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le blog en sucre
9 juillet 2016

Je caresse la verge tendue qui bat bestialement entre mes cuisses ....

D'un coup rageur, mon amant d'un revers de la main repousse la vaisselle sur la table. Aucun article ne tombe au sol, mais s' assemble.

Le repas est houleux, quelque chose l'a hérissé, sa nervosité est palpable dès sa rentrée. Je m'amuse, reste respectueuse.  A chaque soupir je l'embrasse, câline sa main, son bras. Des gestes amoureux s'échangent. Je le calme en lui proposant un petit jeu.

" Viens je vais essayer de te calmer. "

Je cherche dans ma table de nuit un loup, le pose sur ses yeux. Il rechigne mais se prête à l'amusement. Visiblement excité il a de petits rires et je comprends qu'il aime. Au fur et à mesure de mes attouchements une belle bosse se dessine sur son entre-jambes. Je pousse son torse sur le bois de la table. Il est debout, le buste arqué vers l'avant. Je caresse son dos, masse son cou, ses jambes. Tendrement je descends un peu son short jusqu'à la naissance de ses fesses. Mes mains glissent le long de ses hanches.  Très doucement je me colle à lui, sur son dos.

Mon homme écarte ses bras, se retient aux bords de la table. Il marmonne, bafouille. Lentement je remonte son tee shirt.  Je câline  sa peau, il frissonne. Mes ongles se font plus insistants, de petites traces rouges apparaîssent. Je malaxe pour calmer les rougeurs.

Mon bassin tape sur ses fesses comme pour le sodomiser. Je frotte mon pubis sur ses rondeurs, imite un sexe court et gros avec ma main que j'enfonce entre ses cuisses. Il ronchonne, murmure de plaisir.

Mes mains reprennent l'action de le dénuder encore un peu. La raie de ses fesses se fait plus sombre. De petits poils noirs frisent. Ma main se fait fouilleuse, mes doigts s'échappent dans cette douceur. Je ressens un anus serré, une chaleur brûlante. Je discerne ses testicules que je pétris avec douceur.

Mon homme veut se redresser mais ma main gauche le repousse sur la table.

Je retire ma main de son caleçon, descend totalement le vêtement sur ses pieds.

J'ordonne qu'il écarte ses jambes, docilement il s'éxécute. Je tire ses couilles vers l'arrière, englobe les bourses de ma main. Je me baisse pour lécher les boules, la peau est tirée, plate, j'aspire, donne de petits coups de langue. Ma bouche lèche la raie des fesses, l'anus au gout poivré.

Mon ami s'agite, tressaille. Je lâche les testicules, pousse ma main entre ses cuisses un peu plus vers son ventre. Il a une belle érection avec une verge tendue qui bat le vide en dessous de la table. Mon amant a les jambes pliées. A  plat ventre sur le bois de la table il imite une fornication bestiale. Sa queue dressée est prête à fourrer n'importe quel orifice profond. Il se dolente, ronchonne comme un animal en chasse.

Je suis excitée de le voir ainsi, yeux bandés, fiévreux, échauffé. Mon sexe est mouillé, ma petite culotte est trempée. J' ôte ma robe, mes seins sont tendus. Mon string glisse.  Je le porte sous mes narines, hume mon odeur de femme viscieuse, amoureuse. Je mets mon petit slip sous le nez de mon amant. Il arrête tous mouvements, aspire, renifle l'odeur de ma mouille, de mon humidité. Il frémit, ondule de plus en plus fort son bassin vers l'avant.

" Mmmmm, salope, cochonne...."

Je couvre de mon corps nu le corps de mon amant. Les fesses en l'air, la bite en coït, il veut se détacher de la table. Mes mains claquent sur ses rondeurs, mes doigts se perdent sur les parties intimes, pincent, tirent, s'activent sur la verge. Je branle, masturbe, secoue ce sexe qui me fascine, qui me déchaîne.

Ma mouille coule, l'impression d'un sexe béant, des vagues de plaisir m'envahissent, je jouis de cette émotion euphorique.

Mon homme s'impatiente, je le relève, me glisse entre lui et la table. Aveuglé par le masque, il est en perdition, il ressent ma peau fraîche. Sa queue est mouillée, violacée. Une main sur le pénis il serre la base en écrasant les couilles pleines, tape sur mon cul le pieu décaloté.

Il baise mes fesses, donne des coups de reins en désordre, des coups de débauche. J'esquive à chaque fois pour encore mieux l'amuser. Mon esprit est corrompu, libertin.

Ma main caresse ma chatte, je mouille entièrement mon entre-jambes. Je laisse mon amant me tenir les hanches, il fouille ma fente. Ses doigts glissent au fond, frottent sauvageusement mon clitoris. Ils déclenchent un plaisir profond, bestial.

Mon ami murmure des mots obscènes, son poids sur mon dos, il m'oblige à mieux écarter mes cuisses, sa queue féroce coulisse entre mes cuisses mouillées, elle se perd.

Des cris plus fort, des mots plus lubriques.  Mon amant agité comme un animal redouble les coups de reins. Mes mains écartent mes fesses, ma chatte. Je me colle sur la table, creuse mes reins, lève mon cul.  Mon homme aveuglé par son bandeau pousse son sexe entre ma fente, sur ma chatte mouillée, entre mes cuisses.. 

La bite se faufile, s'enfonce, ressort, appuie sur ma rondelle assouplie par le désir. Mon anus est serré, la queue indomptée cogne trop vite.

Une plainte rauque, mon ami va juter. Ses coups de boutoir sont violents. Il retient ma chevelure avec une main sur mon dos. Il arque ma taille, sa verge tendue bute mon cul.

" Enfonce-là " " Viens ".....

Le pénis raide castagne. J' épouse ses coups pour l'enfoncer au fond de ma vulve. Mon homme bat furieusement son sexe contre moi, l'écrase. Elle glisse vers mon petit trou.

Subitement un seul coup de rein l'enfonce, ma chatte est pleine. J'explose, un orgasme m'ébranle, mon sexe, mon anus palpite.

Mes muscles vaginaux frémissent sous les contractions, la bite est prise, écrasée, tenue. Mon amant jute, éjacule. Il tape ses mains sur mes fesses rondes. Il se lamente, cogne sa verge dans mon étui serré, trempé. La queue tressaille, bouge au fond de moi.

Mon homme reste un moment debout.  Ereinté par le plaisir, vidé  il tombe sur mon corps......

 

 

© bisou

 

 

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Commentaires
J
Bonjour !<br /> <br /> <br /> <br /> Je viens de découvrir ton blog. J'ai pris le temps de parcourir tes textes précédents : Mon Dieu, quelle profusion, quels débordements, quelles orgies de sexe, de luxure, d'érotisme, de pornographie (de haut-niveau), de stupre ! Où vas-tu chercher tout ça ? Je te soupçonne d'avoir vécu la plupart (sinon toutes) ces aventures… Certaines choses ne s'inventent pas. Et ton écriture révèle une femme d'expérience. Combien de fois me suis-je soulagé, employons le mot : branlé en te lisant ? Je ne sais plus. <br /> <br /> Encore d'autres histoires, vite !<br /> <br /> <br /> <br /> Bise
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