Mon amie est nue, je me masturbe toute excitée, mon sexe est gonflée de désir

Elle est couchée sur le coté, ses jambes sont pliées, le drap couvre légèrement sa taille et fait des plis sur la rondeur de ses fesses.

Je la détaille, cela faisait longtemps que mon amie n'était pas partie avec moi en vacances.

Les derniers souvenirs remontent à plus de 10 ans, j'ai encore l'odeur de son parfum dans les narines.

Je glisse sur le ventre, nue sous mon drap blanc j'apprécie la caresse de l'étoffe qui glisse sur ma peau.

Doucement je retire le linge sur le corps de mon amie, elle a des cheveux roux, elle est criblée de taches de rousseur, contraire à moi qui suis brune avec des éphélides.

Elle frissonne, elle reste pourtant dans la position du foetus, mais remonte ses genoux vers sa poirtrine menue. Longuement mes yeux se baladent sur son corps, je fixe l'entre jambes qui se détache entre ses cuisses, sa chatte est fermée, close et rose, ourlée légèrement, son anus roux est lisse.

Les souvenirs  dans ma tête affluent. J'ai encore la douce odeur de femme amoureuse dans ma bouche, ma langue qui lèche un sexe serré, humide et nu, quelques poils courts et flamboyants.

Ma copine dort profondément sur le lit à coté du mien. Je ne peux m'empêcher de passer ma main sur ma chatte plus grosse que la sienne. Excitée je touche ma mouille qui perle, Mes doigts s'enfoncent, écartent mon petit trou qui est ouvert, profond.. Les tétons de mes seins sont durs comme mon clitoris qui pointe durement. Doucement je roule sur le coté pour ouvrir le tiroir de ma table de nuit. Mon petit gode bleu attend ma visite.

Sauvagement mais en silence je frotte les lèvres de mon sexe qui s'écartent, j'enfonce brutalement le vibromasseur au fond, un va et vient un peu maladroit mais direct, excitée j'éclabousse le drap de ma jouissance trop longtemps retenue.

Mes yeux regardent la chatte de mon amie, l'anus brun, les longues jambes fines, réunies. Je ferme les paupières, envie d'orgasme encore une fois, mon bas-ventre me fait mal, les muscles vaginaux palpitent.

Je fourre, brise l'étroit passage de ma chatte encore en contraction. J'appuie fermement le gode sur le haut de mon sexe,  mon autre main tire sur le mont de vénus et la jointure des lèvres vaginales, un doigt écrase le clito. Je gémis de bonheur mais étouffe vite le cri. Ma mouille jaillit sur mes cuisses ouvertes à l'extrème. Déconnectée un cours instant, mon esprit veut rester éveillé, le plaisir m'en empêche. Je me vois sucer, mordre, passer ma langue sur la partie intime de mon amie, des images se supperposent, le plaisir est intense.

Je renifle mes doigts, une odeur douce, fleurie m'enivre, ma langue lèche l'humidité glissante, transparente. Mes doigts caressent ma poitrine ronde, ma nuque est moite, mon ventre indique le sens à ma main qui se perd entre la jointure de mes cuisses. Mon antre est chaud, gonflée de désir sauvage. Mon index et mon pouce appuient de chaque coté de mon bouton, il ressort encore en me faisant mal. Très vite je resserre mes cuisses, ma sève dégouline, mes joues sont bouillantes, je suffoque, perd la raison, ouvre encore plus mes cuisses comme pour laisser un peu d'air frais lécher mon sexe.

 C'est la langue de mon amie qui lape ma chatte. Elle me regarde tendrement. Surprise je veux me relever mais sa main me repousse sur le lit défait.

Sa salive se mêle à ma saveur, sa respiration accélérée rafraîchie ma fente chaude.  Ses doigts écartent mon minou, sa langue douce s'enfonce dans ma caverne. Sa bouche suce, déglutie. Mon sexe me semble énorme, mouillée à l'extrême. Furieuse, mon amie me bourre avec deux doigts, l'autre main pétrie mes fesses, caresse mon anus. Son visage est visqueux, sa bouche mord, lèche, s'enfonce au plus profond de mon être.

Je me crispe, je jouis. Je suis prise de convulsion, rien ne peut arrêter ces vagues  d'extase.

Je rouvre mes paupières, mon amie me regarde. Elle se masturbe avec mon gode assise sur le lit, les jambes pliées sous elle.. Elle étouffe, sa tête en arrière, sa main entre ses cuisses, elle respire fortement et vite. Sa peau se couvre de frissons, dans un murmure interminable, elle jouit, des jets de mouille tache les draps blancs

Tendrement je caresse son ventre, ses seins clairs pour la calmer.

Mon amie revient à elle, ses yeux se perdent dans les miens. On éclate de rire, ensemble on met un doigt sur la bouche comme pour dire " Chut "..........

© bisou