avec fougue et docile je suce sa verge, mes orifices sont ouverts, il n'est pas seul.....
Couchée sur le lit, jambes écartées, il me laisse les cuisses et le sexe mouillés de sperme, de cyprine. Il m'a fait l'amour avec fougue, avec brutalité. Mes orifices rougies par le frottement de sa verge sont ouverts, distendues, sensibles.
Il se releve, me regarde avec tendresse et désir mélancolique. Son pénis a le gland décalotté, il est encore en semi érection.
" J'ai une petite surprise pour toi, je veux te voir, te regarder, va vite prendre une douche, te rafraîchir. "
Sa main me tire vers lui, ses lèvres se ferment sur ma bouche, sa force de mâle me rend docile, amoureuse. Excitée, sollicitée par ses paroles, je laisse couler l'eau sur ma peau, le rejoins vite dans la chambre.
Mon corps encore humide et frais, je me love dans ses bras avec plaisir, ses bras se ferment sur mon corps.
Mon homme s'assied dans le grand fauteuil près du lit, il caresse ses couilles, sa bite qui raidit, il se masturbe. Deux doigts serrés autour de la hampe vont et viennent. Je me lève à mon tour, m' agenouille entre ses jambes, sa main cherche mes fesses, des doigts écartent mes globes. Un doigt glisse sans peine dans mon anus. Ma bouche se ferme sur la bite offerte. Je suçe le gland avec avidité, passe ma langue autour de la pointe violacée. Mon amant gémit, murmure de plaisir. Douce je me fais féline, aguicheuse.
Il se relève très vite, fermement me pousse sur le lit, ordonne une position. Les cuisses pliées, écartées, courbée vers l'avant, ma poitrine s'étale sur le tissu, ma tête repose sur l'oreiller. Je me fais vicieuse, perverse, mes deux mains écartent mes fesses, j'ondule mes hanches, mon cul en l'air j'aguiche le mâle en rut. Ma fente mouille d'envie.
Mon amant ouve le tiroir de la table de nuit, lie un foulard en soie autour de mes yeux, formant un bandeau sombre. Je ne vois plus rien, mon plaisir est décuplé. Les claques sur mes fesses me font sursauter, une langue chaude vient me titiller.
Sa langue lèche mon anus, ma chatte rougit par l'excitation.
" Mmmmm, mais tu mouilles fort, cochonne, attends, ne bouge pas, je reviens "
Le bruit des pas s'éloignent de la chambre me laissant dans cette position bestiale. Je frissonne, quelques froissements de vêtements viennent à mes oreilles, le bruit de la boucle d'une ceinture. J'attends sans dire un mot.
Le lit bouge, submergée par un souffle chaud, je tremble. Une morsure fine dans ma nuque et une bouche avide sur mes lèvres me comblent. Je reprends conscience de mon corps, de mon entourage avec une pointe mystérieuse, celle de ne pas voir.
Un corps velu se plaque sur mon dos, des lèvres gourmandes avec une langue experte me fouille la bouche. Inondée par l'odeur familière de la salive, je me fais féline, femme,.... mais il n' est pas seul.
© bisou
à plus, pour la suite.
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