un soir, la musique, envie de faire l'amour avec un inconnu
La musique scande des rytmes endiablés, je sirote le cocktail avec gourmandise. Je regarde les personnes qui langoureusement se collent l'une à l'autre, épie les gestes amoureux. Je ferme les yeux, imagine les mains, imagine les sexes.
Chaude, ma chatte innonde ma petite culotte, je croise et décroise mes jambes pour calmer mon excitation. L'établissement est complet, je me trouve assise sur le haut tabouret au bout du grand bar. Les lumières ne permettent pas d'apercevoir avec pureté les mouvements ce qui décuple l'imaginaire. Je me sens passionnée, ardente.
Un homme bouscule ma chaise, je sursaute, cambre les reins pour mieux me tenir à la barre ronde.
" Oh pardon, excuses, je vous ai fait peur? "
" Non, je rêve... "
" Tu rêves ? de quoi ma belle? " je t'offre un verre? Je viens souvent ici et toi?
L'homme est sympa. Il est grand, fort. Dans l'obscurité je distingue des traits réguliers. Il s'approche de moi pour parler. Le bruit cadencé de la musique étouffe nos paroles.
Je hume son odeur agréable de mâle lorsque son visage est près du mien. Sa main est posée sur mon épaule, volontairement. Je suis bien, je ne résiste pas au sortilège, répond à ses questions, engage la conversation.
L'image de cet homme me trouble, sa gentillesse à un pouvoir de séduction, j'ai envie de poursuivre la soirée avec lui. Mes amis dansent, certains me lançent des coups d'oeil encourageant.
Le mélange de fruits et d'alcool traverse mon corps. Enivrée, j'écoute les mots que l'homme me dit, je bois les paroles comme je bois cette douceur qui grise mes sens.
Comme si on se connaissait depuis bien longtemps, on partage des rires. L'homme pose sa main sur mes genoux, sur ma cuisse. Il me trouble, fait des compliments, prends mes mains dans les siennes. Ses bras tiennent mes épaules, ses bras me couvrent, me désirent. Le souffle de sa bouche dans mes cheveux, susure des mots doux. Je frémis d'excitation. Mon ventre chauffe, mon sexe palpite. Nerveusement je décroise les jambes. L'homme se glisse dans mon dos, instinctivement je creuse la taille. Je ressens la bosse dure de son sexe caché par le tissu de son pantalon sur mes fesses arrondies par l'assise. Je glisse vers l'arrière du tabouret, me lève un peu, tire sur ma jupe qui laisse mon anus et ma chatte libre. J'attends son geste, espère son audace, souhaite la tentation.
Mon slip est mouillé de plaisir, j'adore les petits soins, j'aime cette aventure, ce badinage, ce caprice. Dans la pénombre, l'homme devient fort. Entreprenant il profite de ma débauche, je l'excite, frotte mes fesses sur lui. Une main glisse sous ma jupe, avec envie elle écarte l'étoffe de mon slip. Des doigts caressent ma fente trempée. Je gémis, je vais jouir, là, sur cette chaise haute.
Avec prudence je m'incline un peu plus vers l'arrière. L'homme amoureusement murmure des mots doux qui m'ensorcèlent.
"J'ai envie de toi, j'ai envie de te la mettre, viens dans le sas des toilettes. "
Ses caresses sont osées, profondes, entières, j'ai envie de lui, de sa queue, de sa bite au fond de moi, très vite. Le tapage de la musique n'est plus que bourdonnement. Déconnectés, ensemble, nous allons vers les toilettes. L'homme embrasse, mord ma bouche mes lèvres. Débridée, j'ouvre la braguette de son pantalon, masse sa bite raide. Le gland mouille, ma chatte coule. Avec folie, je remonte ma jupe, me tourne, pose mes mains sur les carreaux froids, cambre mes reins, écarte mes jambes. Avec fougue, il effleure, frôle la fente. Sa verge tendue écarte ma chatte, je soupire de bonheur, de plaisir.
D'un coup sec, sa bite me prend, me pénètre, me fourre. Elle pistonne en cadence, je jouis de suite, il se retient encore. Les palpitations des vagues de la jouissance serrent mon vagin, serrent la queue emprisonnée. La mouille chaude accentue le plaisir. J'arque mon dos, le sexe érigé cogne le fond de ma fente, mon amant éjacule dans de petits cris sourds, feutrés silencieux. Doucement je reprends ma respiration, surement l'homme se retire, son sexe débande, le sperme coule sur mes cuisses. Un mouchoir collé sur ma fente empêche la fuite. Ses bras m'entourent, m'écrasent.
Des bruits contre la porte du sas, se font entendre.
" Tu es là Lysia ? "
bisou
/https%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Fcedistic%2Fcamera.png)