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le blog en sucre
22 juin 2009

me masturber sur le transat au soleil, les fesses découvertes, le sexe humide

J'ai pris le plaisir de me masturber régulièrement allongée face au soleil, là dans mon jardin, en toute liberté. Quand je ressens la chaleur des rayons sur mon corps, je me sens devenir féline,  chaude. Je suis consciente des regards qui peuvent me voir, m'épier, cela m'excite et le cérébral aidant, la sensation est forte.

Les traces blanches laissées sur ma peau par le maillot sont délimitées. Un petit triangle blanc sur le pubis, un autre sur la raie des fesses, deux triangles de la base des seins remontent juste au dessus des aréoles. Le reste est halé, bronzé. Mes idées vagabondent, mes mains caressent ma peau douce,  parfumée par le monoï.

J'aime me retourner sur le ventre. Je ferme les yeux, tire sur le fin cordon noué dans mon cou, mon dos est libre, nu, ma poitrine s'étale, s'écrase je roule mon slip sur les hanches, réduit le tissu du maillot qui glisse entre mes rondeurs, l'étoffe touche l'anus, sensations agréables. Je serre encore, mon sexe est à l'étroit, ma chatte palpite. Elle est prise par le tissu qui se ferme sur elle. C'est trop bon.

Je reste tranquille, couchée. Je m'emporte vers des sentiments effervescents. Je creuse les reins, écarte les jambes, les cuisses s'ouvrent. Mes fesses se lèvent, mon sexe se devine et se calque sur l'étoffe fine. Je ressens la chaleur du soleil brûlant sur ma fente. Mon bas ventre fourmille.

Doucement ma main se faufile sur la jointure de la cuisse. Mes doigts touchent les petits poils coupés courts. Un doigt s'introduit entre les lèvres vers mon clitoris qui déjà se pointe. Humide il glisse sous mon frottement direct, précis. Mon index et mon majeur le coince, je masturbe sa base, revient sur le mont de vénus, masse, revient sur ma chatte qui s'ouvre et mouille de plus en plus. Le plaisir est rigoureux, sans doute, sans possibilité contraire.

Avec minutie, mon sexe devient le centre de volupté, mes pensées sont celles d'une femme qui se fait attoucher par une main d'homme, par des doigts qui s'engouffrent au fond de sa chatte, par un sexe raide qui écarte la fente trempée, par un gland lisse et rougi par l'excitation qui cogne au fond. Je sépare encore mes cuisses, mon cul est offert.

Mes doigts s'impatientent, entrent dans la fournaise douce,  profonde, ressortent pour tirer sur les lèvres, pour écarter les plis. Je porte mes doigt à ma bouche, je lèche ma cyprine fruitée,  gluante. Je m'enivre de cette odeur sensuelle,  très vite l'appel de l'orgasme est plus fort.

Mes doigts entrent et sortent, tripotent  ce sexe qui m'appartient, qui me donne cette luxure. Lubriquement je me masturbe.  Je m'excite, on peut m'espionner secrètement, la suspicion de me voir et de ce que je fais me rend viscieuse et plus ardente. La jouissance est raffinée dominée, sensuelle. Je me déconnecte, plus rien n'est perceptible, que ma chatte, ma mouille, mon anus, ma fente ouverte,  profonde, et mes doigts qui prennent assaut de ma féminité. Je n'arrête plus cette envie, ce plaisir d'attoucher mes parties sexuelles.

Je tremble, un bien être complet, raffiné, un sommet à gravir, une explosion de tendresse et de plaisir presque impossible à décrire. Mes doigts s'arrêtent sur mon clitoris, des vagues de jouissance s'étalent, m'ébranlent. Ma chatte vibre, s'ouvre, se ferme, mon anus est souple. Mon sexe est comme un petit coeur qui bat, à chaque battement je fond de plaisir. La mouille chaude coule entre mes doigts. La bande fine du tissu de mon maillot est imprégnée, trempée, tachée de cyprine blanche.

Peu à peu je me retrouve, mes esprits se remettent en place, je perçois le chant des oiseaux, je ressens le soleil sur ma peau, je suis bien, je pense à la prochaine fois. Au prochain bain de soleil.

 © Bisou

 

 

 

 

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Commentaires
M
Certes, comment ne pas être troublé à l'évocation de ce plaisir solitaire qu'on aurait tant de plaisir à partager, comment ne pas imaginer ... mais surtout, comment ne pas craquer, avec ce "bisou" final, envoyé à chaque fois, distillé, comme une perle de rosée, comme une larme de sucre ...
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E
Lysia,<br /> les chaudes journées sont propices à tes délicieuses pratiques qui nous comblent en te lisant...Tes nombreux lecteurs ne peuvent que s'en réjouir...et jouirent aussi.....<br /> Bisoux
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P
Lysia, je te découvre troublante, provocante, craquante, tentante, bandante....la description de ton excirtation , de ta jouissance...de cette abondante et délicieuse mouille qui coule de ta petire chatte ruisselante m'électrise...seul au bureau, ma queue estsi à l'étroir soudain dans mon pantalon, une envie folle de fermer la porte , de la sortir...et de la caresser jusqu'à t'honorer du foutre chaud qui gonfle mes couilles...je nepeux m'empecher de t'imaginer près de moi, secrétaire très particulière, jupe courte,chemisier léger, bas et escarpins, culotte et sg interdits....après tout une chatte n'est pas faite pour etre prisonnière, elle est faite pour etre libre, disponible ouverte, offerte, pour mouiller , etre doigtée, godée, sucée, enfilée, tout comme une queue est faite pour bander, etre pommpée, planter et cracher son foutre...oooohh...tu vois ce que tu me fais écrire, c'est ta faute tu es trop tentatrice...Mais tu es peut etre d'accord avec moi...Si tu te sens joueuse...envieuse de jouissances complices...écris moi...je suis là jusque 18h...et demain de 9 à 12 et de 14 à 18...ne m écris pas en dehors de ces heures...je ne voudrais ^pas que quelqu'un d'autre qeu moi trouve ton mail...j'ai très envie de faire couler personnellement ta petite chatte...Baisers troublés et indécentes caresses....Patrick.
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