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le blog en sucre
29 mai 2007

Les deux vieux bandent comme des ânes, dans la cabane ils me fourrent

Aujourd hui temps gris et froid.

J' ai mis un gros pull en laine sur un pantalon  large pour  ramasser des débrits de feuilles, de branchettes, tombés des arbres du jardin après l'orage de la nuit. Le travail à peine terminé, des chuchotements,  des appels du coté de la cabane me viennent à l'oreille.

Mon voisin m' appelle, me demande si je peux venir chez lui pour quelques petits câlins. Le bougre n'est pas seul, son copain le ridé au sexe long attend lui aussi près de la porte le pénis dans la main. Il le secoue de haut en bas en faisant reculer la vieille peau du prépuce.

Gentiment je les rejoins,  après tout pourquoi pas... je n' ai même pas le temps de leur parler, les deux compères me tâtent les seins les mains sous le pull. Les vieux frottent leurs sexes sur moi. Ils m' insultent, me traitent de cochonne viscieuse, de suceuse de bite. Des mots grossiers qui ne me font pas peur.

" Salope, vas te faire péter la rondelle par un chien, un bon sauvage qui va te défoncer, un animal qui te fourre ta chatte visqueuse. Les vieux sont excités, la prunelle de leur yeux est noir, grande ouverte, mais le regard n'est pas méchant, au contraire.

Ils me poussent dans la cabane, ferment la porte ébréchée. Peur qu'une de leurs femmes ne viennent découvrir nos ébats. Les deux  bandent fort, les mains à la base des pénis serrent fortement. Les sexes sont rouge sang, du sperme perle au bout de leurs queues. 

Mon voisin est à genoux, ses mains ont descendu mon pantalon. Il me lèche la chatte, sa langue pénètre dans ma fente mouillée. Le second se colle dans mon dos, sa pine frotte la raie de mes fesses, parfois se perd entre mes cuisses. Je suis mouillée de sperme.

Son copain ridé est derriere moi, il masse mes seins, le pull sous mes aisselles. La peau me brûlent et est tuméfiée par les carresses des mains rugueuses,  sèches. Les mamelons pointent, font mal.

Je touche les phallus poilus, fait glisser mes doigts sur les colonnes fripées mais raides et verticales. Les deux cherchent à enfoncer ma chair, le dard  dans mon sexe mouillé. Excitée par leur âge, je mouille fortement.

Le plus vieux me bande les yeux avec un mouchoir, je me laisse faire. C'est affolant de ne pas voir ce qui se passe. Il me pousse vers un fauteuil rapé que j' avais remarqué dans un coin en entrant dans la cabane. Je me suis agenouillée offrant mes fesses,  mon sexe à leurs yeux, à leurs mains, à leurs bites dechaînées.

Un a un ils me possèdent. L'un cogne, s'affaire dans ma fente, l'autre est prèt à prendre sa place pour pistonner comme une bête. Ils écartent mes fesses, fourrent mon petit trou écarté.

J'aime, je mouille, aucune résistance au plaisir. Les verges deviennent lubriques, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Un à un l'orgasme  innonde mon intimité, le sperme coule de mes orifices dilatés, s'épanche sur mes cuisses.

Les vieux gémissent, suent. Les verges sont molles, trempées. L'un d'eux ôte le mouchoir de mon visage. Il me supplie de revenir le voir lui et son ami. Il m'embrasse les joues, la bouche, l'autre se remet des émotions, affalé sur une chaise, la queue basse.......Promis.... 

 

©   bisou

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Commentaires
J
Bonjour,<br /> j ai lu ton blog et je me demande quelle est la part de fantasmes, d envies et de réalité.<br /> Si cette dernière est bien ce que tu racontes ici, est ce que tu te protèges...?<br /> Douce nuit.<br /> Jim
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