Le jeune homme est vierge, sur le canapé.....

 Gentiment le gamin me parle de ses amis accoudés au bar. Il me semble qu'il a 16 ans ou peut-être  plus. Ses yeux malicieux quittent mon décolleté pour se plonger dans mes yeux, mais trop souvent je décèle son attitude. Son costume cravate lui va bien, mais étrangement  n'est pas taillé pour lui. De mon côté je suis vêtu assez légèrement, l'été est chaud.

Nerveux il se retient de ne pas trembler, rougissant il remet en place une longue frange de cheveux blonds, il joue le petit prince devant ses amis qui le dévisage sans arrêt. Il y en a un qui l'encourage à me parler, je m'amuse, je suis émoustillée par ce jeu de mômes et rentre dans la combine.

Il me lance parfois un regard soucieux mais s'approche de plus en plus de mes jambes croisées. Assise sur le tabouret je suis plus grande que lui. Très vite il pose délicatement une main sur mes cuisses, je suis troublée par son audace mais apprécie pleinement cette douceur. Je materne cette bravoure, adore cette hardiesse....Pourtant je le trouve inquiet.

Il m'invite chez lui pour finir cette soirée en parlant je ne sais plus de quoi. Son charme langoureux, sa voix fébrile, me captivent. Tout le long du chemin il joue l'énamouré, ses bras se ferment sur moi, ses bises me font soupirer, je frissonne.

Une maison sur les hauteur de la ville, un salon à la lumière tamisée et puis l'assurance de ce jeune homme qui pour le moment s'affaire à trouver des coupes de champagne. Sa voix est devenue rauque, presque mâle. D'un geste presque trop lent, il ouvre le noeud de sa cravate, le col de sa chemise.

" J'ai envie de toi, je suis vierge "

" Mais quel âge as-tu ? "

Pas d'importance, il baisse la tête, je regarde une proéminence sur son pantalon. Une belle verge se décalque, une bosse importante se dessine. Il reste sur place, ne bouge plus.

Mes joues rougissent comme une gamine. Je pose mon sac à mains sur un fauteuil. J'imagine ses fesses rondes, son torse, sa douceur aussi.

Je soulève ma robe, plonge une main sous mon slip. J'écarte mes jambes. Mon sexe est humide.......

Effrayé, un peu, il s'avance vers moi, se colle contre mon corps, son regard est trouble. Ma main se ferme sur sa braguette. La forme est longue, dure, chaude. Fièrement érigée vers la ceinture de son pantalon, la verge est prisonnière. Le tissu en lin démarque le gland, les veines gorgées de sève....

Je descends ma culotte noir, ouvre la ceinture du jeune homme qui me semble pétrifié. Sa bouche embrasse mon cou, ma robe tombe au sol, mes seins nus, pointent.

Je prends ses mains, les posent sur la rondeur de ma poitrine. Je déboutonne son pantalon, trouve une queue bien en chair, son gland est énorme. La bite est raide, collée sur le ventre. Je veux m'agenouiller pour le lècher la bite, le gamin me relève. Ses yeux sont sombres, il est effaré.

Doucement je tâte la peau fine qui coulisse, ses couilles semblent menues, resserrées. La paume de ma main passe sur la douceur de son gland. Féline je murmure des mots doux, mordille le lobe de son oreille, mes mains  caressent, guident, arrêtent......

Soudain le jeune homme me bouscule, ses bras me retiennent, son bas-ventre se frotte contre mon pubis. Je m'agrippe  fermement à sa verge, à la longueur de son pieu, mes dents mordillent le lobe de son oreille, cela le rend plus sauvage, plus bestial dans ses gestes, il grogne, perd contrôle, est gauche et lubrique.

Je frissonne. Ses mains touchent, sondent, fouillent ma chatte. Comme un automate le gamin tape sa bite contre moi, comme une bête il cherche à copuler. Son bassin est nerveux, désordonné. Sa force est décuplée, il me bascule sur le canapé.

Je respire l'odeur de ses poils du torse, un parfum léger se dégage, mes sens sont en tourbillon. Le plaisir est fort, la jouissance abondante. J'écarte mes jambes, sa queue appuie sur ma chatte liquéfiée, il se retient encore, le pieu se perd, glisse entre mes fesses sur mon anus, mes ongles griffent son dos un peu plus fort sous l'effet du plaisir.

D'un coup fort sa bite localise l'entrée de mon sexe. Je donne un coup de bassin vers lui, sa verge pénètre violemment dans ma fente. Sa tête entre mes seins, les poings sur le cuir du canapé, le gamin à demi agenouillé me fourre fermement et rapidement, il gémit longuement, respire tapageusement. Sa verge tape le fond de ma grotte mouillée. Le balancement irrégulier de ses hanches s'accélère, puis reprend une fornication accélérée, coupée par  de courts instants de perdition totale.....

Mon jeune amant a une secousse, un cri s'échappe de sa bouche, mes doigts s'aventurent sur sa langue, dans sa bouche pour le faire taire. Les yeux fermés il ne bouge plus, reste dans une position arc-boutée, seuls nos sexes sont joints. Le sperme s'écoule, l'odeur de la débauche s'épanche dans l'air frais de la pièce.

Le jeune homme s'étale à mes côtés, genoux à terre, visage entre ses mains.

Emue, je caresse son dos en sueur.......

© bisou