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le blog en sucre
24 octobre 2016

J' écarte mes doigts de pieds en bouquet , caresse sa bite......

Ce petit voisin m'attire. Fébrile, il attend souvent que je sorte de chez moi ou il me téléphone. Il me donne des courses à faire, je n'hésite pas une seconde pour me rendre utile.  C'est un homme d'un âge certain, mais qui est encore vif, joyeux.

Libre, je me retrouve chez lui dès son appel à l'aide. Parfois je ressens fortement qu'il ne veut pas que je rentre dans son appartement, j'ai la certitude qu'il y a des femmes qui viennent le voir, contente pour lui. D'autres fois il se presse de me faire entrer, il me colle alors au mur du couloir, sauvagement il touche mes fesses, mes parties intimes. Ses mains m'agressent presque, son silence doublé d'un regard noir me fascinent, m'entraînent directement vers un mystérieux plaisir.

Ce matin-là il est plus hardi que d'habitude. Dès mon arrtivée, il n'hésite pas à poser ses mains sur ma poitrine. Je le repousse un peu, ne veut pas le blesser, le vexer, il insiste en tournant les paumes sur mes rondeurs, il excelle de bonheur comme un sadique. Très vite il glisse ses doigts sur mon bas-ventre, sa bouche se presse sur ma bouche, sa barbe chatouille la peau de mon cou. Mes deux mains l'éloignent.

Je suis bouleversée par son audace, pourtant cela ne me déplait pas. Je palpite, j'ai des pulsations fortes. Je veux esquiver son culot, il me retient avec une main sur ma chatte. Impudent il régente ses envies, je ressens ma faiblesse et ma curiosité de plus en plus forte.

Ce vieil homme va au but ce matin-là, je m'assieds sur une marche de l'escalier. Les mains autour de mon visage je le regarde sérieusement pour lui faire comprendre qu'il ne peut pas toujours avoir ce qu'il veut. Il s'approche de moi, s'agenouille sur les marches plus basses. Les deux mains jointes il me dit;

" Laisse-moi stp ! "

Il refuse que je mène, il conteste, c'est lui qui règne, comme à son habitude.

Ses mains râpeuses caressent mes cuisses, je serre mes jambes. Mon sexe est à la hauteur de son visage. Avec rigueur il écarte mes genoux, sa tête plonge sur ma chatte. Je veux me relever, il presse tout le haut de son corps sur moi. Le vieux me regarde, sourit, profite de mon émotion, pénètre ses doigts dans ma fente, écarte ma vulve.

Je m'étonne, j'ai du plaisir, fébrile, je soupire. Le vieux touche la partie sensible, je mouille. Je pousse de petits cris de bonheur. Sans quitter mes yeux, il titille ma chatte jusqu'au point final. Femme fontaine, j'éclabousse la marche en bois, gicle sur sa chemisette.

L'homme âgé enlève mes chaussures doucement, il profite de ma faiblesse de femme domptée.  Il se lève, soulève ma jambe, pose le pied sur son bas ventre. Je sursaute, une verge à demi-molle se dessine sous la plante. Je frotte la bosse chaude. Instinctivement je relève ma deuxième jambe, mes deux pieds massent l'endroit bouillant. 

Ses mains bloquent mes pieds, pressent fermement mes doigts de pieds en bouquet sur son sexe.

Le petit vieux se masturbe la bite contre ma voute plantaire.

Il transpire, murmure, gémit. Les mains sur mes chevilles mènent la caresse sur sa bite raide. Il descend rapidement le pantalon.

Avec l'aide de ses paluches, j'encercle la verge avec les pieds serrés. Je glisse sur mes coudes, me couche contre les marches, plie mes genoux, cale mon dos. L'homme blottit sa bite raide. Il se sert de mes pieds pour masturber sa bite. J'aide les mouvements rapides en écartant mes orteils. La pine glisse sur ma peau douce, ridée de ma plante. Je triture la verge, assiège, masse la hampe et le gland sans arrêt.

Le voisin transi serre fortement mes orteils autour de sa verge. Vigoureusement il décalotte le gland, crache sur sa verge. La salive lubrifie mes doigts de pieds. La sexe tendu glisse rapidement, l'homme serre plus fort ses mains sur mes pieds qui écrasent sa verge dure.

Le voisin éjacule, le sperme se répand et coule entre les orteils. Le liquide est chaud comme de la cire, l'homme vide ses testicules.  Sa force se décuple, ses mains sur mes chevilles écrasent sa bite, mes pieds frictionnent, pétrissent, malaxent la verge, les bourses.

La respiration du voisin se détend. Doucement il ouvre les paupières tout en laissant ses mains sur mes orteils mouillés de semence blanche.

Il s'adosse contre le mur et lâche mes jambes. Je me relève un peu. Il tombe à genoux entre mes cuisses, pantalon sur ses chevilles, cul nu. Il se couche sur moi, embrasse mon cou.

L'homme se relève. Tendrement il prend mes pieds dans ses mains. Il hume l'odeur de son sperme qui a coulé entre mes orteils, sur mes chevilles. Le bout de sa langue lèche les traces visqueuses. Mes doigts de pieds sont sucés un à un, chatouilleuse, j'éclate de rire et de bonheur.

Il sort un mouchoir de la petite poche de son short, sèche ma peau fine entre les orteils avant de me remettre les ballerines...

Doucement je me relève, l'aide à se revêtir correctement. Il embrasse mes joues, mes mains, se noie dans mon regard. Penaud, apaisé il descend les quelques marches, sur le pas de la porte il envoie un signe de sa main, un merci langoureux et rentre chez lui. 

 

© bisou

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