Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
le blog en sucre
17 septembre 2011

exhibitionniste sur un banc, j'écarte mes cuisses

Il fait encore très chaud, lourd. Septembre est clément, ma petite robe danse autour de mes jambes halées. Une légère brise fait trembler les feuilles des arbres du parc. Je promène mon petit chien qui plonge sa truffe dans l'herbe. Heureux il gambade autour de moi.

Un banc m'invite pour prendre ce soleil chaleureux. Je n'hésite pas à relever les pans de ma robe, dénudant mes cuisses rondes qui rougissent. Mon amant va me rejoindre un peu plus tard. Avec plaisir, je sors un livre de mon sac à mains, doucement je suis seule face au récit qui me passionne.

Des couples passent, des personnes seules s'attardent un peu plus loin. Derrière mes lunettes de soleil, je vois le manège, je ne suis pas insensible.

 Ma robe dévoile le haut de mes cuisses, je fais exprès d'écarter mes jambes. L'air frais me procure une sensation agréable, excitante. Je pose le livre à coté de moi, roule mon vêtement léger sur la taille, mes mains descendent, enlèvent le petit string qui colle déjà sur mon sexe. Mon désir est émoustillé. Deux hommes s'approchent, se cachent un peu, font semblant d'être attirés par quelconque autre vue. L'un se caresse la braguette. J'imagine son sexe, j'envie son geste.

Je me vautre plus mollement, les fesses au bord du banc en bois, j'écarte les cuisses, ma chatte est visible, je provoque pour séduire. Ma manière défie les regards furtifs devenus excessifs et permanents. Les gestes en disent longs, les hommes sont excités, voyeurs. L'un a ouvert la ceinture de son pantalon, la main a cherché une bite raide, le slip supporte des couilles bien rondes qui sont secouées par la main qui masturbe la hampe épaisse.

Le deuxième à tout simplement enlevé son bermuda. Nu, il a des gestes de fornication, ses reins balancent d'avant en arrière, sa bite rigide cingle, bat le fourreau de ses deux mains fermées sur la hampe. Seul le gland violacé dépassent sur au moins cinq centimètres. Les murmures, les petits cris m'excitent, envie de sucer ces queues durs.

J'adore ces gestes, mes doigts écartent mon sexe trempée, le plaisir est très fort, je vais gicler, je vais jouir.  Je fais durer le sens, me retourne sur le banc, appelle mon petit chien. A genoux je glisse ma robe sur les reins. Ostensiblement mes fesses, ma chatte  sont visibles, salope, je cambre la taille, offrant au regard mes formes, ma fente gluante de désir.

J'aime cette convoitise, je veux aller plus loin, voir les pénis cracher. Comme une salope, je caresse doucement ma fente, elle mouille, s'élargie, rougie.

Exhibitionniste, je montre mon plaisir, transportée dans ce monde de douceur, de volupté.  Les hommes gémissent.

Je sursaute, une main se ferme sur mon épaule. Je n'avais pas entendu mon ami venir. Il s'approche, son pénis sort de sa braguette ouverte. La bite est raide. Il bande fort. Ses yeux trahissent le plaisir de me voir. Il m'avait épié. Lentement, surement l'excitation l'a rendu mâle. Avec bonheur, mes lèvres se ferment sur la bite dure. Je suce goulûment la verge, lèche le sexe, avale au fond de ma gorge le gland rond.

Les deux hommes giclent le sperme, un à un, les plaintes de désir sont fortes. La bite de mon homme grossit. Il éjacule sur ma langue, sur mon palais, dans ma gorge profonde. Je ne bouge plus, apprécie la verge chaude dans ma bouche. Il a aimé me voir, il m'a épié, désiré.....

Plaisir d'un après midi chaud.

 

 

© bisou

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
le blog en sucre
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 162 106
Publicité