Les ouvriers se masturbaient en me regardant

les chambres etaient a l etage, separees par un grand hall. il suffisait d ouvrir une porte un peu retiree des autres pour acceder aux ateliers,ou travaillaient quelques ouvriers.vetus d un bleu de travail,ils s affairaient autour des machines. la gamine que j etais ,tournait la clef et me montrait furtivement aux hommes.je me maquillais les levres et je mettais du fard a mes yeux pour me vieillir. j enfillais une chemise de nuit transparente qui appartenait a maman mais qui m allait au sol, j etais nue dessous. je passais entre les machines et les hommes en les ignorant. quand j y pense aujourd hui je me dis que j avais de la chance de ne pas m etre fait violer, mais que c est grace a ça que j ai du respect pour le male.je m asseyais sur le rebord des fenetres pour admirer le domaine de haut. j ecartais les jambes,je me touchais les seins, je me mettais debout ,le frond contre la fenetre,les reins creuses,mes fesses offertes aux regard des hommes. je croisais et decroisais les jambes,je montais mes cheveux longs avec mes doigts pour laisser tomber ume meche sur le visage, bref  je savais que ça les exitaient.les males ne savaient quoi faire, je jouais la lolita et j etais sure de plaire,les mains s affairaient dans les braguettes. le tissu bleu de leur combinaison etait etire apres la ceinture,  en pointe ou double de volume.certains sortaient leur sexe en mettant une main et en le retirant par le cote, pour  carresser le penis. j en ai vu de toutes les longueurs et formes, j etais fascinee et exitee de voir de vieux bonhommes se carresser un truc ride qui devenait un phallus semblable a certains sexes d animaux ,meme couleur, meme grandeur et meme consistance. j avais deja a l epoque envie d exiter le male et cela m est restee.  les hommes ne se genaient pas de se masturber a pleines mains dans des mouchoirs ou des chiffons qui trainaient par la.  le sperme giclait et coulait et j etais exitee d etre le centre de plaisir de tous les gars.ils gemissaient de plaisir.il y avait des jeunes, beaux,sportifs,barraques.des plus ages, l age de mon pere.et les vieux ,courbes et rides,avec des mains usees qui roulaient la cigarette en un tour de main.   je m en allais rejoindre ma chambre et je lançais un oeil complice et tendre a mes amants virtuels. dans ma chambre , je decouvrais en me touchant les levres de mon sexe que c etait humide et doux.un bien etre total.                         la suite a bientot                 bisou

Comments

[Isman]

Je ne crois absolument pas à ce que tu racontes: ce sont de purs fantasmes !!!
Si tu veux me répondre, répond dans un commentaire.
A bientôt