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le blog en sucre
23 septembre 2016

Je montre ma chatte trempée, il gicle dans le vide....

 Il fait chaud, le creux de mon dos est humide, cette humidité se propage sur mon corps, je me lève d'une bonne nuit de sommeil et déjà l'air est lourd. Une tasse de café entre les mains je soupire en allant vers la fenêtre, je m'appuie contre le montant, remonte un peu mes cheveux, dégage mon cou, un petit vent raffraîchissant se mêle à ma chevelure.

Depuis quelques jours déjà des ouvriers travaillent sur le toit de la maison d'en face.

En contrebas je dois lever légèrement le visage, je surveille l'avancée des travaux, les tuiles sont presques posées. Parmi  les ouvriers je remarque un seul homme au potentiel charmeur. Un type au dos carré, musclé. Son teint est bronzé, son torse nu découvre des omoplates sèches. Je  prends un malin plaisir à le suivre du regard. Il parle avec ses copains, ses mais gantées m'impressionnent, elles me semblent grandes. Sa voix devient de plus en plus forte, il joue de son corps, ses amis rient......

Il m'a vue, j'en suis certaine. J'ose un geste érotique pour voir sa réaction et en être sûre. Je dégraffe les bretelles de ma nuisette, laisse tomber la brassière, je vais voir s'il réagit.

L'homme me voit, il reste figé, la bouche bée. Audacieuse je caresse avec mes paumes le bout pointu de mes seins. Il réplique en fermant sa main sur sa braguette, elle monte la partie centrale, sa langue lèche ses lèvres. Je tressaille de plaisir, il me chauffe, je lui rends sa chaleur. Je ventouse ma poitrine contre les carreaux, écrase les tétons durs. Il se retourne complètement, une main sort du gant, se place sur la braguette du bleu poussiéreux. L'homme serre le pantalon, secoue le tissu en imitant une masturbation.

Ses copains s'amusent, lui est impassible. Il regarde mon image mon spectacle, je regarde ses gestes obscènes.  Il pose sa main doigts enroulés en forme d'étui devant sa bouche, il fait semblant de sucer un pénis, lèche sa main de bas en haut. Ses hanches bougent comme pour une pénétration...

Je quitte la fenêtre avec confusion et émoi. Mon sexe chatouille. Euphorique, je prends place sur une chaise devant la porte fenêtre grande ouverte face au toit. Il devrait me voir. D'ailleurs il épie, lésine, observe.

J'écarte grandement mes jambes. La brassière de ma nuisette sous les seins laisse à l'homme le plaisir de lorgner mes rondeurs  cachées par le voile léger. Je caresse les pointes dures, soupèse ma poitrine la tête renversée vers l'arrière. Mes cheveux ébouriffés s'étalent dans mon dos. D'un geste brusque de la tête que je relance vers l'avant, ils se dispersent sur mon visage, mes épaules, mon torse, cachant l' essentiel, laissant la sensualité entière. Mon déshabillé glisse entre mes cuisses, dissimule mon sexe. J'écarte un peu la voilette.

L'ouvrier s'est assis sur les tuiles, ses jambes sont éloignées l'une de l'autre. Il se tient avec un pied sur une planche de bois du toit. Il ne peut tomber. J'aperçois la braguette de son bleu ouvert, une main fouille sous le tissu.

L'ouvrier attend plus de geste de ma part, moi j'attends sans bouger... Je devine aisément sa main qui masturbe une bite sous le pantalon.

Ma main glisse vers l'aine, mes doigts s'engagent entre mes lèvres vaginales, je ressens mon bouton érigé, les petites lèvres, un creux chaud et humide ou mon index se perd. L'homme est intéressé, il s'anime un peu plus, j'arrête mes mouvements charnel. Je l'ai excité, j'en veux plus.

Je lui envoie un baiser sur le bout de mon index trempé. L'homme est en sueur. Sa main sort son sexe de la braguette . Il bande. Je soulève le voile de mon négligé, glisse mes fesses sur le bout de la chaise, écarte encore plus mes cuisses. Ma chatte est ouverte, fendue, mouillée. Je laisse tout le plaisir à l'homme de fixer mon sexe puis le dissimile à nouveau.

L'ouvrier guette, scrute. Sa main s'accélère.  Elle masturbe la verge avec véhémence, brutalité. Le pénis est rouge foncé. J'ai l'impression de sentir son odeur fauve.

Je soulève ma nuisette plusieurs fois, dévoile mon entre-jambes accessible,  prèt à baiser. Je joue avec le tissu léger, caresse ma chatte qui coule de sensualité. J'affriande honteusement mais agréablement....

L'homme murmure. Il est presque allongé sur les tuiles, son corps est arc-bouté. Ses copains sont tous échauffés, regardent la scène.

 L'ouvrier se crispe, sa bite est secouée par une main sauvage, j'égare l'étoffe fine, ma chatte est libre, visible et profonde. Le mâle gicle par saccades dans le vide, des jets réguliers bien chargés de sperme. Sa main est poisseuse, l'étalon écrase la verge, la secoue de bas en haut.

En ligne de mire je vois son visage de bien-être mais aussi effaré. Sa main veut remettre le pénis dans le pantalon, mais le coquin est encore en forme.

Je me redresse, remonte les fines bretelles de mon négligé. Doucement je me lève de la chaise, marche vers la porte-fenêtre pour la fermer.  Mon sourire le remercie, un baiser m' est envoyé posé dans la main rude de l'ouvrier. Ma bouche s'arrondit pour se poser sur le carreau de la vitre.... je laisse une trace de mes lèvres entourée dune légère buée, faite par ma respiration haletante....excitée....

 

© bisou

 

 

 

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