Mon père ,la bonne, René mon ami

Le viol subit par les deux ouvriers m'avait rendu plus dure.J'aguichais les hommes que je choisissais pour etre ma victime parmi mes copains et les hommes qui travaillaient a la ferme.J'avais un pouvoir: J'étais la fille d'un "monsieur" qui avait un grand domaine.Mais j'avais aussi compris que mon père ,était un homme comme les autres.Un jour en descendant dans la cave ,la lumière était allumée et une ombre se dessinait sur le mur.C'était mon père qui troussait la bonne allongée sur la paille.Elle avait les jambes écartées, sa culotte près d'elle,le corsage ouvert, les seins étaient rougis par les succions et les caresses.Mon père avait ses doigts dans le sexe de la jeune fille et la masturbait avec vigueur entre les poils roux et frisés.Il ouvrit son pantalon et sortit un penis long et durci. J'étais choqué de voir mon père avoir un sexe de cette grosseur. Il s'approchait de la fente fine et rousse et  enfonçait ce penis brutalement dans un sexe qui n'était pas celui de ma mère. Il gémissait de plaisir, la jeune fille tenait sa bouche pour ne pas crier. Je partis vite ,le coeur lourd, rendre visite a mon ami d'enfance qui habitait la ferme voisine.Il était dans le hangar et bricolait sur sa nouvelle voiture.Un an de plus que moi,beau garçon. Je pleurais ,il me prit dans ses bras et m'embrassait tendrement.Sa langue était douce et aventureuse. Je lui rendais ses baisers en glissant ma langue entre ses dents.Ses lèvres collaient sur mes lèvres.Sa main effleurait ma poitrine et je ressentais une exitation dans les mamelons durcis et dans le bas ventre.Je glissais mes doigts sur son ventre pour tenir sa verge en érection,mes doigts se fermaient sur la hampe.René me poussait sur la banquette arrière et enleva ma petite culotte mouillée , me couchait jambes écartées.Il me léchait le sexe en écartant mes lèvres ,il me donnait des baisers sur le pubis et caressait mes cuisses.Il descendit le short et son penis sortit bien droit et raide.Il déroula un préservatif sur sa verge qui tressautait.Doucement il mit son membre devant la vulve entre ouverte et enfonça le gland,étirant l'ouverture, je mouillais et mon vagin coulait de cyprine.René activa la pénétration et me fit l'amour tendrement et longuement en embrassant ma bouche et mes seins.La jouissance n'était pas longue à venir et les palpitations vaginales enserraient le penis et le gland qui grossissait au fond de moi.René jouissait et les cris de plaisir devenaient de plus en plus fort. René m'avait fait oublié mon père.                        bisou