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le blog en sucre
12 mars 2022

Suisse, sur le lit de l'hôtel avec le patron

J'aime les voyages, partir au gré de mes envies, flâner dans les expos. Curieuse, intéressée par la beauté de chaque pays et ville, passionnée par les habitants qui y résident aussi. Mon métier me permet de mettre les voiles, de découvrir différentes ethnies.

Je suis arrivée en Suisse. Mon hôtel est simple, propre, un vrai petit cocon de douceur. La ville de Bâle est très étendue. D'un côté la vieille ville médiévale avec de petites échoppes typiques, des ruelles avec des maisons à pans et beaucoup d'hôtels particuliers.

De l'autre côté du Rhin, une nouvelle agglomération avec de grands immeubles, des commerces de luxe, des quartiers d'affaires et des espaces verts. Beaucoup de musées à visiter, la ville est en constante ébullition. La jeunesse est présente dans les Universités et les rues.

Quand je reviens à l'hôtel après mes sorties, le patron m'accueille à chaque fois avec un grand sourire. Il se presse pour appuyer sur le bouton de l'ascenceur avant moi, il m'escorte parfois jusqu'a mon étage. Souvent, comme par hasard il se trouve dans le couloir, pas loin de ma chambre. Il est alors tellement charmant et gracieux. Son français très bon, je ris quand il mélange le dialecte suisse alémanique et les expressions françaises. Adorable petit bout cet homme.

Je rentre de ma sortie au musée des Beaux-Arts, c'est ce jour-là que j'ai trouvé devant ma porte une rose rouge. Surprise, je regarde autour de moi, le couloir est éclairé, il n'y a personne, pas d'âme qui vive.

Sur l'étagère de ma salle de bains je prends un verre, plonge la tige dans un peu d'eau. J' hume l'odeur délicate de la fleur, pense à la personne qui a eu cette attention charmante. Je pose le bouton rouge sur ma table, caresse le velouté des pétales.

J'ai un doute, sourit même à l'idée sur mon soupçon.

Aujourd'hui j'ai visité mon énième musée et ce soir, je me sens un peu lasse, mes pieds sont échauffés. J'ai commandé un léger repas au petit patron, précisant que je vais dîner dans ma chambre. Il me regarde surpris, ses joues rougissent. Il baisse ses yeux, sourit.

Je me prélasse sous la douche, puis un livre entre les mains, la télé allumée, pieds nus, mon corps enveloppé dans un peignoir blanc, je me vautre sur le lit, oreillers mis en boule sous ma tête.

Il est bientôt 20h, je suis bien.

On toque à la porte, j'annonce que l'on peut entrer, j'attends mon repas. C'est le patron lui-même. Il pose un grand plateau sur la table, se retourne vers moi, un large sourire aux lèvres. Les yeux remplis de malice, il me demande s'il pouvait m'être agréable. Il s'approche de mon lit, prend ma main et me fait un baisemain attentif.

Je m'assieds sur le bord de la couche, le remercie beaucoup pour la jolie rose rouge. L'homme rougit. Debout, les mains sur la poitrine, il attend. Je me relève, j'ose l'embrasser sur ses joues. Tétanisé, il ne bouge plus, il reluque mon échancrure, la peau de ma poitrine sous le peignoir. Je me hasarde, risque de petits bisous vers son cou.

Bien portant, dodu, pas très grand, le coeur sur la main, le patron tremble, m'empoigne gentiment, timidement. Maladroitement il m'attire sur lui, ses lèvres ne finissent pas d'embrasser ma peau, dénudant une épaule et le haut de mes seins, sa bouche atteins le creux. Un peu gauche, il prend un plaisir fou à poser ses lèvres partout, le décolleté s'agrandit, ma poitrine est libérée de toute protection.

L'homme fait un arrêt brutal sur mes tétons durs. Comme un bébé il suce, aspire fortement. Mes mamelons sont à la limite de la douleur, je l'esquive, éclate de rire, le repousse un peu.

Le patron ne bouge plus, devant moi il est penaud. Je m'approche gentiment, lui donne des bisous coquins sur la bouche. Il attend les paupières fermées, sa posture m'invite pourtant à continuer.

Je frôle son ventre bedonnant, il sursaute, j'ouvre le ceinturon en cuir, déboutonne la braguette, l'homme a la respiration coupée, son visage est rubicond, il suffoque.

Quelques mots peinent à sortir de sa bouche. Comme un prisonnier il est sans défense, adorable, sans méchanceté.

Mon corps n'est que plaisir. Enhardie je m'agenouille, je ne le quitte pas des yeux, j'aime ce silence.

Mes mains laissent glisser le boxer noir, une verge molle s'échappe. Je respire la toison grise sur son pubis. Il sent la douche fraîche, le savon parfumé. Le pénis devient plus raide, des frissons parcourent mon dos.

Le patron reste muet, seuls ses yeux vitreux, ses mains, implorent. Il les posent sur ma tête, pousse mon visage sur sa bite. Ma langue lèche la verge semi-pendante sur toute sa longueur. Mes doigts soupèsent les bourses bien rondes. Je remonte sur le pénis qui prend forme et grosseur. La bite n'est pas très grande. Calotté, le gland est doux.

L'homme apprécie, effarouché il murmure des encouragements, il parle de son confort, de son plaisir. Ma bouche s'ouvre, ma langue recueille le dard encore timide. Maîtresse de la situation, je m'excite de jouer ce rôle. Je lèche, suce cette verge qui a une odeur de bébé. Je caresse les testicules tendrement. J'aspire toute la longueur de la bite au fond de ma gorge, ma langue tourne autour du sexe  devenu raide et fièrement érigé.

Mon amant se baisse pour me faire lever. Mon regard se pose sur le grand miroir de la chambre, j'adore l'image que je vois, cet homme tranquille au ventre rond, debout dans cette pièce, la bite droite, horizontale. Il m'entoure de ses bras, m'entraîne sur le lit défait. Sans me quitter des yeux, il me dit ;

" J'en avais envie dès le jour premier, je suis timide, un grand timide ! "

Les gestes désordonnés, la respiration forte et bruyante, il me demande de m'allonger sur le rebord du lit.

Je m'allonge, mon peignoir s'ouvre entièrement, mon sexe est mouillé de plaisir, mes doigts caressent ma chatte. Mon amant Suisse se met à genoux. Il plonge son visage sur ma fente et avec ardeur, lèche mes lèvres vaginales. Il goûte, fourre mon petit trou. Exquis, il est d'une douceur remarquable, mielleuse.

Ses mains attirent mes fesses sur le bord de la couche, les pieds posés au sol, j'écarte mes cuisses, à l'extrême. Le patron se relève, mains sur sa bite qui bande. Fasciné il contemple ma chatte, sourire aux lèvres. Il s'approche enfin, s'agenouille entre mes jambes.

Son sexe frappe ma fente trempée. Doucement il place le gland devant ma grotte avide, enfonce sa verge droite au fond de mon antre. Son pouce triture mon clito, ses doigts suivent le contour de sa verge engloutie, contournent mon sexe rempli.

J'adore sa lenteur, sa douceur, sa constance. Il me baise longuement avec des mouvements de pénétration rythmée. Parfois il me ramène contre lui, ses coups de reins me poussent sur le lit. Mon plaisir est atteint, surprenant, répété. En confiance totale je savoure.

Son visage marque la jouissance naissante et montante. Il a les yeux fermés. Dans un soubresaut il éjacule dans ma chatte. Il se retire aussitôt, gicle les dernières gouttes de sperme sur mon ventre et mes seins.

Mon amant Suisse tord sa verge avec des gémissements, il la frappe sur ma peau. Ses paupières s'ouvrent pour contempler mon corps luisant de foutre.

Comme un petit garçon, il s'excuse. Confus, il me prend dans ses bras comme pour me protéger. Avec le drap blanc, il essuie toutes les traces de sperme sur mon corps. Je le taquine en riant, pousse mes poings dans ses côtes.

Tendrement il m'aide à me relever, éperdu de bonheur, il embrasse mon front.

 

© bisou

 

 

 

 

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