un jour d'été, sur un drap de bain, la bite est fine, elle éjacule dans ma main
Le jeune me regarde avec insistance. Je suis allongée au soleil. Je n'avais pas remarqué sa présence si près de moi. Je me suis assoupie. Des rires, des paroles m'ont laissés quelques souvenirs de personnes qui se sont installées sur une couverture.
Il fait chaud, mes lunettes de soleil protègent mes yeux. Ma peau sent la fleur de Tiaré...
Je tourne ma tête vers eux, il est là, discret, silencieux, presque sur mon drap de bain. Sa main touche la mienne, doucement.
Je la retire mais la laisse sur le côté. " Bonjour, je vous regarde depuis longtemps, vous vous êtes endormie. "
" Bonjour, ou sont vos amis ?
" Ils baignent, jouent au ballon, je peux rester avec vous ?..."
" Et pourquoi pas, mais vous avez tort, allez vous amusez !..."
Ce garçon me trouble, il a une voix basse pour son âge, des yeux bleus avec d'épais cils noirs, quelques taches de rousseur sur son nez sont éparpillées. Il a enlevé son tee-shirt qu'il a mis sous sa tête pour la soutenir. Sa poitrine est imberbe. J'imagine son corps nu,beaucoup plus grand que moi.
" Je reste avec vous, je vous regarde, je peux vous toucher ? "
Je reste fascinée, émue. Il ressent mon émoi, profite de poser délicatement sa main sur mon ventre, je sursaute. Comme un homme qu'il n'est pas encore, il est sûr de lui. " Chut, j'ai envie d'être près de vous, s'il vous plait. "
Ma peau frissonne, je relève un genou, tourne ma tête vers lui, fixe son visage. Sa bouche dévoile des dents blanches, il passe sa langue sur ses lèvres. Sa main suit l'ourlet de mon slip de bain, un doigt glisse dans le creux de ma hanche, sur les petits poils de mon pubis. Ma peau se couvre de chair de poule, il éclate de rire.
Un doigt coule vers le nombril, puis se perd entre mes seins. La ficelle de mon maillot l'arrête, un deuxième doigt ose passer le barrage pour suivre sa route sur le tissu qui cache des tétons durs. Je m'excite, ferme les yeux, ma raison divague, nous sommes dans l'herbe, pas beaucoup de monde, mais suffisamment. Et puis il est beaucoup plus jeune que moi.....
Je n'ai pas le temps de réfléchir, le soleil aidant, je me sens d'humeur amoureuse.
Son bermuda le trahit, il n'arrête d'ailleurs pas de remettre en place un pénis dérangeant. L'élastique de son short long est posée sur ses hanches... " Viens approche toi encore un peu..."
Il est sur le côté, sa tête est soutenue par une main ouverte, je reste sur le dos, ma main posée sur la peau de son ventre. Il respire vite, étouffe des soupirs. Je perds la tête, ose pousser mes doigts sous l'élastique. Mes doigts touchent une verge fine, dure, longue. Je suffoque d'envie de la ressentir en moi. Je mouille, ressens mon vagin trempé, mes lèvres vaginales qui s'écartent. Un plaisir intense s'empare de moi, j'ai des orgasmes profonds.
Je suis bien. Plus rien autour de nous existe. Je caresse le pénis doucement de haut en bas. Mes doigts se mouillent il éjacule déjà, un petit peu.
Ma main coule sur les testicules, deux boules bien dures. Le garçon sursaute, murmure quand je masse les rondeurs. Je profite de remonter mes doigts sur la bite érigée que je dégage, elle dépasse tendue de son bermuda, à demi décalottée, le gland mouille.
Ma paume tourne autour du gland, le gamin sursaute. " Oh que c'est bon , je vais jouir dans vos mains. "
Il pousse un petit cri, ma main ressent un liquide chaud, je masse plus vigoureusement la verge. Son gland est violet, le méat est ouvert, bien rond. Le sperme gicle souvent, je masturbe la tige jusqu'à la dernière goutte. Le garçon s'écroule sur le côté, gémit en douceur. Des perles de sueur apparaîssent sur son front, son torse.
Très vite ses yeux s'ouvrent, son regard est profond, doux. Une main hardie glisse sur ma peau, dans l'aine, sous l'étoffe de mon maillot. Un genou relevé, je plie le deuxième et le pose sur le côté. Ma chatte est accessible à ses doigts qu'ils enfoncent entre mes lèvres. " Oh, que c'est chaud, tu es trempée, merci... "
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bisou
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