mon père et une maitresse

Mon père m'avait déçu,après l'avoir surpris dans la cave en train de trousser la rouquine, et je ne m'imaginais pas que lui était tout simplement un homme ,c'était "mon père".Depuis ce jour, je le suivais discrètement et épiais ses faits et gestes,je découvrais qu'il avait beaucoup de petites maitresses.Il se rendait toutes les semaines en ville pour affaires. Je cassai les pieds a René un copain pour qu'il le suive avec moi.Mon père se rendait toujours dans la mème boulangerie et en ressortait par la cour quelques temps après.Quelques semaines après je le suivais , je rentrais par la cour pour le surprendre avec la boulangère au fond de la cour cachés derriere les buissons.Elle avait le corsage ouvert,sa poitrine dégagée,elle était adossée contre un arbre et avait relevé sa jupe montrant ses cuisses gainées de bas et son sexe poilu a mon père a genoux devant elle .Il lèchait la fente velue en insistant avec la langue sur le capuchon du clito.Mon père avait sa verge hors de son pantalon et bandait comme un cheval.La femme se caressait les seins en pinçant les bouts rougis.Mon père lui mit les mains contre le tronc d'arbre et releva la jupe sur la taille de sa maitresse, les fesses blanches bien rondes et nues ressortaient entre le porte jarretelles noir , la toison de sa chatte était épaisse .Il porta sa verge devant cette fente brune et l'enfonça d'un coup sec entre les lèvres,la pistonnait sauvagement en gémissant. Je n'étais pas choquée mais très curieuse et épieuse cela me faisait mème plaisir de voir sans ètre vu.René assistait avec moi à la scène et était éxité,il cachait une érection dans son pantalon et je me réjouissais car je savais qu'il allait me sauter dessus sur le chemin du retour pour me faire l'amour,au détour d'un chemin.Selon notre éxitation ,sans caresse, il me prenait brutalement , arrachant ma petite culotte si j'en avais une, et enfonçant son penis dans ma chatte mouillée ,chaude et nue. Le plaisir était intense et nos sucs se mélangeaient sous la pression de son gland.Ses couilles pleines  me battaient les fesses, sa main éxitait mon clitoris et ses doigts touchaient et caressaient mes seins pointés et durs.Allongés sur l'herbe ,le soleil sur la peau,on reprenait conscience et on se faisait un cinéma pour la prochaine fois.                            bisou