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le blog en sucre
26 juillet 2018

J'avale la queue, une sieste au mois d'août......

 

Cette année l'été est torride. Avant le repos une douche tiède m'a soulagée de la torpeur de l'extérieur. C’est avec la peau encore humide que ma couche m'a acceptée pour une sieste douce. Apaisée, je ferme mes paupières, sombre un peu dans la béatitude, dans la paix.

Brutalement mon ami claque mes cuisses avec la paume de sa main, furibonde j'ouvre mes yeux avec le regard noir. Je l’étudie muette, ses yeux sont coquins.

Sa main caresse une verge bien raide. Deux doigts serrent le prépuce rouge sang. Mon amant avance sur moi. La peau de la bite coulisse, les couilles glissent sur mon ventre. Je remonte mes genoux, cale le dos de mon ami, écarte mes cuisses. Je ressens la différence entre ma chatte chaude de la sieste et l’air ambiant qui refroidit mon bas-ventre. Avec plaisir j’approuve l'air frais du ventilo sur ma fente qui s'humidifie déjà.

" Viens, approche un peu sur ma bouche, je vais te sucer ! "

Ma langue mouille mes lèvres. Provocante j’ouvre un peu la bouche, gonfle le pourtour pour imiter des lèvres vaginales.

« Petite salope, tu en as envie, dis-moi ! «

Mon amant s’avance sur moi, son pénis glisse entre mes seins. La verge raide coulisse dans le creux de ma poitrine généreuse. Je serre les mamelles avec mes deux mains, le sexe se déchaine se faufile dans le sillon. Mon ami se branle fortement, j’étouffe le pénis qui se décalotte à chaque mouvement.

Une sueur d'excitation perle sur ma peau. Mes mains veulent prendre la bite, mon ami m'en empêche.

" Laisse-moi faire, ne touche pas, je vais te baiser la bouche."

Mes cheveux rebelles étalés sur l'oreiller, collent dans ma nuque. Je transpire. Mon sexe est humide, je ne peux le toucher, mais je ressens ma mouille qui imbibe la raie de mes fesses. J'écarte encore plus mes cuisses, l'air frais du ventilo me procure des caresses au plus profond du vagin. Mes lèvres vaginales sont ouvertes, gonflées, ma vulve est à nu.

Excitée, j'ouvre ma bouche, ma langue accueille un méat ouvert, un prépuce rond, gonflé. Ma langue lèche le bout du gland. Mon amant pousse sa bite vers ma gorge, exerce un lent va et vient. Je suce la bite avec ardeur et passion, pompe et aspire la tige épaisse et veineuse jusqu'à en perdre la respiration.

Mon ami grogne, avec audace il pousse mes bras entre ses cuisses, sous mon corps. Je suis maintenant sienne, sans défense, je ne peux plus bouger. Il se relève un peu, approche son bassin juste en dessous de ma poitrine. Je ressens son cul chaud sur ma peau. Je frissonne de plaisir.

Le pénis pousse sur ma bouche, il lime tranquillement mes lèvres jusqu'a la gorge. La cadence s'accélère, la bite cogne à l'intérieur de mes joues, je respire profondément pour ne pas étouffer.

Paupières closes, je renverse ma tête vers l'arrière, ma gorge s'ouvre encore plus. La verge écarte, s'enfonce de plus en plus vite, plus fermement. Mon ami se tient sur ses mains à coté de mon visage, seul son bassin bouge d'avant en arrière. Des gouttes de sueur perlent sur son front, tombent sur l'oreiller, dans mes cheveux déployés. Je ressens son plaisir.

Il ressort sa bite de ma bouche, masturbe durement son sexe avec une main, frotte la queue tendue sur les tétons de mes seins, frappe la bite sur ma peau rougie du cou, du visage.

Mon amant murmure. D'un coup sec, brutal, il reprend l'intrusion, j'avale. Ma gorge se serre, la luette a des mouvements de déglutition, mon amant ne bouge plus, il murmure longuement en fermant les yeux, ses poings se ferment sur les draps.

Le visage déformé par la grosse verge sur ma langue, je force encore un peu ma gorge à s'ouvrir. Le membre prisonnier a des spasmes. Electrique, mon amant reprend la cadence, plus sèche, plus courte, mais précise.

Dans un cri de soulagement il jouit, sa bite jute dans ma gorge, j'engloutis le sperme chaud, avale la semence. Mon amant retire son pénis qui éjacule encore, les gouttes chaudes giclent sur ma peau. Je passe ma langue sur mes lèvres. Mon amant ferme les yeux, doucement son corps s’affaiblit, il sourit, ses mains me caressent, m’attouchent tendrement. Délicatement il tombe de côté, sur les draps froissés.

Enfin je peux me dégager, profiter de sa faiblesse. Je me relève, glisse vers son bas-ventre, enferme la bite dans mes mains, suce le gland, le méat, lèche le membre entièrement. Mon ami se rend, capitule. Il s'arrache de mes caresses en murmurant des mots tendres, il me supplie de le laisser. J’aime l’abandon de l’homme.

Heureux, les deux

 

© bisou

 

 

 

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