la fessée....mon cul est rouge, zébré, je mouille, j'adore.....
Il attend encore ce soir comme tous les autres soirs. Aujourd'hui, il est vêtu élégamment dans des tons clairs, il fait lourd, l'air est chargé de chaleur que les murs des immeubles ont emmagasinés par un soleil plus que généreux.
Il me sourit, je réponds par un signe de la main comme à chaque fois. Ma jupe longue virevolte autour de mes jambes, j'aurai presque envie de me déchausser, je me retiens pour ne pas enlever mes ballerines.
" Bonsoir ! il fait chaud, ne voulez vous pas partager un verre avec moi ? nous irons dans le parc ici juste à coté..... "
Je reste quelques secondes sur place, me retourne vers lui, je résiste mais accepte son invitation, après tout, je le connais, enfin presque, depuis le temps qu'il essaye de me parler.
Très vite je me sens attirée par son partage, ses mots, sa voix aussi me fascine Il est beaucoup plus âgé que je ne le pensais, les dix ou quinze années qui nous séparent me rendent jeune fille. Je sympathise, il protège.
Un verre, puis deux, quelques tapas plus tard, nous sommes encore ensemble . Les petits plats s'accumulent, les rires aussi. Je suis bien, il caresse ma main avec douceur, j'ose le taquiner sur sa barbe grise naissante, je le ressens paternel, fort.
Il fait nuit, au coin de la rue on se quitte, il me retient contre lui, je me dégage, il me reprend dans ses bras. J'éclate de rire, il embrasse mon cou, je me serre contre lui. Sa force, sa détermination me rendent faible.
" J'ai envie de toi, j'ai envie de te fesser, ta peau m'excite, tu as une odeur d'enfant, viens chez moi, je t'en prie, viens "
Dans l'ascenseur il se colle sur moi, mord mes lèvres, je mordille sa langue, écrase mes seins sur sa chemisette, je soulève un pan de ma jupe, retiens quelques mèches de mes cheveux en bataille, sa main se faufile sur mes cuisses, ses doigts me pétrissent, il est énervé, j'écarte les jambes, creuse mes reins, me retourne vers le miroir. Mes fesses sont malaxées, triturées, j'adore me pousser vers lui, ressentir son pénis dur, enfermé. L'homme à des mouvements saccadés, il tient ma taille et frotte sa verge folle sur mon cul, il imite les mouvements de pénétration.
La porte de l'ascenseur s'ouvre, tout va vite, il m'entraîne dans un sombre couloir. Je suis amoureuse, le bruit des clefs dans la serrure, un souffle d'air frais, je me retrouve sur un canapé, l'homme aux cheveux gris sur moi, ma bouche fouillée, les cuisses écartées, une main qui caresse ma petite culotte à l'endroit de ma chatte trempée.
Je glisse mes doigts vers sa braguette, je caresse la longue bosse du pénis, j'essaye de tirer le zip, sa main me retient brusquement, il enlève ses chaussures, son pantalon, son slip, tout en massant ma fente gonflée de désir à travers le tissu taché de ma mouille.
Sa verge est érigée, décalottée, elle balance droite, raide...Je veux la mettre sur ma langue, la sucer, je me retourne un peu mais il me cale fortement.
" Non, arrête, mets toi à genoux... " Une main claque sur une fesse, ses bras me retournent, ses mains remontent ma jupe sur la taille, je m'affale sur le canapé. Je ressens son souffle chaud entre mes fesses, sa langue lèche l'endroit de mon anus, descend vers mon sexe. L'homme aspire la mouille sur l'étoffe. Sans un mot, brutalement ses doigts arrachent mon slip qui se déchire.
" Comme j'en ai envie, je te veux, je vais te donner une leçon, tu m'as fait bander depuis longtemps, sale gamine, j'aime ta peau douce, ta fente est trempée...."
Il se pousse entre mes jambes, j'écarte les cuisses, espère ressentir sa verge dans ma chatte, mon plaisir est immense, je frémis, j'ai envie de lui, là, de suite, je suis excitée.......
Je soulève mon postérieur, une main caresse mes rondeurs, des doigts se perdent entre mes lèvres vaginales, l'orgasme se fait ressentir, je mouille ses doigts qui masturbent violemment mon vagin.
" Cochonne, tu oses, attends que je te fesse. Sa main claque sur une fesse, puis l'autre, d'abord doucement puis plus vite, assez fortement. La cadence s'accélère, je tremble. Ma fente est profonde, humide. L'homme arrête de frapper, son visage hume mes parties génitales, sa langue lèche les petites boursouflures sur mes rondeurs en feu. Je gémis, mes mains écartent les globes, mon amant s'empresse de passer sa langue sur mon anus, il redescend vers ma chatte, il avale ma mouille goulûment. Un petit répit de tendresse, de douceur.....
La fessée reprend, ma chair chauffe, je jouis, mon visage est rouge d'émotion. Le plaisir est fort, les jouissances s'accumulent. Mon cul est zébré, ma chatte ouverte, gonflée. Je suis soumise, il est sauvage, j'adore.
Le bruit des claques sur mes fesses remplissent l'air, je sursaute, lève mes reins à chaque coup. La limite entre la douleur et le plaisir est fine. Mes fesses brulent. Impudique, ma main caresse mon clitoris.
" Arrête, cochonne, attends que je te bourre. " Je ne peux réagir, ma tête tourne, sensation de bien être, d'abandon.
Je ressens son corps sur moi, il m'écrase. Une bite dure écarte ma fente, elle s'enfonce dans ma mouille chaude d'un seul coup, reste bien au fond. Quelques mouvements de retrait, puis elle s'enlise très profondement, la verge éjacule, l'homme gémit, tremblote, il se retient sur ses bras, puis se couche sur mon dos, son visage dans mon cou, dans mes cheveux.
J'ai aimé la punition......
©
Bisou
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