masturbation dans un voilage, la bite voilée, je relève ma jupe, cuisses et chatte nues....
Il fait beau, je relève la jupe sur mes cuisses pour bronzer. Les jambes croisées, j'adore la brise légère qui caresse ma peau. Mon livre favori me plonge dans l'action, je rêve, me déconnecte....Je suis bien dans ce parc calme....
Un bruit léger suivit de gémissements me tirent de mon bien être. Je cherche la provenance de la douce plainte, mon regard caché derrière les lunettes de soleil s'arrête à une fenêtre. Des rideaux claires bougent, je devine une ombre. Ma main enlève les lunettes pour mieux distinguer la forme secrète.
Un homme se tient près du voilage, son ventre est calqué par le tissu léger, il est nu. Une main s'affaire sur son sexe tendu, il se masturbe énergiquement.
Je prends plaisir à l'épier, remonte un peu mes lunettes sombres pour mieux observer ses gestes. L'homme se trouve à peine à quelques mètres devant une porte fenêtre. J'entends des lamentations de satisfaction, il regarde un film porno.
Je suis fébrile, les mains de l'homme enveloppent le pénis dans le voilage blanc. Un bras est distinct. Sans gène le gars s'est tourné vers moi, son souffle saccadé soulève la voilure, sa bite enveloppée coulisse dans la gaine légère qui se lève à chaque mouvement de va et vient, l'impression d'une bite plus raide, plus longue.
Emoustillée, je décroise mes jambes, pose mon livre sur le banc, relève un peu plus ma jupe volantée, écarte mes cuisses, me coule légèrement vers l'avant en tenant le dossier rapeux de l'assise.
L'homme remarque mon geste, il arrête de se caresser mais avance un peu plus dans le voilage. Deux bras se découvrent, le corps reste discret. Le rideau plisse, je distingue les pieds qui dépassent.
Comme à mon habitude en été, je ne porte pas de petite culotte. Je suis seule, personne ni à droite ni à gauche, et puis je m'en fous. Je glisse un peu plus sur le banc, il peut voir ma fente, je l'espère. Ma chatte est chaude, elle coule, s'écarte, gonfle. L'homme reprend ses caresses de plus belle sur sa verge voilée, ses couilles que j'imagine grosses tapent sur ses cuisses.
Le sexe érigé va jouir, l'homme respire bruyamment, fortement. Je passe ma main entre mes cuisses, mes doigts s'enfoncent doucement dans une chaleur, ma chatte est mouillée. Je porte mes doitgs sur mes lèvres, je respire ma féminité, lèche mes doigts goulument.
L'homme pousse un cri, les deux mains sur la bite voilée serrent fermement. Une tache coulante, blanche apparaît sur le tissu léger. L'homme termine sa masturbation les deux mains fermées sur sa verge. Des gouttes giclent encore. Mon sexe à des spasmes, des contractions que je ne contrôle pas mais qui me rendent heureuse de bien être. Je suis bien, je ferme les yeux un instant et savoure la plénitude.
Je m'assieds plus convenablement, remets ma jupe en ordre, regarde la porte-fenêtre. L'homme a disparu, seule la tache coulante de sperme est restée sur le rideau blanc.
© Bisou
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