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le blog en sucre
16 novembre 2009

La fessée coquine, je joue la petite fille il adore, il me fourre la chatte mouillée

Un sms court, " étonne moi " . Je me sens de suite femme-enfant. J'aime les jeux érotiques.

Sans hésiter.

Je sonne à la porte blanche, mon coeur bat fortement dans la poitrine. Emoustillée, excitée je tremble de plaisir.

Ses yeux changent de couleur, me regardent de haut en bas, mais il ne sait pas encore ce que je cache sous mon grand manteau long et noir. Son sourire craquant m'invite à franchir le seuil. La porte refermée, ses bras m'enlacent, se ferment sur mes épaules. Son corps se love contre moi et épouse mes formes. Mes fesses collent sur son pubis, je bouge mes rondeurs , je me frotte sur son bas ventre, je ressens son souffle dans mes cheveux, je ressens son sexe qui gonfle.

" non, ne me touche pas, tu n'en a pas le droit ". Je me dégage, il ne comprend pas, me rattrape et me serre contre lui.

" C'est quoi ces enfantillages  ?"  Viens j'ai envie de toi, tu es belle ".

Mes poings se ferment et tapent sur sa poitrine, je me libère en faisant la moue. Comme une petite fille, je joue. Je le provoque, il me désire de plus en plus. Je joue, je m'écarte, m'échappe. Il me rattrape. Sa voix est rauque, ses mains arrachent mon manteau.

Un instant sans geste , étonné, surpris. Il découvre ma tenue d'écolière. Je pose mes mains sur ma jupe courte, sur mon sexe comme pour me protéger. Ma petite blouse blanche est ouverte au cou, je ne porte rien dessous. Mes seins sont durs et pointés déformant le fin tissu.

Les socquettes blanches dans mes ballerines noires, sont retroussées.

" Oh!!!! quelle surprise " " Viens ma belle " Je ne vais pas te faire du mal "

Son bras gauche se ferme sur mon cou, , son corps de mâle me semble plus fort, surexcitée je mouille de bonheur. Je me défends, mais je me rends. Je me trahie, le plaisir est immense. Le sien est décuplé.

  Il ouvre sa braguette, sa main droite fouille , il sort sa verge érigée, le gland est rouge et luisant. Il se masturbe fermement, sa main tient  le pénis, va et vient très vite sur la hampe raide. J' aime voir ce geste.

" Je vais te la mettre petite cochonne, tu le mérites salope " Je me dégage, mais il me rattrape. Mon amant me pousse sur le canapé,  me plaque face contre le cuir noir. La petite jupe courte remonte dévoilant mes cuisses nues. "  Tu es une petite salope, tu n'as pas mis de culotte ? "

Des doigts écartent mes fesses et glissent, s'enlisent dans ma fente trempée, je crie, je râle de plaisir.  Mon amant me possède, touche ma chatte entière,  me masturbe avec assurance. Je lève mon fessier pour mieux apprécier ses caresses,  extrêmes et intimes mes orgasmes sont répétées.

" Mais tu jouis ?

Ivre de plaisir, comme rendu fou, sa main claque sur mes globes. Je sursaute, il prend plaisir, recommence, mes fesses sont rouges, chaudes. Mon amant ferme sa bouche sur ma peau striée, il lèche ma raie brune, ma chatte gluante et coulante. Il goûte ma cyprine fruitée. Sa respiration est désordonnée, comme un fou il me fesse, me lèche, il cherche et trouve son plaisir.  Je suis prise au piège, dans un état second avec la volupté de voir, de subir.

Brusquement sa verge se faufile, écarte les lèvres de ma chatte. Le pénis me semble énorme. Je serre mes muscles, je resserre mes fesses.

" Oui petite garce, tu as peur ? attends elle va te fourrer, viens ma belle "

D'un coup brutal et fougueux, avec ardeur et désinvolture, la bite s'enfonce au fond de moi, je suis écartelée, pleine.

Il reste au fond, bouge à peine, mon ventre est rempli, je suis comblée. "  Tu le mérites, tu m'as cherché, je vais lacher mon jus, je vais éjaculer en toi, "

Comme un cheval fou il bande, ma mouille s'étend, mes cuisses sont humides. Son sexe sort complètement de ma chatte, entre et sort encore.

Mon amant hurle, il se plaque contre moi, dans un soupir de soulagement il éjacule collé contre mes fesses levées et rougies. Sa jouissance est longue, répétée, ses mains agrippent mes sphères, il tremble de plaisir les yeux fermés. Affaibli, il se couche sur moi, sa verge glisse petit à petit hors de moi, s'échappe.

Fou rire, comme une gamine. Comme c'est bon....

© bisou

 

 

 

 

 

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Commentaires
P
ou trouves tu toute cette inspiration ???
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E
après plusieurs mois d'attente, quel plaisir de te retrouver, toujours aussi coquine que volubile !<br /> bisous d'un fidèle lecteur<br /> Edmond
Répondre
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