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le blog en sucre
14 septembre 2007

ma vie, petite lettre a mes amours

Je suis une femme, rien qu'une femme, avec cette lettre je veux répondre à mes lecteurs. Pas coincée loin de là, libre comme un papillon, j'aime depuis ma tendre enfance, le sexe. Sans tabou, les notes recueillis dans mon cahier depuis des années prouvent mon vécu,  ma vie actuelle. Toute petite j'étais entourée de grands qui me montraient le plaisir de la chair. Je les épiais quand ils se cachaient, je les suivais, je me touchais le corps comme eux se touchaient. J'ai eu la chance d'être une enfant ' libre ' ,sans rancune, sans peur. Même les animaux de la ferme ou je vivais me montraient ce que la nature a de plus beau.

Petit à petit je me suis envolée et j'ai connu l'homme, mes hommes. Les mains baladeuses, les doigts entreprenants, les courbes de mon corps de jeune fille caressées par des mains expertes m'ont donné conscience que je pouvais éveillée le désir chez l'homme. Je regardais dans le miroir mon corps nu, les cuisses écartées, les parties que l'homme de la journée avait touché ou pétri. Je gardais en mémoire ces gestes,  la main qui descendait dans mon dos, sur mes hanches rondes pour glisser sur le pubis et enfiler un doigt dans la fente fine,  fermée.

Mon coeur palpitait et j'écartais mes cuisses les yeux fermées dans l'espoir que l'être en face de moi écarte mon sexe humide de petite fille,  de jeune fille. J'attendais l'instant délicieux ou la main se ferme sur ma chatte imberbe, ou les doigts écartent les plis des lèvres, ou les doigts osaient s'enfonçer dans ma vulve rose et étroite. Un délice, la volupté de sentir le souffle chaud sur mon sexe de fille, de sentir une langue douce se faufiler dans ma fente, le plaisir quand elle cherchait la vulve pour l'agrandir d'envie. Je jouais, je m'éxhibais, c'est cela qui m'a donné le pouvoir.

Le pouvoir de séduction, le pouvoir du plaisir, de donner,  de recevoir. Chaude gamine, les années passaient,  je prenais, je glanais les caresses, le sexe. L'homme était beau dans ma première jeunesse,  est merveilleux aujourd'hui.

Mes tous premiers amants étaient vieux, ridés, courbés, leurs sexes étaient gros, ridés et courbés. Le gros gland violacé je le prenais en bouche pour le lécher, le pouvoir du plaisir provoqué me rendait femme,  forte dans la jouissance.

La première verge qui m'a déflorée a glissé en douceur sans mal, ensuite les pénis m'ont remplis la vulve,  j'aimais être écartelée. Avec mes copains de jeunesse, libres, sur des couvertures au soleil, ou dans les chambres, la pénétration était un jeu ou les filles cherchaient les caresses encore hésitantes, la sensation des verges plus fines qui cognaient comme un baton au fond du ventre. Les amants m'ont appris plusieurs plaisirs, celui que l'on donne en ouvrant la bouche et en avalant la semence, celui de se donner cuisses ouvertes dans toutes les positions. J'aime l'amour, j'aime jouer, donner du plaisir, partager, prendre, être curieuse, être femme dans le plus grand des respects devant l'homme.                                                bisou                                             

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Commentaires
A
Bonjour Lysia<br /> Merci pour ce que tu me donnes
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S
Bonjour Lysia,<br /> Me revoilà à poster un nouveau commentaire. Deviendrais-je déjà "addicted" ?!!<br /> J'imagine vos découvertes, et me vois en scène, participant à chacune d'elle...<br /> Le plaisir de vous lire me donne envie de poursuivre pour, un peu comme vous l'écrivez : jouer, vous donner du plaisir, partager, (vous) prendre, et vous rendre curieuse..<br /> Bises
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A
les mots ont eux aussi beaucoup de pouvoir, les tiens me font frissoner, ce sont des decharges electrique que je ressens moi aussi au bas de mon ventre, au creu de mon dos...<br /> <br /> Je t'embrasse<br /> <br /> Arthur
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