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le blog en sucre
31 août 2020

Mon médecin me prend sur son bureau, je pose mes jambes sur ses épaules

Sa blouse blanche ouverte, ne me laisse pas indifférente, je suis troublée par ses gestes lents, par sa posture, par sa jeunesse.

Je suis arrivée à mon rendez-vous plus tôt que prévu, comme à mon habitude. Quelques personnes attendaient déjà, j'allais tout simplement prendre mon livre dans mon sac à main et pouvoir m'évader un peu.

Je ne peux me concentrer, mon esprit est ailleurs. Dès que la porte s'ouvre, mon jeune médecin arbore un sourire qui me laisse songeuse.

Mon tour est là, un peu tremblante et émue, je vais m'asseoir dans le grand fauteuil noir en cuir. Les pans de sa blouse flottent autour de lui. Il me scrute, sourit, me met à l'aise.

Avec un large sourire il me questionne, je le sens égaré tout comme moi.

" Que nous arrive-t-il ? "

Ses mots me plaisent, je bafouille timidement que je suis émue, que je ressens un plaisir jusqu'à présent interdit. On éclate de rire les deux, nerveusement.

" Vous me troublez, j'ai une forte pulsion pour vous " me dit-il.

Mon médecin se lève, vient vers moi, je reste assise, jambes croisées bien serrées pour calmer mon envie, dos contre le dossier. Je tremble de désir.

Sans un mot, il pivote le grand fauteuil, je décroise les genoux pour prendre appui au sol. Il me tend les mains, je me lève de l'assise douce.

" Déshabillez-vous, vous êtes magnifique. "

Il bredouille, je ressens son souffle sur moi, égarée, je ne bouge pas, je le laisse me dévêtir tendrement. J'ose des gestes provoquants. Je pose mes mains sur sa chemise, sur son torse, mon visage s'approche du sien. Il reste droit. Je pousse mes lèvres sur sa bouche qui s'ouvre, dévoile une langue qui se mêle à la mienne. Mon rouge déteint sur lui. Le baiser fougueux nous pousse à son bureau sur lequel je me glisse aisément.

Assise, en petite culotte noir, j'écarte mes jambes, attire son corps entre mes cuisses. Mon médecin transpire, suffoque. Ses yeux trahissent  l'ombre excitante de l'homme en transe.

Audacieux, il dégraffe mon soutien-gorge, entreprenant, ses mains massent mes seins tendus. J'adore sa douceur, ses doigts fins, sans aucune rugosité, osés, aventureux.

Hypnotisée, je défaille, ma chatte mouille, je m'enhardis.

Mes mains caressent le torse, je déboutonne sa chemise. Mes doigts se faufilent vers la braguette où le zip ne se défend pas ou une verge dure s'affole. J'ouvre la ceinture brune, fait sauter le bouton du pantalon qui tombe au sol.

" Attendez une seconde ! "

Avec de petits mouvements pour avancer, il ferme la porte à clef.

J' éclate de rire, le voyant emmêlé dans son vêtement qu'il arrache presque, ses chaussures ont le même sort. La bosse sous son slip divulgue une belle érection. Fébrile, je l'attire sur moi entre mes cuisses chaudes, je glisse mon bassin vers sa queue emprisonnée. Il frotte son bas-ventre sur ma chatte serrée dans ma petite culotte. Elle est en feu, elle palpite, j'ai envie qu'il me prenne, là, sur son bureau laqué. Mes mains touchent la bosse dure, mes doigts descendent le slip, mon médecin embrasse ma bouche, mes cheveux fous, mes mamelons tendus.

Nos murmures doivent s'entendre, mais l'euphorie du moment nous mène dans un autre monde, où seul le plaisir règne.

Un beau pénis s'échappe du slip, je saute de la table, à genoux ma bouche lèche le membre raide, ma gorge accueille la verge entière. Je suce le gland pointu, caresse la bite avec ménagement. Mon médecin retient ma tête, il baise ma bouche par de petits coups de rein sec.

Je me relève, il ouvre ses paupières. Il se baisse à son tour, embrasse mon pubis, ma chatte trempée et gonflée, à travers le tissu noir. Ses mains font glisser la petite culotte sur mes cuisses, sur mes jambes. Il prend dans ses mains, mes pieds chaussés, un à un, enlève le vêtement fin.

Farouche, il se baisse sur ses talons, sa langue avide se place sur mon clito, ses lèvres aspirent, sucent mes chairs intimes. Sa bouche se ferme sur mon sexe chaud, humide de désir. Ses doigts s'enfoncent dans la moiteur de mon antre. Une main sur mon mont de vénus, l'autre sur mes seins aux mamelons durcis, je ressens la sève couler. Je suis riche d'une décharge extatique à chaque fois qu'il aspire mon petit bouton dur et sensible.

Le coquin fouille entre mes cuisses, lape ma saveur, mêle sa salive à ma cyprine. Je le supplie, lui demande un arrêt, le plaisir devient presque souffrance, je déraille, j'ai envie qu'il me prenne comme une bête.

Mes mains le forcent à se lever, ma bouche se colle à la sienne, ma main descend masturber sa bite fine et longue. Collée au ventre, droite et verticale comme chez un jeune chien, la verge palpite, tressaille.

Je m'approche vers le bord de la table, mon médecin prend son pénis dans la main.

Pour mieux ressentir le sexe de mon amant, je me couche sur la table, écarte mes jambes, mes cuisses. Des articles tombent, des feuilles volent.

Chatte ouverte, mon corps offert à ce vit raide, je ressens le calibre qui s'enfonce droit, lentement, au fond de mon ventre. Mon amant a les yeux fermés, il avance en moi, me remplit, la bite est douce. Mon amant arrête de bouger, il suffoque, murmure, se retient. Son corps sans mouvement n'est que chaleur. Je me retiens au bord de la table, remonte mes jambes et les pose sur les épaules de mon amant. Collée à lui, mon médecin ouvre ses paupières, son regard est sombre.

Un coup de rein violent me fait retomber sur le dos.

" Oui, viens, baise-moi fort, viens, prends-moi ! "

Avec fougue, les mouvements de son bassin s'accélèrent. Violemment il bat ses testicules contre la table, ma chatte est pleine de sa verge raide. Mon médecin éjacule son sperme chaud, étouffe de petits cris rauques. Il retire sa verge de ma fente trempée et, main sur la hampe fine, termine la jouissance sur mon ventre, sur mes seins aux auréoles brunes. De petites décharges blanches se collent sur ma peau, j' aime regarder ce plaisir masculin.

Mon amant s'appuie sur le bureau, ses poings blanchissent, il respire fort, son regard est hagard. Je me redresse, embrasse ses cheveux, son visage, sa bouche. Blême, sans un mot, il me sourit en disant;

" On est fous, que nous est-il arrivé ? "

Nue, je saute du bureau, je laisse des traces de sève, de plaisir. La laque noire du meuble porte le contour de mon corps, des empreintes d'humidité, de mouille et de sperme.

" Alors Docteur, quand allons-nous nous revoir ? quand sera le prochain rendez-vous ? "

Questions qui nous font éclater de rire ...

Sur un nuage, au bord de la vasque dans le wc, j'essuie les preuves du plaisir partagé. Je remets mes cheveux en ordre, passe mon bâton de rouge sur ma bouche. Je le rejoins au cabinet de consultation, il est vautré dans son fauteuil, un regrad doux posé sur moi, la blouse blanche ouverte, la chemise fermée, comme si de rien n'était.

J'enfile ma petite culotte noire, termine de m'habiller en riant, il me regarde heureux et perplexe. Je ne le quitte pas des yeux, mon coeur chavire, triomphant.

 

© bisou

 

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