rené mon premier copain nu, pipi dans l'herbe

Je me rendais à l'école en vélo, tous les jours. Ma mère était sévère sur ce point. Accompagnée  de René le voisin, un peu plus agé que moi.

Nos parents s'étaient mis d'accord pour qu il me surveille. C'est lui le premier qui m'avait dévêtue.

On avait 1 km à faire, ensemble on chantait, on s'arrêtait en cours de route pour s'embrasser. Au retour on s'arrêtait dans un petit sentier. Il relevait mes habits et glissait furtivement sa main dans ma petite culotte pour me toucher le sexe imberbe. Je n'étais pas farouche, c'était mon amoureux.

Il me déshabillait lentement et doucement. Je lui demandais d'en faire autant, il ôtait ses vêtements excité de se montrer nu. Couchés dans l'herbe, au soleil, on était heureux. Il écartait mes cuisses, regardait mon minou. Il passait ses doigts sur la fente, poussait l'index sur les plis. Son sexe ma paraîssait petit a côté des pénis des hommes de la ferme. Je touchais les testicules avec ma petite main, caressais la verge. Le gland n' était pas apparent, caché par la peau du prépuce. Il tirait sur cette peau pour le décalotter. Il bandait déja, excitée je me passais la main sur ma chatte.

Je mettais de la salive sur mes doigts et la laisser couler sur mes lèvres vaginales. Je me touchais, mes doigts s'enfonçaient. J'imitais les femmes que j'avais en souvenir, celles que j'avais épiés avec leurs amants.

Je faisais comme elles en adoptant les positions sensuelles, les manières. Je me mettais a genoux, les fesses en l'air. Couchée sur le dos mes cuisses, mes jambes à l'écart. Debout devant René je tapais mes fesses avec ma main en gémissant. Il riait et m'attrapait pour me serrer conttre lui, je le sentais énervé, j'aimais ses gestes, ses attouchements.

Debout, il se masturbait la verge, sidérée je m'accroupissais et ne ratais pas son éjaculation. Deux doigts allaient et venaient sur la hampe. il étouffait ses cris de plaisir, giclait dans l'herbe en tremblant.

Ma main glissait sur mon sexe et avec émoi mes doigts glissaient dans ma mouille visqueuse.

René faisait pipi, je m'accroupissais pour faire de même.

On était heureux. On voyait souvent des scènes d'amour, on surprenait des couples enlacés, on entendait des murmures , des gémissements venus des fourrés. Les cris étouffés nous montraient le chemin pour épier.

René avait des érections, il prenait ma main pour la mettre sur son sexe dur et pointu. C' était notre petit secret, on gardait pour nous nos ébats de nudité, de caresses.

J'étais fière de montrer à mon ami  la courbe ronde de mes seins naissants, mon minou aux lèvres dessinées, lui me montrait fièrement sa verge en érection.                                 A rené                         bisou