je caresse mon amie, elle me fait jouir, nos mains sous nos robes....
Elle se tient devant l'évier, ses cheveux noués dans la nuque se terminent au milieu du dos. Très brune, mon amie est bien plus petite que moi. Son mari dit toujours qu'il doit la chercher dans le lit lorsqu'ils sont couchés.
Mes mains lui apportent les assiettes sales. Doucement, tendrement je lui pose un baiser doux sur son épaule, elle me regarde, se tord comme un ver, murmure de plaisir. Elle tourne la tête vers moi, son sourire découvre des dents blanches sous des lèvres fines, douces.
Je pose la vaisselle dans l'eau mousseuse, essuie mes mains sur mon tablier que j'enlève. Je me rapproche d'elle, me colle sur son dos. Mon corps épouse le sien. Mes mains caressent la natte longue, mes doigts remontent dans la nuque.
Ma bouche pose des bisous sur son cou, mon amie frissonne, esquive un peu mes câlins, mais reste vers moi, au contraire elle prend plaisir, elle rit, tremble de plaisir, soupire.
" Lysia ! voyons, j'ai la chair de poule, arrête un peu, c'est trop bon...."
Je m'amuse, elle est surprise.... peut être.
Nos hommes parlent de politique, de foot. Le son de leurs voix nous semblent lointain. Seules dans la cuisine, sans un mot, nos gestes trouvent la parole. Je me sens féline, amoureuse. Mon amie ne me repousse pas, au contraire elle gigote, pousse ses rondeurs sur moi.
Ses mains s'affairent, trempent dans l'eau, mais son corps s'abandonne.
Je la connais depuis si longtemps, elle me parle de sa vie depuis des lustres. Elle sait qu'elle me plait, moi je lui plais, elle me l'a dit déjà souvent....
" Ahhh!!! si j'étais un homme, là ".
" Cela n'empêche pas ".
" Ah oui? " Délicatement mes bras l'enlacent, elle continue de laver les assiettes mais sa respiration s'accélère. Emue, ses gestes sont saccadés. Mes mains se posent sur sa taille, remontent dans son dos, glissent sur ses fesses, je suis troublée. Je tâte, respire son odeur de femme qui se mélange à son parfum.
Je me sens forte, je la ressens faible. Sous mes doigts elle se fait aimante, désirable. Collée dans son dos, mon souffle dans ses cheveux, mes mains caressent une poitrine menue. Les tétons pointent. Mes doigts suivent la ligne de ses hanches. Osée, ma main masse la rondeur d'une fesse.
" ohhhh!!! que c'est bon Lysia " ouiii.... Ses reins se creusent, je glisse mes doigts vers les genoux, mon amie écarte les jambes. Petit à petit ma main remonte, caresse la douceur de l'intérieur de ses cuisses.
Mon corps n'est que plaisir, ma chatte mouille. Je découvre le délice sensuel que je procure à une femme qui répond, se calque sur la jouissance.
Déconnectées. Seule la volupté du moment compte. Ma main se faufile entre les cuisses chaudes, mes doigts caressent les lèvres vaginales cachées par la fine bande de tissu du slip, son sexe est gonflée. Mon amie gémit amoureusement. Je profite de soulever l'étoffe, ma main se ferme sur la chatte, mes doigts glissent dans un vagin doux, trempé.
Ses hanches bougent, je masturbe la foufoune, les petites lèvres vaginales dépassent les grandes. D'un seul mouvement, mon amie se retourne vers moi. Sa bouche se ferme sur la mienne, ses mains mouillées se posent sur mon visage, sur ma poitrine. Nos ventres se touchent. Nos mains s'affairent sous nos robes, sous les vêtements, sur nos sexes.
Je pousse mon amie vers le mur, elle lève une jambe sur ma hanche. Nos bouches ne se quittent plus, étouffent nos petits cris de plaisir.
Mes doigts masturbent une chatte douce, poilue, écartée. Mon amie ferme les yeux, son corps est secoué par des frissons, elle murmure des mots doux. L'orgasme la bouleverse, l'agite. Mes doigts ressentent une texture chaude, agréable qui coule de sa chatte. Je la retiens dans mes bras, cajole son visage, câline son corps. Doucement, elle ouvre ses paupières, redevient la petite sauvage....
Sa main coulisse dans ma fente ouverte, mouillée. La cochonne m'a excitée, femme fontaine je jouis sur ses doigts, mon coeur bat la chamade. Surprise, elle arrête les caresses, ses yeux sont troubles. Elle continue sa caresse, m'arrache des spasmes de plaisir. Sa langue s'engouffre entre mes dents, elle étouffe mes plaintes de bonheur.
Doucement, dans ses bras, je me remets de l'émotion forte.
Nos hommes parlent plus fort, nous appellent. Mon amie demande encore un peu de temps. Les voix reprennent une discussion qui semble faire appel à un débat.
Collée l'une sur l'autre contre le mur de la cuisine, nos baisers se calment. Avec douceur j'essuie ses cuisses, avec tendresse mon amie lèche ses doigts, humant mon odeur intime de femme.
©
bisou
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