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le blog en sucre
1 mai 2008

sa chose, son esclave

Il pousse la porte avec son pied, elle se referme.

Son corps écrase mon corps contre le mur du couloir. Ses deux mains sur mon visage,  sur mon cou m'interdisent tout geste. Sa bouche se ferme sur mes lèvres. Sa langue fouille, glisse sur mes dents, pointue elle se mêle sans art, s'insinue, étouffe mes murmures de plaisir, de surprise.

Son corps lourd et dur écrase mes courbes. Un genou entre mes cuisses exprime l'absence de liberté, il m'oblige à écarter mes jambes. Une main soulève l'étoffe de mon slip, elle masse mon sexe, cherche l'humidité naissante, fruitée.

Il murmure des mots obscènes, me désigne l'obéissance. Excitée je renonçe à résister, j'aime cette dépendance, j'aime être son esclave. Son ventre ferme pousse sur mon ventre, sa poitrine écrase ma tête, ses jambes écarte les miennes. Ses mains descendent le long de mon corps vaincu par le désir. Mon sexe mouille, j'ose glisser mes doigts sous ses vêtements, ma main ouvre le zip de sa braguette. Mon amant s'est aperçu de ma ruse. Il me bouscule vers la chambre, me bascule sur le grand lit.

Brusquement, comme un sadique il arrache mes vêtements sans ménagement. Vicieux, furieux il déchire mes sous vêtements. Euphorique je suis sa chose. Je jouis d'être sienne. Mon sexe trempé,  ouvert se donne. Féline, le désir me rend sauvage mais mon amant m'indique qu'il est seul maître.

Ses doigts rentrent,  sortent de ma vulve trempée. Etourdie par le plaisir, la tête renversée vers l'arrière, mes mains le repoussent mais je creuse les reins, plie les genoux, écarte comme une salope les cuisses. Mes hanches vont vers son visage pour quémander,  solliciter la chaleur de sa langue. Sa bouche se referme sur mon sexe ouvert, elle aspire ma mouille, mord mes chairs. Sa langue flatte, passe sur toute la surface de ma chatte, titille, énerve mon clito, reviend entre mes fesses pour chatouiller la peau fine autour de l'anus.

Mon bassin ondule de plaisir, le point culminant de l'orgasme m'ébranle. Les secousses de mes spasmes répétés  m'agite... L'ivresse de mes sens décuple cette volupté prolongée, raffinée. Je crie, gémis, ma poitrine et mon cou étaient couverts se couvrent

( bientôt la suite)                                                                           ©   bisou

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Commentaires
W
oui la suite
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M
Pas la peine de tourner autour du pot... direct!<br /> <br /> La suite?
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Y
C'est chaud
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