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le blog en sucre
4 juillet 2016

Plaisir du covoiturage, sa verge enfoncée dans mon cul coule

De passage pour un court Week End chez des amis, j'attends  le covoiturage qui allait m'amener 450 kms plus loin, chez moi. A peine dans la rue, mon bagage posé à terre, un coup de klaxon me fait lever la tête. L'homme aux lunettes noires me fait signe de la main, la vitre côté passager descend.

" Bonjour , vous êtes bien Lysia ? "

" Oui, bonjour, j'ai reconnu votre voiture, vous êtes la personne qui m'enmène  ? "

" Oui....... "  la voix est cassée parce qu'au même moment le conducteur a claqué la porte, s'est vite retrouvé près de moi, a pris mon bagage pour le mettre dans le coffre.

" Enchanté, je suis ravi, vous êtes ma seule passagère, j'espère que cela ira,  j'espère vous être agréable..... "

L'homme est bel homme, la soixantaine, cheveux grisonnants, pas trop grand, élégant....

Le col de sa chemise est ouvert, j'aperçois quelques petits poils sombres. Ses avant-bras aux manches retroussées sont velus, les ongles courts, de belles mains. Emue, même troublée je panique devant la séduction qu'il émane. Je crois bien qu'il s'en est aperçu, un sourire ravageur me fait trembler. Sa bouche montre des dents claires, bien rangées.

" Mais ne vous inquiétez pas Lysia, nous allons prendre la route...... Venez.... "

La parole se joint au geste, un bras dans le dos, une main chaude sur la taille me mêne vers la portière. Il se baisse, ouvre la porte,  remet en place un petit coussin clair, m'invite à prendre place sur le siège. Elégamment je pivote mes jambes, le talon de ma chaussure reste un court instant accroché, j'évite de rester cuisses béantes mais l'homme a tout le loisir de laisser traîner son regard.

" Pardon "

" Oh!!!!...... ne vous en faites pas, vous êtes bien belle, charmante Lysia. " Il a un frémissement ambigu, très vite troublé et un peu en sueur il referme la portière sur moi.

Intimidée je le regarde quand il s'assied. Un malaise partagé parce qu'il me dit....

" Lysia, j'ai vu, je n'oublierai jamais "

J'éclate de rire, émoustillée, aguichée je pose ma main sur son avant-bras, sa main touche ma cuisse. La voiture démarre.

L'homme est excité, je scrute son profil.... Il a des mouvements nerveux sur le volant, parle de tout et de rien, devient de plus en plus tendre. Je réponds direct, lui fait comprendre mon envie de faire l'amour, ici, là, maintenant, de suite.

Il quitte la route, longe une petite clairière, la voiture roule au ralenti.

" Arrête stp ".....

A peine le temps d'ouvrir la portière, ses bras m' invitent sur l'herbe humide du soir naissant, jambes écartées, ma chatte glissante de cyprine offerte. Mon conducteur a baissé son pantalon, un beau pénis de belle taille s' échappe du caleçon. 

Ses mains fouillent déjà mon sexe nu pour ressentir mon dégré d'excitation. J'ai envie de lui en moi, ma moiteur me trahit.

" Dis moi, cela t'arrive souvent de ne pas mettre de petite culotte ? petite cochonne, je vais te la mettre au fond "

" Oui, prends moi en levrette, prends moi fortement, baise-moi vite. "

Je me retourne. A genoux sur l'herbe fraîche, je creuse les reins, monte mes fesses vers lui agenouillé entre mes jambes. Ses mains tiennent mes hanches. Sa verge glisse sur ma fente ouverte, une main guide le pénis, l'homme s'excite, il cogne son pieu sur mon anus, frotte le gland sur ma chatte trempée.

" Viens, prends-moi vite............ "

Pas le temps de finir ma phrase, d'un coup autoritaire sa verge écarte mes lèvres vaginales. Son dard s'enfonce, coulisse dans ma mouille. Avec hargne l'homme défonce ma chatte, écrase ma fente trempée. Je me retrouve au sol, allongée sur le ventre. Ses mains pétrissent mes hanches, son pénis enfoncé dans mon cul percute, coule d'un va-et-vient animal et féroce..

Je jouis de suite, l'éclabousse, une jouissance de femme fontaine. Sa verge gonflée de désir débonde, explose. Mon conducteur s'affale sur moi, nos sexes en fusion totale.

L'on se retrouve côte à côte, de l'herbe dans les cheveux, les mains terreuses.  Je touche ma chatte, repêche un peu de sperme mélangé à ma mouille. Mes doigts aqueux passent sur les lèvres de mon amant de covoiturage. Il ouvre les yeux, revient à lui. Il sursaute, se lève. Sans un mot, déconnecté, il remonte son pantalon sur sa bite gluante avant de me claquer les fesses.

" Viens, venez, nous partons. "

Sa voix est enroué, son regard perturbé...... Des bras me retiennent, un seul baiser sur le front m'absorbe.

 

© bisou

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Commentaires
M
Je ne peux résister au plaisir de commenter votre texte vraiment torride. À la seule différence que la "dame" faisait du stop. <br /> <br /> Mais, comme vous, elle a, dans un pré, laissé le mâle en rut que j'étais alors jouir longuement de son cul. <br /> <br /> Merci, chère Lysia, d'avoir ravivé un souvenir ancien et brûlant... <br /> <br /> <br /> <br /> Marc
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E
Recits très excitants... très forts... très beaux..<br /> <br /> Je n'ai pas pu me retenir et j'ai adoré jouir en vous lisant et en vous imaginant...<br /> <br /> Merci.<br /> <br /> Bisous.<br /> <br /> Eric
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