il griffe mes cuisses, léche ma raie brune, brutal, il me sodomise à fond
Un tremblement convulsif m'ébranle. La sensation agréable sous l'effet de mon émotion augmente.
Des mains claquent sur mes fesses.
" Prends la devant moi, lèche la, pénètre la ".
Mon ventre tire. Mes mains écartent mes fesses. Mon amant griffe mes cuisses, sa langue lèche la raie brune de mon cul, suce ma fente, aspire mes lèvres boursouflées, ma mouille chaude. Il me touche partout, enfonce ses doigts, fouille mon anus. Je prends le délice de ses caresses en râlant, réduite à subir sa force d'homme.
Le gland sombre de sa verge glisse sur ma fente, lentement il me pénètre cm par cm. Avec un malin plaisir il me besogne fortement à grands coups, change de rythme régulièrement. L'orgasme me secoue. Les vagues de la jouissance m'ébranlent. Les plaintes de mon ami m'imprègnent, ses gémissements augmentent, s'ajoutent en abondance à mon excitation.
Un bras sous les hanches me bascule. Le corps de mon amant m'écrase, m'écartèle. Une main arrache le bandeau, je cligne les yeux. Vautrée sous lui ma bouche lèche ses lèvres. Sa bouche mord les miennes.
Mon ami assis dans le fauteuil nous regarde, les jambes écartées, la verge tendue et gonflée de désir, le gland brûlant et violacé.
Je suis excitée de voir le plaisir que je peux donner aux deux hommes, l'un voyeur, l'autre amant d'un moment obscur mais désiré.
Je pousse la tête de mon mâle vers mon pubis. J'agrippe ses cheveux, je dirige son visage vers ma chatte trempée. Expérimenté il sait prendre les orifices. Sa langue titille la peau fine de mon anus et s'enfonce dans ma vulve ouverte. Sa bouche boit ma mouille.
Etendue, affalée sous lui, je dévisage mon ami, je l'invite à venir vers moi. J'écarte encore plus mes cuisses, remonte mon bassin, caresse ma poitrine, pince mes mamelons érigés. Je m'exhibe, salope, cochonne.
Les yeux vitreux, mon ami se branle. La bite érigée, les deux mains autour de la hampe descendent à la base de son pénis raide, sa main palpe les testicules, remonte sur le gland rougi. Il enveloppe la verge dans le pan du drap et se branle violemment. Son visage marque une satisfaction vicieuse. Sa respiration est bruyante, plaintive, saccadée.
Mon amant soulève mes hanches, regarde mon ami et lui dit.
" Regarde, je vais la défoncer ".
Il retire le pieu de mon sexe, pousse fermement le gland entre mes fesses. La verge mouillée élargie mon cul.
" Je vais te sodomiser à fond " .
Sa bite dure glisse, s'engouffre, s'aventure dans l'étroitesse de mon anus. L'extase mélangée à la douleur me fait gémir.
" Oh oui remplis moi ". J'aime ta grosse queue ".
Mon ami se lève du fauteuil. Sa verge, entortillée dans l'étoffe satinée du drap dépasse serrée par une main ferme. Il me regarde tendrement, mais avec absence. Il éjacule sur mon ventre en murmurant. Le sperme gicle par jets, se répand sur ma peau, ses doigts, ses cuisses.
Mon amant me sodomise outrageusement. Il me prend comme une chienne, comme une amante. Il éprouve du plaisir autant que moi. Son regard étrange me pousse à être obscène. J'écarte mes fesses avec mes mains, creuse mon dos, ma taille.
Il se retire brutalement, frappe sa verge sur mon sexe mouillée, lache sa semence chaude, épaisse. Sa main serre la base de la verge la rendant arrogante. Il dirige les jets sur mes cuisses, le liquide blanc coule, laisse des traces visqueuses, gluantes.
Soulagés mes amants se regardent, m'embrassent, épousent mes formes.
Les corps repus, ivres par l'action se calment, reprennent la quiétude de la douceur.
© bisou
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