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le blog en sucre
6 août 2020

Mes pieds caressent sa bite, il éjacule sur mes bas noirs...

Assise sur le lit, j'attends que la porte s'ouvre. Toujours la même lumière mordorée, celle de la lampe sur le petit guéridon en marbre. Le billet trouvé sur les draps blancs, stipule que je reste vêtue. Nerveusement je tire sur ma jupe, croise mes jambes gainées de bas noirs.

Des pas feutrés se font entendre, la poignée descend, je frémis, excitée.

Je regarde mon amant qui se profile dans l'entrebâillement de la porte, son ami le suit mais reste sur une chaise près de l'entrée.  Son regard est dans le vide, mais intéressé.

Mon amant s'approche, pose délicatement un baiser sur mon front. Il est beau, beaucoup plus âgé que moi, mais tellement séduisant.

Il se met à genoux, ses lèvres cherchent les miennes, son souffle se mêle au mien. Sa bouche s'ouvre, sa langue écarte mes lèvres. Fougeusement je l'embrasse, fouille ses dents, enroule ma langue autour de la sienne, mais très vite il me repousse.

" N'oublie pas, c'est moi qui dirige... "

Mon amant se relève, enjambe mes genoux, il a l'air imposant, fort, debout devant moi, les deux jambes écartées.

Sa main se ferme sur ma gorge et se glisse entre mes seins en faisant craquer le premier petit bouton de mon chemisier. Il se lève, se colle tout près de moi. Les boutons de nacre s'ouvrent un à un. Le chemisier vole sur le lit, mon soutien-gorge est défait en un tour de main. Je frissonne de plaisir, ferme mes paupières. Ses mains caressent mes seins tendus, il soupèse mes formes, les ramène ensemble, malaxe les pointes, pince les mamelons durs.

" Regarde- moi. "

Mes yeux plongent dans ses yeux bleus. Mon menton repose sur son bas-ventre. Je ressens son pantalon tendu. Mes mains caressent la braguette, l'endroit où son pénis attend la liberté.

" Lève ta jupe... "

Avec peine, faute de place, je me soulève un peu, roule le vêtement sur ma taille.

" Ecarte tes jambes..."

J'ai la tête sur la braguette de son pantalon gris. Il prend ma tête dans ses mains, presse mon visage sur la bosse que la verge dure forme sous son pantalon. Doucement il frotte son sexe emprisonné sur ma bouche. Mon rouge à lèvres tache le tissu, j'ouvre en grand ma bouche, lèche la protubérance. Le gland se dessine, ma salive calque le contour. Ma langue adule la bite raide et grosse.

Je mouille, ma chatte profonde est chaude. Il mène ma tête, empoigne mes cheveux, je suis comme une machine, je suis le mouvement donné.

Il domine largement. Mon amant se baisse, s'agenouille entre mes cuisses. Ses lèvres sucent ma bouche comme s'il léchait un sexe, une chatte ouverte. Il refuse toute caresse de ma part et met mes bras derrière mon dos.

Ses mains décroisent mes genoux, plus fortement. Ses doigts glissent sur mes bas  jusqu'à la naissance de la dentelle noire qui dénote sur ma peau blanche.

Je sursaute, ses ongles griffent ma peau nue au-dessus de mes bas. Il grogne, pousse ses doigts jusqu'à ma petite culotte trempée. L'index touche la protubérance de ma chatte. Son doigt suit ma fente gonflée, écrasée par la fine bande de mon petit slip.

Visiblement mécontent par l'étroitesse de mon vêtement, il se recule, ordonne de me lever. Debout devant lui, il me prend un mollet, lève un à un mes pieds, les déchausse. Il porte mes orteils à sa bouche, suce les doigts de pied. Mon émotion est forte, je prends un plaisir fou. Sa langue chaude essaye de passer entre les doigts de pied, sa bouche aspire, ses dents mordillent.

L'homme tire sur le zip de ma jupe qui tombe à terre. D'un geste vif, il la lance sur le lit.  Ma petite culotte est roulée sur ma peau, elle glisse sur le sol, elle suit la jupe. Je reste devant lui, jambes gainées et jointes. Sa main les écarte. Mon amant me repousse, je tombe sur la couche.

Entre mes jambes, sa tête plonge sur ma chatte mouillée. Il lèche mes grandes lèvres, mon petit trou, mon clito. Ses yeux sont sombres de désir, il murmure.

Mon amant se relève, sa main glisse le zip de sa braguette.  Sous le tissu il retire une belle queue qui pointe raide. Je reste jambes écartées, lui offre la vue de ma chatte mouillée, ouverte et profonde. J' avance mes fesses vers l'extrème bord de lit. Mon amant se caresse la verge, fermement il masturbe sa queue sur moi en grognant de plaisir. Je veux me lever, j'ai envie de sucer sa bite, de l'engloutir dans ma gorge. Il dit:

" Reste couchée, écarte bien tes cuisses, viens au bord du lit.... "

Je regarde son ami qui, dans l'ombre, nous regarde. Sa main s'affaire sur son entre-jambes qui trahit une érection.

Mon amant défait la ceinture de son pantalon, sans caleçon, il est nu. Sa bite raide se balance. Mon amant se couche au sol, fesses près du bord de la couche.  Il lève une jambe. La plante du pied se pose sur ma fente trempée. Ses doigts de pied glissent dans ma mouille. Visiblement mon homme s'excite, sa queue a des soubresauts. Il change de pied, la plante s'abat plus furieusement sur ma chatte. Un peu gauche, il tamponne mon entre-jambes brutalement. Les doigts de pied s'enfoncent dans ma vulve chaude, dans ma chair. Mon amant transpire, il prend plaisir et jouissance.

Son pénis est rouge-brun, son gland est décalotté, luisant de sperme, le méat est ouvert. Mon amant se masturbe sauvagement. Les deux mains fermées sur la verge, il façonne, triture, traumatise le pénis dur.

" Caresse ma bite avec tes pieds ".

Il s'est rapproché un peu plus encore.  Il a posé ses deux jambes sur le lit autour de moi. Je pose un pied sur son ventre, l'autre sur la hampe de sa verge, doucement ma plante de pied remonte, descend sur le pénis dur à casser.

" Ecrase mes couilles ".

Il ordonne, je m' exécute. Mes doigts de pied soulèvent les testicules, je plaque tout le pied sur les bourses qui s'écartent,  malaxe le sexe dressé. L'orteil se faufile entre les fesses, l'ongle griffe l'anus souple, je m'excite, sauvage, désordonnée. Mon autre pied écrase la bite, pétrit le sexe dur. Je jouis de le voir à terre, mon plaisir est fort.

Mon amant tremble, il crie, ses paupières sont closes, il hurle, quémande des caresses de plus en plus fortes. Je ferme, j'entoure la queue avec mes pieds, arrache, coulisse la peau de la hampe vers le bas. Le gland ressort plus fortement. Je masturbe fermement avec la plante, le sexe rouge carmin.

Mon entrecuisse est humide, le clito saillant, mes seins dressés, mamelons durs, une douce sensation d'aimer à faire mal, à être brutale, me surprend.

Sa respiration a changé, il gémit. Mes deux pieds malaxent, couchent à plat la bite sur le ventre de mon amant qui suffoque. Ses mains s'agrippent sur la moquette, ses fesses durcissent, je pousse plus fort sur les testicules, accable le sexe rigide en allant et venant  de bas en haut sur toute sa longueur. Mon amant crie, ses mains se ferment sur mes pieds, mes orteils s'ouvrent en fleur autour du gland rougi.

Mon homme éjacule, le sperme est chaud, il s'étale sur mes pieds gainés de nylon noir. Il presse fortement mes voutes plantaires sur sa bite, je ressens les décharges de l'éjaculation. Tête renversée, il termine la masturbation sur son pénis en caressant doucement la peau, pour faire descendre la tension. Doucement mon amant s'apaise. Mes jambes dans le fourreau noir de mes bas, sont tachés, gluants. Je respire profondément, heureuse de le voir heureux.

Mon homme arrête tout mouvement, paupières closes, il est là, au sol. Son sexe sursaute encore un peu. Je repose mes jambes autour de lui, soulagée, calmée.

Mon amant revient à lui, il se relève d'un bond sec, appelle son ami à le rejoindre dans la salle de bain pour lui apporter ses vêtements.

Mon amant prend la porte après avoir posé un baiser sur mon front, son ami le suit, une large tache humide se dessine sur le tissu de son pantalon.

 

© bisou

 

 

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