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le blog en sucre
29 août 2017

Sa queue m'encule, me déchire ....elle cogne, écarte mon trou....

Mon inconnu m'est devenu connu, c-a-d plus familier. Chaque fin de semaine, je le retrouve à l'hôtel, dans la même chambre. Il ne reste pas longtemps, le temps d'assouvir sa passion, celle de me mâter, sans un mot, juste des ordres assez secs. Je suis sa chose et j'aime.

Par sms, je sais comment il veut me trouver le lendemain, debout, au lit, nue ou habillée,  dans l'ombre de la pièce, éclairée seulement par une faible lumière que diffuse un minuscule abat-jour, ou en plein soleil..

La plupart du temps, j'attends. Fébrile, presque angoissée, mais mouillée d'excitation. J'attends, jusqu'à en avoir le souffle coupé quand la porte s'ouvre.

Il ne vient jamais seul. Ce soir, l'homme qui l'accompagne, pose sur mes yeux un masque noir. Je suis perdue. Hier soir, tard, le message indiquait brièvement:

-  sans culotte, sans soutien-gorge, juste un porte-jarretelles et des bas noir. -

En venant,  ma robe se soulevait sous le vent. J'aimais les regards des hommes dans la rue. Jouisseuse, presque indécente, je donnais du plaisir, en émoustillais plus d'un avec des gestes osés, provocants, qui montraient un peu de ma nudité.

J'arrivais à l'hôtel, le sexe trempé, la tête folle. Dans la chambre, la robe au sol, j'ajuste le serre-taille, les bas noirs tirés allongent mes jambes, je garde mes pieds dans les escarpins rouges....

La porte s'ouvre, il est à l'heure pile-poil, sa silhouette se découpe, j'aime, je tremble. Le gars qui l'accompagne le suit, ferme la porte.

Dans la pénombre, mes yeux bandés, le souffle de l'homme hume mon odeur. Il toussote.

" Ecarte tes jambes, retourne toi, baisse toi, mains sur le lit "

Je dégouline à l'intérieur de ma chatte. Des doigts écartent mes fesses. Brûlante j'attends son coup, le premier, celui qui écarte les lèvres vaginales déjà gonflées, mais un nez s'engouffre, une langue lèche ma fente chaude et humide, mon anus ridé. Je murmure de plaisir.

Son corps se calque sur le mien. Des mains brusques m'empoignent les hanches. Une queue raide s'enlise entre mes grosses lèvres. 

" Tu mouilles salope, tu mouilles même beaucoup ! "

L'homme bande comme un âne,  d'un coup sec il plonge sa bite dans ma vulve bouillante. Comme un chien il tape son bassin sur mes fesses, sa verge raide remplit mon sexe, la queue écarte ma fente gluante, je crie, divague.....

Les ongles de ses mains se font dures sur ma peau. Sa queue cogne de plus en plus vite, je dégouline. Chaque coup devient de plus en plus bestial, il va me déchirer, l'homme est vulgaire en paroles, sa main frôle mon anus qui palpite, un gros doigt pousse, écarte mon muscle anal. Je jouis, serre mon vagin trempé, profond, chaud.

Ma poitrine balance, il retient un sein dans la paume de sa main, écrase le téton dur entre son pouce et son index.

Ses caresses deviennent plus douces, leurs contacts attisent encore plus la fine douleur du pincement. Je m'accroche aux draps, creuse ma taille, comme une catin je pousse mon cul vers lui, ma chatte contre lui. Les attaches de mes jarretelles se tendent, séparent ma peau.

Mon amant murmure, il va jouir, il tremble, ses gestes deviennent désordonnés, sa main frappe mes fesses, mes cuisses, j'adore, je jouis par vagues rapprochées, voluptueuse je creuse encore plus mon dos.....

Mon homme s'arrête, d'un geste vif il sort sa bite de ma fente. Il respire profondément.

" Agenouille-toi sur le lit "

Sans un mot, affaiblie par le plaisir, je me laisse faire, je suis bien, trop bien.

Les genoux et les coudes sur le lit, j'offre mon cul, mes fesses à cet homme mystérieux. Il plonge son visage sur ma chatte béante, sa bouche aspire ma cyprine, sa langue me paraît rêche, longue, mais c'est ses dents qui râpent ma vulve entière. Un doigt écrase mon clito, enfonce mon petit bouton d'amour, je suis lavée, débarrassée de ma mouille chaude. Mon amant prend son temps, mes petites lèvres sont écartées, ma vulve rougie est sucée.

Je love ma tête dans les draps, dans mon plaisir intense. J'ouvre mes paupières, je me vois dans le grand miroir de l'armoire grise. A genoux, cul en l'air, ébouriffée, seuls les traits noirs de la jarretière dénotent sur ma peau blanche...

Mon homme est beau, sympathique, cheveux gominés, il lèche mon entre-jambes avec volupté et gourmandise. Je distingue son membre raide, bien droit. J'ai encore envie de lui, le ressentir encore une fois dans mon ventre, dans ma chair. Je ne pense qu'à mon plaisir....

Brutalement mon amant se relève, un doigt effleure mon anus, le gland de sa bite pousse sur ma rondelle brune. Mon amant mouille sa queue avec sa salive, avec les dernières gouttes de ma mouille qu'il recueille sur ses doigts, qu'il étale sur mon bouton fripé.

Je sursaute, un ordre me cloue au silence, le poids de son corps m'arc-boute. Une queue écarte mon anus sauvagement, fermement. Une main claque sur une cuisse, la peau chauffe. Mon cul est en feu...

Des mains tiennent mes fesses. Une bite pousse sur mon muscle anal qui s'écarte, mais résiste. Je gémis, étouffe mon mal dans les draps fripés. Un coup de rein brutal enfonce toute la longueur, la grosseur du pénis raide au fond de  mon anus qui se déchire, qui brûle. Je hurle, veux me relever, mais ne peux. Avec audace, comme un sauvage, mon amant bourre mon trou élargi par force. Il m'encule profondément en dégustant ses allées et venues. Il me baise de toutes ses forces en me fixant dans les yeux qu'il voit dans le miroir. Son regard est sombre, inhabité....

Des spasmes déferlent, je serre les muscles. Je jouis dans le plaisir, dans la douleur.

Mon amant bat le rythme en cadence, puis plus lentement comme pour apprécier l'étroitesse de mon étui anal, tape en moi en s'agrippant à mes hanches. Sa bite glisse, coulisse, se concentre sur les spasmes, les vibrations qui déferlent...

Mon amant soupire profondément, il vient, son orgasme l'ébranle. Il gicle dans mon trou du cul. L'homme se détache un peu, mais reprend quelques coups profonds dans ma chair  douloureuse. Sa queue cogne brutalement  comme pour  laisser une trace de son passage, elle chasse un trop-plein de sperme qui dégouline sur mes cuisses. Mon anus brûle, fait mal, mais mon plaisir est grand.....

Mon amant attend la débandade, doucement, lentement il retire la pine de mon trou, sursaute à chaque vibration de mes muscles.... J'apprécie... Je reste avachie sur le lit...

La porte s'ouvre, se referme, je passe sous la douche, remet en ordre mes cheveux, ma robe glisse sur ma peau, je suis bien, calme.... Seul mon cul est brûlant......

 

 

© bisou

 

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Commentaires
B
jolie recit
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P
Quelle salope cochonne ! Ta longue histoire est bien écrite, on sent que c'est vécu et même si tu ne publie pas les commentaires je te le dis :<br /> <br /> Je crève d'envie de t'enculer jusqu'aux couilles ! On a lu ton histoire avec ma copine qui a mouillé et qui après a voulu être enculée comme toi.
Répondre
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