Un premier orgasme me secoue. Violement je compresse le majeur. Madi masturbe l’étui, caresse ma chatte pour détendre le plaisir. Son pénis reprend le désir de fornication. Sa bite appuie sur mon anus, je me retiens aux draps du lit, serre mes poings. Euphorique, je crie la douleur et la volupté mélangée. La verge élargit mon anus, je jouis longuement.  Madi est tendre. Doucement il presse contre mon cul, relâche, reprend l’ouverture pour l’agrandir.

Le pénis veineux s’enfonce, me dilate d’une poussée rectiligne. Je pousse mes reins vers la queue, je m’empale fermement sur la tige raide, le plaisir est combiné à une souffrance, je ne peux discerner, La jouissance est proche. Assa , les mains sous mon ventre, caresse mon sexe distendu par la queue de son ami. Il triture, pince mon clitoris, enfonce ses doigts dans ma fente trempée.

La force de mes coups de reins fait plier la bite de Madi. Il serre fortement la base avec ses deux mains pour garder la raideur du pénis.

Madi retient maintenant ma taille, mes fesses se lèvent.  Il fourre rapidement mon rectum échauffé. Je jouis, mes muscles se contractent, je sanglote de bonheur. Je m’écroule sur la main d’Assa, Madi à suivit mon mouvement, il enlève l’oreiller, lentement il retire son pénis de mon cul.

Quelques contractions s’ébranlent encore dans mon bas-ventre. Ma chatte, mon cul, brûlent. Madi essuie avec un linge mouillé mon anus gonflé. Des soubresauts agréables, indomptés, déferlent.

Petit à petit je m’éveille, reprends mes esprits, les hommes sont autour de moi, calmes et  affectés. Leurs mains cajolent ma peau, des doigts suivent l’arrêt du bronzage, les traces blanches du maillot. Les blacks se rhabillent, je me lève. Sous la douche je calme l’assaut ressentit, mes ardeurs comblées.

15 mars 2022

Madi le black, souvenir chaud

Lors de vacances passées en Afrique de l’Ouest, les journées écoulées sur la plage sont amusantes. Val mon amie et moi-même, installées sur les transats, en retrait du bord de plage pour mieux admirer le paysage remarquent de jeunes hommes qui proposent leurs services.

Des massages, des soirées, ou simplement de la compagnie, tout nous était proposés. Les autres femmes de notre groupe se laissent une à une, tenter. Nous sommes rassurées.

L'un deux, assidu, très poli, charmant nous propose de nous servir. Il nous émoustille, nous surprend par sa douceur. Ses mains massent nos corps avec l'huile solaire. Il passe ses doigts sous le maillot pour effleurer nos parties intimes sans insister.

J'éclate de rire, Val comprends mon émotion.  Elle s'esclaffe à gorge déployée, j'approuve ses sentiments. Excitées, sous la douche, on se refait un monde inconnu, dissimulé. La tentation est grande et forte.

 

Le soir il nous désire, nous fait visiter des endroits hors circuit. Nous dansons, on s'amuse.

Le lendemain Madi patiente devant l'hôtel. De la terrasse je l'invite pour prendre le petit déjeuner en notre compagnie. Courtois le jeune homme nous éblouit par son savoir, explique la vie chez lui, raconte ses malheurs mais aussi, va droit au but.

Il partage son corps, son intimité. Il attend avec patience les demandes de femmes, il se propose de devenir notre sexe boy.

Nous l'écoutons ébahies, émoustillées quand il explique qu'il peut sans problème être notre boy, à toutes les deux.

Madi nous raccompagne à l'hôtel, nous propose d'assouvir nos besoins de câlins, de tendresse. Il peut s'occuper de deux femmes à la fois. Curieuses et tentées par l'expérience, on accepte de le recevoir dans notre appartement.

Val me questionne, je m'interroge. Nos délires, notre bonne humeur nous transportent. L'idée est adoptée, admise.

Dès son arrivée, il prend une douche, nu il nous sert le café. Son corps musclé a de petites fesses bien dures, un long et beau pénis noir pend sur des testicules ronds. Mon amie la première, touche la verge qui de suite sursaute. Elle passe sa main sur la hampe couleur ébène. Le sexe palpite, se dresse. Le gland est rose, la peau plus claire, il est décalotté le prépuce tiré par le frein.

Sur le lit, mon amie s'allonge sur le ventre. Elle lui ordonne des caresses. Ses grandes et fines jambes écartées, il s'agenouille entre les cuisses, dans sa main la queue raide balaye les fesses, tambourine la raie à plusieurs reprises. Elle écarte les cuisses, son sexe rasé se fait heurter par la verge noire devenue plus dure.

Les fines lèvres de la chatte sont entre ouvertes et humides. Mon amie se retourne, le black se relève un peu, pousse sa queue entre les petits seins de Val qui paraissent blancs à côté du bâton d'ébène. Les deux mains noires pressent les seins, pincent les tétons. La longue queue bande, elle est courbée vers le haut.

 Les cuisses écartées de mon amie laissent voir un sexe ouvert. La scène m'excite, je me caresse la chatte avec un gode en verre à anneaux. Je l'enfonce dans ma fente ouverte, mouillée. Ma main touche mes seins pointés.

L'homme rapproche ses jambes l'une contre l'autre, se met entre les cuisses de mon amie. Il frappe le mont de vénus avec sa verge tendue. Le gland glisse entre les lèvres de sa chatte. Le noir frotte son pénis dans la mouille. Mon amie gémit de plaisir, elle lui demande de mettre un préservatif sur sa verge dressée.

Le black déroule le condom d'un geste précis. Il approche les fesses de mon amie vers son bassin, d'un seul coup il enfonce le pénis dans la chatte trempée. La moitié de la queue disparait dans la fente. Sauvagement il lui enfonce la grosse bite de plus en plus vite.

Mon amie savoure la verge, elle crie la jouissance, s'arc-boute pour mieux ressentir le gland épais en elle. Etourdie par le plaisir, Val s'abandonne, ferme les yeux.

Elle se laisse retomber sur le lit, demande à son amant de s'occuper de moi. Il ôte le préservatif pour en remettre un autre.

 Assise sur le grand lit, il vient devant moi. Sa verge noire balance devant ma bouche. Mes lèvres s'ouvrent en grand, je ne peux avaler la bite, le membre est énorme. Je suce, j'aspire et lèche le pénis ébène. Il s'enfonce un peu plus loin vers ma gorge. Ma luette tremble, la bite s'enlise.

 Madi se retire, serre la base de sa queue fortement. Il gémit, tremble.

La verge veineuse, dure, tourne autour de mes seins, caresse les mamelons. Elle revient s'engloutir dans ma bouche chaude.

Je me lève, me tourne, agenouillée je lui offre mes fesses. Les mains de Madi écartent les lèvres de ma chatte, il se baisse lèche ma mouille, lape mon anus et mes fesses, Val encourage le black, caresse mon visage, mes seins opulents.

Madi tient sa bite avec les deux mains, le dard glisse sur mon anus, s'enfonce entre les lèvres de ma fente. Il étire ma vulve chaude, s'enfonce dans mon ventre frémissant.

 A grands coups de bassin le phallus entre, sort de mon sexe chaud. Ma chatte est étirée.  L'odeur de la chatte mouillée, du mâle en rut flotte dans la pièce. Val m'embrasse, stimulée, elle masturbe sa chatte avec ses doigts.

 

Mon vagin a des contractions, des spasmes profonds se multiplient sur la verge enfoncée. Mon plaisir est vigoureux, Madi ressent mon orgasme, il accélère la cadence, dans un murmure il éjacule dans le condom.

Dévoué, Madi, en silence se retire. Le latex plus clair sur sa peau d'ébène pend au bout de sa queue avec le sperme.

Il se lève, part dans la salle de bain. Il revient vers nous. Val se couche à côté de moi.

 Il revient vers nous, doucement, avec quelques serviettes éponges, il lave nos sexes, purifie nos parties intimes avant de nous laisser et de repartir.

12 mars 2022

Suisse, sur le lit de l'hôtel avec le patron

J'aime les voyages, partir au gré de mes envies, flâner dans les expos. Curieuse, intéressée par la beauté de chaque pays et ville, passionnée par les habitants qui y résident aussi. Mon métier me permet de mettre les voiles, de découvrir différentes ethnies.

Je suis arrivée en Suisse. Mon hôtel est simple, propre, un vrai petit cocon de douceur. La ville de Bâle est très étendue. D'un côté la vieille ville médiévale avec de petites échoppes typiques, des ruelles avec des maisons à pans et beaucoup d'hôtels particuliers.

De l'autre côté du Rhin, une nouvelle agglomération avec de grands immeubles, des commerces de luxe, des quartiers d'affaires et des espaces verts. Beaucoup de musées à visiter, la ville est en constante ébullition. La jeunesse est présente dans les Universités et les rues.

Quand je reviens à l'hôtel après mes sorties, le patron m'accueille à chaque fois avec un grand sourire. Il se presse pour appuyer sur le bouton de l'ascenceur avant moi, il m'escorte parfois jusqu'a mon étage. Souvent, comme par hasard il se trouve dans le couloir, pas loin de ma chambre. Il est alors tellement charmant et gracieux. Son français très bon, je ris quand il mélange le dialecte suisse alémanique et les expressions françaises. Adorable petit bout cet homme.

Je rentre de ma sortie au musée des Beaux-Arts, c'est ce jour-là que j'ai trouvé devant ma porte une rose rouge. Surprise, je regarde autour de moi, le couloir est éclairé, il n'y a personne, pas d'âme qui vive.

Sur l'étagère de ma salle de bains je prends un verre, plonge la tige dans un peu d'eau. J' hume l'odeur délicate de la fleur, pense à la personne qui a eu cette attention charmante. Je pose le bouton rouge sur ma table, caresse le velouté des pétales.

J'ai un doute, sourit même à l'idée sur mon soupçon.

Aujourd'hui j'ai visité mon énième musée et ce soir, je me sens un peu lasse, mes pieds sont échauffés. J'ai commandé un léger repas au petit patron, précisant que je vais dîner dans ma chambre. Il me regarde surpris, ses joues rougissent. Il baisse ses yeux, sourit.

Je me prélasse sous la douche, puis un livre entre les mains, la télé allumée, pieds nus, mon corps enveloppé dans un peignoir blanc, je me vautre sur le lit, oreillers mis en boule sous ma tête.

Il est bientôt 20h, je suis bien.

On toque à la porte, j'annonce que l'on peut entrer, j'attends mon repas. C'est le patron lui-même. Il pose un grand plateau sur la table, se retourne vers moi, un large sourire aux lèvres. Les yeux remplis de malice, il me demande s'il pouvait m'être agréable. Il s'approche de mon lit, prend ma main et me fait un baisemain attentif.

Je m'assieds sur le bord de la couche, le remercie beaucoup pour la jolie rose rouge. L'homme rougit. Debout, les mains sur la poitrine, il attend. Je me relève, j'ose l'embrasser sur ses joues. Tétanisé, il ne bouge plus, il reluque mon échancrure, la peau de ma poitrine sous le peignoir. Je me hasarde, risque de petits bisous vers son cou.

Bien portant, dodu, pas très grand, le coeur sur la main, le patron tremble, m'empoigne gentiment, timidement. Maladroitement il m'attire sur lui, ses lèvres ne finissent pas d'embrasser ma peau, dénudant une épaule et le haut de mes seins, sa bouche atteins le creux. Un peu gauche, il prend un plaisir fou à poser ses lèvres partout, le décolleté s'agrandit, ma poitrine est libérée de toute protection.

L'homme fait un arrêt brutal sur mes tétons durs. Comme un bébé il suce, aspire fortement. Mes mamelons sont à la limite de la douleur, je l'esquive, éclate de rire, le repousse un peu.

Le patron ne bouge plus, devant moi il est penaud. Je m'approche gentiment, lui donne des bisous coquins sur la bouche. Il attend les paupières fermées, sa posture m'invite pourtant à continuer.

Je frôle son ventre bedonnant, il sursaute, j'ouvre le ceinturon en cuir, déboutonne la braguette, l'homme a la respiration coupée, son visage est rubicond, il suffoque.

Quelques mots peinent à sortir de sa bouche. Comme un prisonnier il est sans défense, adorable, sans méchanceté.

Mon corps n'est que plaisir. Enhardie je m'agenouille, je ne le quitte pas des yeux, j'aime ce silence.

Mes mains laissent glisser le boxer noir, une verge molle s'échappe. Je respire la toison grise sur son pubis. Il sent la douche fraîche, le savon parfumé. Le pénis devient plus raide, des frissons parcourent mon dos.

Le patron reste muet, seuls ses yeux vitreux, ses mains, implorent. Il les posent sur ma tête, pousse mon visage sur sa bite. Ma langue lèche la verge semi-pendante sur toute sa longueur. Mes doigts soupèsent les bourses bien rondes. Je remonte sur le pénis qui prend forme et grosseur. La bite n'est pas très grande. Calotté, le gland est doux.

L'homme apprécie, effarouché il murmure des encouragements, il parle de son confort, de son plaisir. Ma bouche s'ouvre, ma langue recueille le dard encore timide. Maîtresse de la situation, je m'excite de jouer ce rôle. Je lèche, suce cette verge qui a une odeur de bébé. Je caresse les testicules tendrement. J'aspire toute la longueur de la bite au fond de ma gorge, ma langue tourne autour du sexe  devenu raide et fièrement érigé.

Mon amant se baisse pour me faire lever. Mon regard se pose sur le grand miroir de la chambre, j'adore l'image que je vois, cet homme tranquille au ventre rond, debout dans cette pièce, la bite droite, horizontale. Il m'entoure de ses bras, m'entraîne sur le lit défait. Sans me quitter des yeux, il me dit ;

" J'en avais envie dès le jour premier, je suis timide, un grand timide ! "

Les gestes désordonnés, la respiration forte et bruyante, il me demande de m'allonger sur le rebord du lit.

Je m'allonge, mon peignoir s'ouvre entièrement, mon sexe est mouillé de plaisir, mes doigts caressent ma chatte. Mon amant Suisse se met à genoux. Il plonge son visage sur ma fente et avec ardeur, lèche mes lèvres vaginales. Il goûte, fourre mon petit trou. Exquis, il est d'une douceur remarquable, mielleuse.

Ses mains attirent mes fesses sur le bord de la couche, les pieds posés au sol, j'écarte mes cuisses, à l'extrême. Le patron se relève, mains sur sa bite qui bande. Fasciné il contemple ma chatte, sourire aux lèvres. Il s'approche enfin, s'agenouille entre mes jambes.

Son sexe frappe ma fente trempée. Doucement il place le gland devant ma grotte avide, enfonce sa verge droite au fond de mon antre. Son pouce triture mon clito, ses doigts suivent le contour de sa verge engloutie, contournent mon sexe rempli.

J'adore sa lenteur, sa douceur, sa constance. Il me baise longuement avec des mouvements de pénétration rythmée. Parfois il me ramène contre lui, ses coups de reins me poussent sur le lit. Mon plaisir est atteint, surprenant, répété. En confiance totale je savoure.

Son visage marque la jouissance naissante et montante. Il a les yeux fermés. Dans un soubresaut il éjacule dans ma chatte. Il se retire aussitôt, gicle les dernières gouttes de sperme sur mon ventre et mes seins.

Mon amant Suisse tord sa verge avec des gémissements, il la frappe sur ma peau. Ses paupières s'ouvrent pour contempler mon corps luisant de foutre.

Comme un petit garçon, il s'excuse. Confus, il me prend dans ses bras comme pour me protéger. Avec le drap blanc, il essuie toutes les traces de sperme sur mon corps. Je le taquine en riant, pousse mes poings dans ses côtes.

Tendrement il m'aide à me relever, éperdu de bonheur, il embrasse mon front.

 

© bisou

 

 

 

 

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2 juin 2021

En levrette, sur le tapis.....

 
 
Dès le réveil, j'ai ressenti des émotions. Mon ami rentre aujourd'hui d'une longue semaine de vacances, il m'a manqué. Je me suis mise en petite culotte à volants pour ne pas être serré, un léger chemisier en voile sur mes épaules, je veux le séduire.
Il fait lourd, le temps est orageux, j'ai laissé la porte fenêtre du salon grande ouverte, côté jardin, l'air est plus frais.
Mon courrier, mes journaux entassés sur la table basse, je commence à lire les nouvelles. Une lettre tombe, je me mets à genoux pour la ramasser, elle a glissé sous le canapé.
Je reste couchée sur le grand tapis, attrape toute la messagerie, et, en vrac, la jette au sol. Je suis bien, me prélasse avant de recommencer à lire, ranger petit à petit les lettres, les journaux. Une voiture s'annonce dans la cour. C'est lui, enfin.
 " Bonjour !  Tu m'as manqué "
Mon ami vient vers moi. Il se baisse, je me lève un peu, embrasse sa bouche souriante. Il me tend les bras en se levant, j'attrape ses mains, il me tire vers lui, dans ses bras je me fais câline. Il me mobilise entièrement, je fonds dans ses bras qui me serrent fortement contre lui.  Sa bouche cherche mes lèvres pour un baiser chaud ou nos langues se mêlent.  Une main masse mon sein gauche, effleure mon sein droit, les tétons durcissent. J'ai subitement très chaud.
" J'ai envie de toi, de ton sexe, de ta grosse queue ! "
Ma main se faufile sous le short de mon amant, elle frotte sa verge épaisse, je coulisse la peau, son gland se décalotte, ma paume englobe le prépuce et la hampe chaude qui se gorge de sang. La bite est raide.
Mon ami baisse son bermuda, sort un pénis tendu. Il me pousse sur le fauteuil, j'écarte mes cuisses, pose mes jambes sur les accoudoirs. Mon amant s'agenouille entre mes cuisses ouvertes. Ses mains soulèvent mon bassin, je glisse vers l'extrême bord de l'assise. Ses doigts écartent le tissu léger de ma culotte en soie rose, ma chatte mouille, mon vagin est chaud. 
Mon amant lèche ma fente de bas en haut, la langue écarte, elle plonge dans ma vulve mouillée. Mon amant mordille mes chairs rougies par l'excitation. Je râle de plaisir.
Il se relève, approche sa verge raide sur mon trou trempé de mouille. La queue écarte mes lèvres vaginales.
Son regard lubrique trahit sa force de mâle. Longtemps immobile, il me dévisage avec des yeux sombres. 
D'un seul coup de hanche, il me pénètre brutalement.  Ma fente chaude est fourrée profondément. Je déraisonne, le plaisir, la jouissance approche. La verge est prise, je serre mon vagin. Compressée, la bite pistonne bestialement ma foufoune.
De temps en temps, mon ami reste immobile en moi, bouge très peu. Je suis arc-boutée, je me retiens sur le fauteuil, lui offre la vue de ma chatte. Il regarde son pénis entrer et sortir de ma fente trempée.  Salope, mes doigts écartent mes lèvres vaginales, mon index titille mon clito dur.
Ses genoux se posent vers les accoudoirs. Il enlève mes doigts, prend le relais, caresse le tour de ma chatte. Son index tourne autour de mon clito, presse cette zone sensible de plus en plus vite. La paume de sa main s'abat sur le petit bouton dur, je jouis de suite en criant de plaisir. Je mouille sous les spasmes incontrôlés, sur la queue raide prise au piège.
Mon ami n'a pas éjaculé, il sait me prendre, il en profite pour me baiser plusieurs fois dans la journée.
Il ressort son pénis de ma fente, je m'écroule au sol, il me suit. Moment calme, moment de tendresse.
Ensemble, sur le tapis, le courrier est ouvert, les gros titres des journaux sont lus. Les mains de mon amant sont baladeuses, il profite de caresser ma peau nue, de se masturber le pénis qui ne débande plus.
Je me suis mise à quatre pattes pour mieux lire les quelques cartes postales. Le cul en l'air, les reins cambrés, sur les coudes, je lis à haute voix.
Mon ami se relève, regarde ma posture, un désir violent fait bouger sa bite rigide.  Il se met derrière moi, tape sa queue sur mon anus, entre mes cuisses.  J'ondule mon bassin, provoque, aguiche comme une trainée.
Comme un animal il veut copuler, comme un chien il cogne son bassin, sa bite, contre ma chatte.
Il descend mon slip sur mes cuisses. Je gémis en ressentant glisser un doigt dans ma fente chaude. Son sexe est dressé. La pointe durcie de mes seins qui ballottent,  effleure le tapis moelleux, je frissonne.
Je cambre mes reins. En levrette, fesses et vulve mouillées offertes, je ressens le gland lisse qui pousse, qui entre dans ma chatte. Sous la peau douce, il est dur comme une lance en fer blanc. Il frotte mon point G. Je ressens le plaisir venir, instant de bonheur absolu, mon corps se crispe, des étincelles éclatent dans mon bas-ventre, dans ma tête. Frémissante, j'explose, la jouissance m'ébranle. Femme fontaine je gicle ma cyprine sur sa queue.
Mon amant assène des coups de reins puissants dans mon antre bouillant.  Sa verge va et vient rapidement dans mon vagin. Sa main claque mes fesses rondes, je ressens la brûlure sur ma peau.
Mon amant pousse son index dans mon cul. Mon anus s'ouvre, il doigte ma pastille brune, ressent sa propre queue qui coulisse dans ma fente.
Ensemble, en petites cuillères, sexes mouillés, nous reprenons notre souffle, dans la chaleur de cette journée de printemps.
©bisou
12 septembre 2020

Sur le capot, son gland pousse, écarte ma fente...

Ne dit-on pas que toutes les bonnes choses ont une fin ?

Après la douche réconfortante, je prépare mon Vanity, des affaires que j'ai acheté sur place et des cadeaux que je vais distribuer à ma famille. Un à un, je les dépose près de la porte, termine mes préparations. Un peu lasse, pensive, je m'allonge sur le lit, attends l'heure du repas pour descendre en même temps quelques sacs remplis de souvenirs.

Un petit coup timide toque à la porte. JP entre et s'allonge près de moi. Les mains croisés sur le torse, les pieds croisés très fortement comme pour aténuer une envie pressante, il me raconte avec humour, quelques petites anecdotes des mois passés. Il me demande aussi si son fils Luc était respectueux avec moi, je le tranquilise, avec un mouvement de la tête affirmatif je lui dis que tout était positif, que son fils a changé, qu'il s'est transformé en homme. Je souris, friponne et polissonne, éclate de rire comme une espiègle.

Je commence à lui parler de notre escapade, mais JP est noyé dans ses récits. Il raconte à merveille des histoires que je ne peux pas croire, il taquine, houspille quant à la place que je lui prête sur le lit près de moi. J'enfonce mon poing dans ses côtes, il se tord comme un enfant, je l'embrasse, mes doigts sont taquins, mon regard malicieux.

D'un bond il se lève, fait le tour du lit, je le suis du regard, m'assieds sur le bord de la couche.

" Viens, je t'aide. Je descends des affaires maintenant, les grands paquets ce sera pour ce soir. Sniff, tu pars ? tu pars vraiment ? tu ne veux pas rester plus longtemps ? "

Son regard triste se pose sur moi, il est presque bouleversé.

Il a l'air troublé, agité. Je pars dans la salle de bain remettre un peu de rouge sur ma bouche. Dans le miroir, je remarque JP un peu nerveux.

Il a une bosse sous son pantalon, elle déforme la braguette. Furtivement, sa main remet en place un pénis tendu. Je m'amuse. Il cache une érection, je feins de ne pas le voir.

Amoureusement, féline, je me colle sur lui, il tombe vers la porte, j'embrasse ses lèvres avec amour, calque mon corps sur le sien.

Il s'échappe de mes bras, se courbe vers l'avant pour dissimuler la raideur. JP ramasse les sacs, il se force à porter plus que prévu. Je ris, l'aide, l'agace en posant mes mains sur son corps. Non sans mal, JP réussi à se faufiler dans le couloir, il descend l'escalier en murmurant.

" Tu vas le payer petite garce, Ahhh !! tu t'amuses? Attends un peu ! "

Je n'arrête pas de le charrier gentiment, tendrement.

" Qu'est-ce que tu as ? Je veux savoir, dis-moi tout ? Tu caches quelque chose ? "

" Attends, je vais te montrer ce que je cache ! "

Dans le garage sombre, JP pose les paquets près de la voiture. Mon rire l'échauffe, il me repousse au fond du parking. Ma bouche sur la sienne, je revendique des bisous, il me prodigue des caresses sur ma poitrine, sur mon corps. Sa langue s'octroie avec autorité ma bouche, elle s'accorde comme une furie, la manière et l'endroit ou elle se pose.

Avec aplomb il mène le jeu de l'amour. Je me dérobe un peu, appuie ma main sur sa braguette, mes doigts suivent la forme de sa verge emprisonnée. JP me bouscule vers l'avant de la voiture, il est sauvage, excité ses gestes sont vifs.

Avec malice JP lèche ma bouche. Hardi, il remonte une main entre mes cuisses. Indécent, il descend ma petite culotte, effronté ses doigts caressent ma chatte.

Je suffoque de plaisir devant cette désinvolture. J'aime, je joue le jeu, je résiste un peu, même beaucoup et cela le rend acharné. J'adore.

Ses mains me poussent sur le capot, je n'avais pas remarqué, que dans la lutte, il a baissé son pantalon. Sa queue balance au rythme des mouvements. JP relève mes jambes, écarte mes cuisses. Ses bras attirent mon bassin vers son bas-ventre. Je glisse vers sa verge tendue. Sa queue pousse sur ma chatte, mon sexe est écarté.

Endiablé il enfonce sa bite au fond de ma fente. JP est enragé, il murmure, sa voix est sourde. Ses yeux sombres me regardent, il triomphe.

" Tu mouilles Lysia, tu es trempée cochonne, tu aimes ça, dis-moi ? "

Mes cheveux s'étalent sur la carrosserie, je frissonne, la caisse est glacée. JP me pousse sur la tôle, je remonte un peu. Son visage plonge sur mon sexe. Sa bouche aspire, lèche mon petit trou mouillé de cyprine.

Les jambes sur ses épaules, JP pétrit mes fesses, ses doigts entrent dans mon cul. Mon clitoris est sucé, ma chatte avalée, mordue.

JP empoigne mes hanches, son gland pousse contre mon sexe,  écarte mes lèvres. Un coup de rein puissant, la bite me viole avec des coups secs, profonds. Paupières fermées, JP arrête tout mouvement pour retenir son éjaculation, puis, plus brutalement, recommence. Il m'écartèle plus ardemment que jamais.

L'orgasme sévit, JP se penche vers moi, sa bouche bâillonne la mienne, elle couvre mes cris de jouissance, atténue ses grognements.

Voluptueusement, les vagues de plaisir s'épanouissent, je serre ma chatte, mon anus. Mon bas-ventre explose de plaisir. JP murmure.

Ses mouvements de pénétration se font plus courts, il me suit dans la jouissance. Il éjacule son sperme chaud. Des mots obscènes me percutent. JP divague, rit, puis reprend un sérieux majestueux.

Je ressens en moi sa verge qui, peu à peu, perd de sa rigidité. A chaque mouvement, je me fusionne à lui, encore et encore. JP éclate de rire. Sensibilisé, affaibli, il redevient l'homme doux, enchanteur.

Doucement il recule son bassin, son pénis ressort de ma fente, un petit bruit mouillé s'échappe.

" Chut ! "

Son doigt sur sa bouche, il demande le silence, JP pouffe de bonheur. Doucement je pose mes pieds sur le sol carrelé.

" Désolé Lysia, je me suis laissé emporter, depuis que tu es partie avec Luc, je bande au point que cela me fait souffrir! je t'aime mon coeur! "

Je le prends dans mes bras, embrasse sa bouche, je l'adore. Enlacés, nos baisers se multiplient. Je n'oublierai jamais ces souvenirs.

Le repas nous a trouvé plus que jamais réunis. Le début de saison n'a pas donné envie à d'autres personnes de venir au gîte pour le moment. Virus oblige, ou tout simplement la peur du mauvais temps, mais lui, JP était au rendez-vous.

 

Merveilleux week-end.

 

© bisou

 

12 septembre 2020

La bite s'engloutit dans mon sexe, il fesse mon cul comme un sauvage

Je lui fais un sourire, je garde le doigt sur ma bouche pour garder le silence. Mais...

Luc se réveille, il étire ses bras, bâille. Il ouvre grands les yeux, et dit ;

" On est déjà à la maison ? Ohhhh, j'ai bien dormi. B'jr Pa...! "

Il pose un baiser sur mon épaule avant que je ne sorte de la voiture.

JP ouvre la portière, sa main accompagne la mienne. Il me tire vers lui. JP embrasse ma bouche, remet une boucle de cheveux sauvages derrière mon oreille.

" Alors, tu l'as fatigué ? Que lui as-tu fait ? Dis-moi, comment s'est passée cette journée ? "

Tant de questions simultanées, que je ne peux lui répondre...

Il m'entraîne vers la première marche de l'escalier, il me pousse dans le grand hall. Contre un mur, il cherche ma bouche. Sa main sous ma robe caresse ma toison coupée court. Il caresse l'intérieur de mes cuisses, là où la peau est fine et sensible, mon pubis, la protubérance de ma chatte sous le string serré. Son doigt soulève le tissu fin, disjoint ma fente humide.

" Oh tu es mouillée, tu n'as pas oublié ce que je t'ai promis, j'espère ? Mmmm, tu es moite, j'aime, coquine, petite cochonne. "

Il parle bas, susurre dans mon oreille, chuchote, je frissonne, excitée.

Sa main frappe de petites claques sur mes fesses nues, je résiste un peu, le repousse, me dégage et court dans l'escalier qui monte dans ma chambre. Comme une gamine mal élevée, je ris, lui tire la langue.

" Attends un peu, je monte tout de suite ! "

Index levé, il me fait signe de l'attention, j'éclate de rire, me retourne et soulève ma robe en lui montrant mon cul nu.

" Grrrr, attends seulement ! "

Dans ma chambre, j'enlève ma robe, mon string. Je remonte mes cheveux sur la tête et m'apprête à prendre une bonne douche fraîche. L'eau coule sur ma peau, je savoure la vivacité. J'écarte mes jambes, creuse mes reins, me penche un peu en avant dans  moment de silence absolu. Le liquide coule entre mes fesses, sur ma fente chaude. Je frissonne, ramène mes bras sur ma poitrine qui pointe. J'apprécie ce plaisir. Mes doigts écartent ma chatte, le mélange du froid et du chaud est euphorique. Je ferme les paupières, affectionne cet instant de bonheur.

Je rêve, pense à la fellation que j'ai faite à Luc. J'ai chaud comme si j'avais de la fièvre. Mes doigts repassent sur mon sexe, ils glissent dans ma mouille, je suis excitée, échauffée. Je ferme les yeux, laisse mon esprit vagabonder dans l'émotion.

Des mots doux viennent à mon oreille. Une main forte et brusque tient mon bras. Je titube, me retrouve dans les bras de JP. Je glisse sur le sol, il me retient, m'entraine sur le lit. Il se couche sur moi, sa chemise porte des traces d'eau, sa bouche embrasse ma peau perlée de gouttes translucides.

Le regard sombre, il pose ma main sur sa braguette qui supporte la tension d'une verge raide. Je souris, coquine, salope. JP se lève prestement. Il enlève ses vêtements, son pénis tendu à craquer, jaillit. Son épaisseur me fait rougir comme à chaque fois. JP se branle furieusement. Ma chatte chatouille.

" Alors petite garce, viens-là que je te punisse ! tu mérites une correction. "

Je ris nerveusement, je feins de vouloir me lever, roule sur le ventre, JP saute et s'allonge sur moi. Il me plaque sur les draps. Avec audace il me maitrise, glisse sur mes jambes, bloque mes cuisses. Je soulève mon bassin, pour pouvoir me lever, peut-être !...

" Ohhh oui, cochonne, tu mérites la fessée. Bien, lève ton cul, superbe ! "

Le plat de sa main claque sur mes fesses, je sursaute, les coups résonnent dans la chambre. Je me tortille pour le déstabiliser. JP s'amuse de plus belle, je rechigne encore, mes fesses chauffent. Ses deux mains donnent de petits coups secs sur mes globes, JP s'excite, masse mes fesses, reprend la grosse fessée, ma peau est rouge et chaude.

J'attrape sa cuisse, pousse ma main au plus loin. Je touche son pénis dur, il esquive.

" Ah! tu veux ma queue ? Attends je vais te la mettre "

Il domine, il excelle, m'envoûte. Sa main, son poids, s'étalent sur mon dos, je capitule, cambre, excitée et faible de désir.

Sans un mot, mais avec un souffle hachuré, JP se met entre mes cuisses. Avec brutalité ses mains soulèvent mon bassin. Je frémis, sais que sa queue va m'écarter jusqu'au fond de mon vagin. Mon ventre se noue.

JP embrasse mon cou, mon dos, sa main remonte entre mes cuisses. Le plaisir est là, je mouille, refuse de jouir encore.

J'étouffe mes gémissements. JP fouille mes chairs, ses doigts s'enlisent, masturbent ma chatte. Il enfonce deux doigts, puis trois, presse sur la zone sensible sur la paroi près de l'entrée de mon sexe tandis que son pouce chatouille mon clito. L'index tourne sur cet espace délicat qui me fait chavirer en femme fontaine, je divague dévastée par le plaisir intense.

Des vagues de jouissance s'écoulent de mon sexe. JP lèche ma cyprine de femme soumise.

Il profite de mon abattement, me met à genoux, mon cul est offert, mon sexe ouvert. Je sens le gros gland de sa verge s'enfoncer, la bite s'engloutit. Il me prend sans ménagement, il cogne le pénis au fond, reprend une cadence endiablée. Une main autour de ma taille, elle se ferme sur mes seins qui battent. Comme un chien affamé il baise ma chatte vivement, fermement. L'autre main claque mon cul, je sursaute à chaque fois, resserre ma foufoune pleine. JP jouit, mon corps vibre, il frissonne.

JP gémit, tombe sur moi, nos sexes sont collés. JP s'écroule, nos corps se détachent. Il roule sur le côté, paupières closes.

Sur mon coude, je pose ma tête sur son torse, regarde son pénis luisant de sperme et de cyprine. J'écoute les battements de son coeur, qui petit à petit se calment.

 

" Quand rentres-tu ? quand sera le départ ? "

" Reste encore...."

 

© bisou

 

( la suite dans peu )

 

 

7 septembre 2020

Sur le Parking, la fellation profonde, Luc jute son sperme dans ma bouche

Je prépare un Vanity avec quelques affaires de rechange, ma trousse de toilette, du rouge à lèvres, quelques articles pour me rafraîchir.

JP m'a suggéré  la visite d'un musée dans sa belle contrée, avec joie je pars donc conquérante, tranquille. En plus, un vide-greniers se tiendra près de la petite ville, non loin du vignoble.

JP m'a conseillé que Luc qui connaît la région, vienne avec moi. La saison est calme, le jeune homme se fait un plaisir de m'accompagner.

Dans ma chambre je chausse mes baskets. JP est là, assis sur le lit.

" Tu ferais attention à Luc, hein ! "

Je le regarde, il sourit, un clin d'oeil m'invite vers lui. Il m'attire entre ses jambes, ses mains sous ma robe légère remontent le long de mes cuisses, des doigts agiles caressent mes fesses. L'index soulève la ficelle de mon string. JP écarte mon cul, il râle de plaisir.

" Mmmmm, va-t'en vite, petite garce, file vite, j'ai une envie folle de mettre ma queue entre tes fesses. File !! "

Je ris, m'amuse, oui j'aimerai qu'il me prenne, qu'il soit brutal. Séductrice, je me pavanne, creuse ma taille, glisse ma main pour remettre un sein en place, caresse mes formes. Tentatrice, je me baisse devant lui pour replacer mon lacet. Je joue la petite catin. Ma chatte mouille.

JP m'attire vers lui, glisse ses mains sur mon pubis, il tire sur le petit triangle qui se perd dans ma fente, les lèvres vaginales sont gonflées. Ses doigts caressent mon sexe enflé par l'écrasement. Sans peine il soulève le tissu fin qui sort de ma chatte, il caresse avec le dos de sa main mon sexe en émoi. Je ferme les yeux, écarte encore mes jambes, me plante devant lui, cochonne, salope, allumeuse. Je retiens mon souffle, ne bouge pas, reste tout près de lui pour qu'il touche, malaxe mes lèvres vaginales, mon cul. Mon petit trou est mouillé de plaisir. JP me lance un regard trouble, me repousse un peu.

" Lysia pars, je vais exploser, va-t'en, reviens vite, ce soir tu verras ! "

J'éclate de rire, embrasse son front, soulève ma robe et colle mon bas-ventre sur sa bouche.

" Tiens, un petit souvenir jusqu'à ce soir, mon coeur ! "

JP empoigne mes hanches, il hume mon odeur de femme sauvage, sent la fragrance de mon plaisir. Il murmure, ferme les paupères pour mieux absorber mon parfum.

D'un geste il attrape mon bras, m'attire sur le lit. Je réussis à l'esquiver, attrape le Vanity. Je m'échappe. La porte entrouverte, je lui envoie un baiser du bout de mes doigts.

" A ce soir, bye bye !! "

Mon rire s'égrène dans l'escalier, je trouve Luc assis sur le siège de la voiture, un borsalino sur la tête, des lunettes sur le nez, son coude posé sur la fenêtre ouverte.

" Wouahou, le bel homme ! On file ?

Luc me regarde, sourit, il ne quitte pas des yeux ma robe, ma façon de faire, de conduire. Sans un mot il embrasse mon épaule. De villages en villages, il se presse contre moi, nos promenades s'éternisent dans les allées. Il n'est pas intimidé, sa main me tient la taille, il est prévenant, adorable. Il m'invite dans un petit bistrot pour une boisson rafraîchissante.

Les heures passent trop vite, Luc m'entraîne dans le village où le vide-greniers a lieu. Je suis aux anges, j'adore, me perds dans les objets, fouille et retourne les articles. Luc porte mes achats, il surveille mon allure, éclate de rire devant mes grimaces.

Il se fait tard, le temps s'est écoulé plus vite que prévu, nous laissons le musée de côté.

" Ce sera pour la prochaine fois, l'année prochaine peut-être ! pas grave ! "

" Oh oui, Lysia, reviens-moi vite, tu me manques déjà !"

Luc veut conduire, je lui laisse la clef, confiante. Installée dans le siège profond, je me sens câline, un bien-être total, mon esprit dévergonde, je suis trempée.

Luc attouche ma cuisse, effleure ma poitrine avec le dos de sa main, je tremble. Canaille et polissonne je me relève un peu, embrasse son cou par de petits baisers chauds.

Le jeune homme perd un peu la route, se reprend aussitôt. Je le taquine.

" Hé Lucky! attention, attention..! "

Il se ressaisit, et sérieux comme un pape, droit, il  se corrige en souriant malicieusement.

Son père m'avait émoustillée, excitée. Mes pensées sont coquines. Espiègle, je pense à ce soir, que va faire JP ? Mes rêves sont libertins, je ferme les paupières et pense au sexe de son père. J'en ai envie, mon bas-ventre chatouille. J'imagine...

" Je dois m'arrêter, j'entends des bruits dans le coffre, quelque chose est tombé ! "

Luc met le clignotant. Près d'une petite aire de repos près de la route, il arrête la voiture. Il fait le tour de la voiture, ouvre le coffre, j'entends des bruits furtifs, il range ou dérange des sacs en papier. Bizarre, je n'ai rien entendu.....

Je sors de la voiture, il vient déjà vers moi. Sa bouche embrasse mes lèvres rouges. Il me pousse vers la portière ouverte. Je prends place sur le siège....

 

© bisou

 

( la suite dans peu )

7 septembre 2020

La fellation profonde dans la voiture au bord de la route...

Il me pousse vers la portière ouverte. Je prends place sur le siège, mes jambes restent à l'extérieur. Ma robe virevolte sur mes cuisses qui sont prises d'assaut.

Luc se baisse, se met sur ses talons, son visage s'approche du mien, sa langue se mêle à la mienne. De baisers épicés en gestes crapuleux, il me fait chavirer. Sa main sous ma robe, ses doigts sur mon string, Luc masse, explore mes rondeurs, ma moiteur.

Des voitures passent, klaxonnent, certaines ralentissent, s'arrêtent. Nous sommes déconnectés, rien ne nous dérange...

Luc rassemble mes cuisses, enlève mon string. Fiévreusement, il m'embrasse. Son visage plonge entre mes cuisses, il hume mon odeur de femme, lèche ma mouille, écarte mes lèvres vaginales avec ses doigts. Il pousse sa langue dans mon vagin trempée. J'adore...

Je déboucle son ceinturon, ouvre la braguette, ma main caresse la bosse de son boxer. Je faufile mes doigts sous la ceinture élastique, une belle queue fine et longue jaillit vers moi. Je laisse ma bouche chaude découvrir le gland congestionné, la peau roule derrière le prépuce. Je me penche vers le membre raide, le glisse entre mes lèvres, sur ma langue.

Je suce, lèche onctueusement le pénis dur. J'avale au plus loin de ma gorge la bite qui rougit.. Luc tape ses mains sur le toit de la voiture, il gémit, murmure de plaisir, il offre son bonheur aux curieux venus pour mater, certains poussent de petits cris d'encouragement, je ne peux voir, j'entends et m'imagine.

Mon gentil Luc va se souvenir de ma fellation. J'engouffre la bite au fond de ma gorge, ma main imite un fourreau étroit. Je serre et desserre ma main. Luc s'anime. Ses mouvements de hanche trahissent, il s'excite. Je frôle le gland juteux avec la pointe de ma langue chaude, il sursaute, sa queue grossit encore. Je branle la verge à quelques centimètres de mon visage, puis j'avale le pénis, je recommence, manipule la bite furieusement. Le gland est rouge carmin. J'ouvre en grand ma bouche aux lèvres rouges, tire ma langue pour recevoir la semence.

Luc crie, tape sur la carrosserie, la bite gicle le sperme dans ma bouche, sur mon visage, mes cheveux. Le gamin se tord, ses cris de plaisir résonnent. Je fignole le gland, lape, lèche les gouttes blanches. Je prends la queue entre les deux mains, la caresse. Je sens la vigueur, la douceur entre mes doigts. Je soupèse les testicules, donne de petits baisers sur ce sexe devenu docile. J'aspire les quelques perles blanches qui sortent encore du méat.

Luc supplie.

" Arrête, non, je suis sensible, je ne supporte pas ! "

Mon rouge a déteint sur le slip, la peau de son sexe est colorée. Je le laisse reprendre ses esprits en posant mon visage sur le sexe au repos, respire l'odeur du jeune mâle. Luc se calme peu à peu, il me tend les bras les paupières closes, je me relève.

Sa bouche embrasse mon visage, mes lèvres, son souffle se perd dans mes cheveux, ses mains caressent ma poitrine opulente.

Une voiture à quelques mètres est arrêtée. Vitres baissées, j' entends des gémissements. Luc est anéanti, affaibli. Il s'est accoudé sur la voiture les yeux troubles.

Je cherche mon string,pose un petit mouchoir sur ma chatte mouillée.  Ma fente dégouline. Luc achève sa tenue.

Nous voilà repartis sur la route. Le silence s'installe, Luc ne tarde pas à s'endormir, la tête vers mon épaule.

JP nous attend sur le seuil de sa maison de campagne. Il me sourit, doucement j'éclate de rire, mais mon doigt demande le silence sur mes lèvres jointes.

" Oh, mais tu l'as achevé ? "

" Chut ! "

 

© bisou

 

( la suite un peu plus tard )

 

 

 

 

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