Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
le blog en sucre
29 juillet 2020

Il renifle mon sexe, je jouis. L'homme m'encule avec sa grosse verge dans cette chambre d'hôtel...

Mon moblile vibre. Curieuse bien que je ne doive pas prendre le phone cause réunion avec le chef, discrètement, je jete un oeil dans mon sac à main ouvert. Mes joues deviennent chaudes, je rougis. Mon amant me retrouvera dans notre chambre d'hôtel à 18h 30 précise.

Son message stipule qu'il ne sera pas seul. Je dois l'attendre nue sur le lit, un loup sur les yeux...

Il est déjà 16h30, la fin de la réunion devrait être pour 17h. Mes yeux pétillent, je deviens nerveuse. J'adore le retrouver, mes sentiments grandissent, mon émotion est forte. J'imagine, je délire même. Les mots dits autour de moi me paraissent comme dans du coton, je déconnecte complètement, je sais que je peux compter sur mon amie qui me rapportera ce qui est relaté et ce qui se fera. Aveuglement, je réponds, donne mon avis sans discernement clair. Contente que tous parlent, discutent, mes mots sont noyés dans le  tumulte des copains de travail.

Impatiente, j'attends la fin de ce brouhaha. Je m'échappe, il est 17h45. Déjà ?

Mon coeur bat la chamade quand, sous la douche de la chambre d'hôtel, je remonte mes longs cheveux sur la tête avec un élastique rouge. L'eau tiède coule sur ma peau. Délicieusement, amoureusement mes mains passent sur mon corps. L'eau ruisselle entre mes fesses, je me penche vers l'avant, écarte mes jambes. Je frissonne sous le liquide qui coule entre mes lèvres vaginales ouvertes d'excitation. Mes pensées sont pour mon amant qui ne va pas tarder, il est 18h20.

La grande serviette de bain m'enveloppe. Le lien rouge casse, mes cheveux retombent sur ma peau moite.

Rapidement je m'essuie. Avec émoi je m'allonge sur la couche. Avec précaution je revêts le loup noir qui est sur la table de nuit. Le coquin y a pensé.....

Pas de bruit, seul mon coeur bat très fortement, j'ai l'impression de  l'entendre tellement il cogne. Je m'apaise, me détends. Nerveuse, mon corps me trahit. Mon bas-ventre palpite, ma chatte mouille déjà. J'évite de toucher mon sexe, pose mes bras au-dessus de ma tête, plie un peu mes genoux. Je me repose.

Des pas feutrés approchent, la porte s'ouvre. Je me mets sur les coudes, tourne ma tête vers le bruit cotonneux. Je ne vois rien....

" C'est toi ? Tu es là ? "

" Oui je suis là, chut... "

J'entends des sons amortis, des vêtements qui sont enlevés, des bruits plus secs.

" Tourne-toi chérie, mets-toi à genoux... "

Je glisse sur le côté, m'assieds sur les talons. Une main passe sur mon dos, revient sur mes fesses. Un doigt s'enlise dans la raie, la main s'approche de ma chatte, je tressaille de plaisir. Instinctivement je veux enlever mon masque, mais une claque sur mes rondeurs me rappelle à l'ordre. Confuse, je me redresse un peu.

Mon amant en profite pour enfoncer ses doigts dans mon sexe mouillé.

" Cochonne, mais tu es trempée...! "

Sauvagement, Il malaxe ma fente humide. Un doigt épais presse sur mon anus, il entre doucement dans mon cul, dans l'étroitesse de l'étui.

Je sursaute. Des mains soulèvent mes cheveux, massent mes épaules. Machinalement j'avance mes bras, prends appui sur mes mains. Je présume maintenant que ce n'est pas que lui, qui me touche.

" Bien, tu as trouvé la position parfaite, reste, ne bouge plus...."

Mon amant monte sur le lit, le poids me fait basculer, je me retiens aux draps. Je frémis d'émotion. Son corps se plaque contre le mien, son souffle remonte sur mon dos. Je ressens le flux chaud dans ma chatte m'innonder de plaisir.

Mon amant me couvre entièrement. Comme une bête il frotte son sexe raide entre mes cuisses. Comme une chienne je serre les jambes aussi fort que je le peux. Ma vulve entrouverte attend la queue. Ma taille creusée à l'extrème fait ressortir ma fente mouillée.

 Mon amant se retire. Entre mes fesses rondes, il renifle mon sexe, hume l'odeur de la jouissance. Sa langue lèche ma raie, s'enfonce dans ma vulve gonflée, se perd sur mon anus qu'il cajole. Je gémis, me tord de bonheur. Mon amant se délecte de ma cyprine de femme excitée.

Des mains se ferment sur mes seins qui se balancent. Les tétons durs sont pincés. Une odeur d'homme inconnu s'approche de ma peau. Des lèvres mangent ma bouche. Je cherche à embrasser, à fourrer la cavité chaude, bestiale et gourmande.  Les mains sont plus rugueuses, plus lubriques...

Rattrapée par l'émotion première, je sursaute, me relève.

" Reste à genoux... " Mon amant ordonne.

Soumise à son désir, je reprends ma position de femelle. La respiration chaude s'approche de ma poitrine, une langue molle lèche, une bouche barbue aspire, mordille ma peau. En même temps une bite écarte mon sexe, frotte mon clito. Mon vagin coule. J'ai envie de sa bite, j'ai surtout envie d'arracher ce loup qui cache ma vue. J'ai envie de carresser l'homme qui suce mes seins, de quémander la queue en moi, au fond, à celui qui  se frotte le pénis entre mes cuisses.

Une torpeur m'envahit. Mes amants deviennent sauvages. Je pousse des cris, on claque mes fesses.  Mélange de jouissance, de surprise. Le souffle chaud sur ma poitrine nue s'apaise. Le lit bouge un peu. Des mains agripent ma taille, une verge tendue s'infiltre dans ma chatte ouverte. Avec une lenteur extrème, le pénis s'enfonce. Je feule de désir.

Totalement pénétrée, je ferme les yeux, mon ventre durcit. Possédée, je cambre encore, je me mets sur les coudes, tends mes fesses vers mon amant qui ne bouge pas. Sa queue au fond de ma vulve me remplit pleinement. Bouleversée, une décharge fulgurante m'ébranle, je jouis. Mon sexe, mon ventre s'agitent. Des pulsions répétées, des vagues de jouissance explosent.

Chienne, salope, j'ondule mon cul en espérant que la verge enfoncée dans ma vulve trempée, s'anime. Elle reste tendue au fond de moi, elle me déchire de sa grosseur. Mon amant claque mes rondeurs, murmure des mots grossiers.

" Tu n'es qu'une chienne, je vais te déchirer, salope...! "

Excitée, pute, j'adore. Mon amant tient fermenent ma taille, ses ongles marquent ma peau. La douleur devient plaisir. Je suis sienne, mon plaisir est intense.

" Ouvre tes cuisses, tes jambes, je vais te défoncer encore et encore...! "

" Ouiiii, défonce-moi..! "

D'un geste brusque de ses reins, il se décolle de mes fesses, sa bite glisse hors de ma chatte, s'engouffre de plus en plus vite. Il me travaille à coups réguliers. Ses va-et-vient incessants me labourent en cadence. Je ne suis qu'un trou, une crevasse, un orifice trempé et chaud. Je divague de plaisir. Il bande, fore mon sexe. Je m'éffondre en criant, il jouit, gicle son sperme dans ma vulve bouillante. Son corps tombe sur mon dos. Ses sanglots se perdent dans mes cheveux. Son souffle trahit l'éjaculation, le plaisir...

Doucement mon amant recule, sa verge glisse lentement hors de ma chatte enflée de plaisir.

Je  m'affaisse sur le lit. Mon amant s'agenouille sur mes cuisses. Je tressaute au contact de ses jambes velues, je tremble quand sa bite tendue écarte mes fesses...

Ce n'est pas lui. Une secousse remet l'ordre dans ma tête, je bondis, mais de fortes mains agripent mon dos et me plaque sur les draps frippés.

La verge presse sur mon anus, écarte mon cul. Mon rectum s'ouvre, me fait mal. Le pénis relâche la pression, il glisse dans ma mouille vaginale. Je murmure de plus en plus fort. Je reconnais le souffle qui s'approche de mon visage. Sa voix me dit.

" Arrête, il va t'enculer, j'aime regarder et tu vas aimer... "

Par petites pressions la bite s'engouffre de plus en plus, mon cul s'écarte de plus belle. Le pénis est gros, je relâche mes muscles. Je prends un plaisir profond.

Un coup sec desserre mon rectum.  L'homme m'encule à fond, il pistonne par petits mouvements de va-et-vient mon cul en feu. J'ai l'impression que j'ai un sexe beant, grand. Mes mains froissent les draps, j'étouffe les cris dans la couche.

L'homme se calme, puis reprend une cadence effrénée. Il gicle un sperme chaud, il remplit mon rectum. La grosse verge se calme, l'homme a des soubresauts. J'entends qu'il étoufe des murmures, des plaintes de plaisir.

Ses mains quittent ma taille qu'il avait écrasée pour mieux bomber mon cul, je m'écroule. La bite glisse hors de moi. Je reste sur le lit, mon entre-jambes distendu, échauffé, bouillonnant. Le sperme coule de mes orifices, je savoure presque la brûlure.

Dans la pénombre de la chambre, je retire le loup de mes yeux. Mes paupières clignent pour apprivoiser les formes, la faible clarté. J'entends l'eau qui coule dans la salle de bains. J'attends qu'ils partent, j'espère un baiser sur mon front comme d'habitude. Je reste dans un climat cocon, un peu déphasé mais heureuse...

 

© bisou

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
le blog en sucre
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 162 106
Publicité