nue sous ma jupe, je suce les queues qui giclent sur moi

Je prends gout à être bousculée par le jardinier, lui ne se passait plus de moi. Il m' attend après les cours. Je rentre à  la maison par le jardin,  le retrouve dans la remise ou il range les outils. J' enlève ma petite culotte avant de rentrer. Le vent soulève la jupe, caresse ma fente gourmande. Les lèvres vaginales entre-ouvertes de mon sexe imberbe se raffraichissent. Ce froid me donne des sensations étonnantes. Je mouille, je suis excitée.  J' écarte mes cuisses sur la selle du vélo, le frottement du cuir sur les lèvres vaginales humides, est fort et ciblé. Elles glissent l' une contre l' autre me procure du plaisir.

Je trouve un truc génial,  je desserre la selle,  monte la pointe avant et resserre. Mon clitoris est frotté, ma fente forcée par la pointe dure. J'arrivais, excitée. Sans préliminaire, mon amant n'a pas de mal à glisser sa belle queue dans ma chatte. Il aime me prendre  en levrette.

Un soir, ses copains m' attendent avec lui. Je suis mouillée, chaude. Comme d'habitude je n'ai pas de slip, il aime, je le sais.

Les hommes sont cachés,  je ne les ai  pas vu en rentrant dans la remise. Je m' accroche à son cou pour l' embrasser. Il me serre dans ses bras, me mord la bouche tendrement. Je le ressens, il n'est pas comme d' habitude. Il a une forte érection, sa main fouille sa braguette, sort le pénis, me l'enfonce dans la bouche brûtalement. Ses mains me poussent au sol, à genoux je suce la verge.

Comme un pervers, il gude les mouvements, murmure des mots que je ne comprends pas. La queue raide va exploser, je veux me retirer, mais il l'engouffre au fond de ma gorge, jouit bruyament. Son sperme est chaud, abondant.

Les hommes sortent de leurs cachettes comme des bêtes en rut, les verges à la main, érigées, tendues.  Ils s approchent de moi, se mettent en cercle. Je veux me relever, mais mon jardinier a ses mains sur mes épaules.  "  n' aie pas peur,  ils ne te touchent pas, suce. "  Il écarte ma bouche avec son pénis. Je pompe comme une chienne par peur, par excitation. Je regarde les bites de différentes grandeurs et grosseurs.  " continue petite garce,  tient moi les couilles. "

Je prends conscience que les quatres hommes vont me gicler dessus je descends les fines bretelles de mon top pour montrer ma poitrine ronde et pleine. Les hommes gémissent, les vieilles bites sont secouées, malaxées. L' excitation est  forte. Mon jardinier gicle dans ma bouche son sperme épais, j' avale. Je m' exhibe, tient mes seins dans mes mains, frotte les tétons contre les trois queues encore en action. L'un après l'autre, les hommes jouissent sur mon visage, ma poitrine. Murmures, soupirs, petits cris.

Ma chatte est mouillée de désir. Je rentre, monte dans la salle de bain pour prendre un bain,  me masturber avec mon gode.                     bisou