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le blog en sucre
12 septembre 2020

Sur le capot, son gland pousse, écarte ma fente...

Ne dit-on pas que toutes les bonnes choses ont une fin ?

Après la douche réconfortante, je prépare mon Vanity, des affaires que j'ai acheté sur place et des cadeaux que je vais distribuer à ma famille. Un à un, je les dépose près de la porte, termine mes préparations. Un peu lasse, pensive, je m'allonge sur le lit, attends l'heure du repas pour descendre en même temps quelques sacs remplis de souvenirs.

Un petit coup timide toque à la porte. JP entre et s'allonge près de moi. Les mains croisés sur le torse, les pieds croisés très fortement comme pour aténuer une envie pressante, il me raconte avec humour, quelques petites anecdotes des mois passés. Il me demande aussi si son fils Luc était respectueux avec moi, je le tranquilise, avec un mouvement de la tête affirmatif je lui dis que tout était positif, que son fils a changé, qu'il s'est transformé en homme. Je souris, friponne et polissonne, éclate de rire comme une espiègle.

Je commence à lui parler de notre escapade, mais JP est noyé dans ses récits. Il raconte à merveille des histoires que je ne peux pas croire, il taquine, houspille quant à la place que je lui prête sur le lit près de moi. J'enfonce mon poing dans ses côtes, il se tord comme un enfant, je l'embrasse, mes doigts sont taquins, mon regard malicieux.

D'un bond il se lève, fait le tour du lit, je le suis du regard, m'assieds sur le bord de la couche.

" Viens, je t'aide. Je descends des affaires maintenant, les grands paquets ce sera pour ce soir. Sniff, tu pars ? tu pars vraiment ? tu ne veux pas rester plus longtemps ? "

Son regard triste se pose sur moi, il est presque bouleversé.

Il a l'air troublé, agité. Je pars dans la salle de bain remettre un peu de rouge sur ma bouche. Dans le miroir, je remarque JP un peu nerveux.

Il a une bosse sous son pantalon, elle déforme la braguette. Furtivement, sa main remet en place un pénis tendu. Je m'amuse. Il cache une érection, je feins de ne pas le voir.

Amoureusement, féline, je me colle sur lui, il tombe vers la porte, j'embrasse ses lèvres avec amour, calque mon corps sur le sien.

Il s'échappe de mes bras, se courbe vers l'avant pour dissimuler la raideur. JP ramasse les sacs, il se force à porter plus que prévu. Je ris, l'aide, l'agace en posant mes mains sur son corps. Non sans mal, JP réussi à se faufiler dans le couloir, il descend l'escalier en murmurant.

" Tu vas le payer petite garce, Ahhh !! tu t'amuses? Attends un peu ! "

Je n'arrête pas de le charrier gentiment, tendrement.

" Qu'est-ce que tu as ? Je veux savoir, dis-moi tout ? Tu caches quelque chose ? "

" Attends, je vais te montrer ce que je cache ! "

Dans le garage sombre, JP pose les paquets près de la voiture. Mon rire l'échauffe, il me repousse au fond du parking. Ma bouche sur la sienne, je revendique des bisous, il me prodigue des caresses sur ma poitrine, sur mon corps. Sa langue s'octroie avec autorité ma bouche, elle s'accorde comme une furie, la manière et l'endroit ou elle se pose.

Avec aplomb il mène le jeu de l'amour. Je me dérobe un peu, appuie ma main sur sa braguette, mes doigts suivent la forme de sa verge emprisonnée. JP me bouscule vers l'avant de la voiture, il est sauvage, excité ses gestes sont vifs.

Avec malice JP lèche ma bouche. Hardi, il remonte une main entre mes cuisses. Indécent, il descend ma petite culotte, effronté ses doigts caressent ma chatte.

Je suffoque de plaisir devant cette désinvolture. J'aime, je joue le jeu, je résiste un peu, même beaucoup et cela le rend acharné. J'adore.

Ses mains me poussent sur le capot, je n'avais pas remarqué, que dans la lutte, il a baissé son pantalon. Sa queue balance au rythme des mouvements. JP relève mes jambes, écarte mes cuisses. Ses bras attirent mon bassin vers son bas-ventre. Je glisse vers sa verge tendue. Sa queue pousse sur ma chatte, mon sexe est écarté.

Endiablé il enfonce sa bite au fond de ma fente. JP est enragé, il murmure, sa voix est sourde. Ses yeux sombres me regardent, il triomphe.

" Tu mouilles Lysia, tu es trempée cochonne, tu aimes ça, dis-moi ? "

Mes cheveux s'étalent sur la carrosserie, je frissonne, la caisse est glacée. JP me pousse sur la tôle, je remonte un peu. Son visage plonge sur mon sexe. Sa bouche aspire, lèche mon petit trou mouillé de cyprine.

Les jambes sur ses épaules, JP pétrit mes fesses, ses doigts entrent dans mon cul. Mon clitoris est sucé, ma chatte avalée, mordue.

JP empoigne mes hanches, son gland pousse contre mon sexe,  écarte mes lèvres. Un coup de rein puissant, la bite me viole avec des coups secs, profonds. Paupières fermées, JP arrête tout mouvement pour retenir son éjaculation, puis, plus brutalement, recommence. Il m'écartèle plus ardemment que jamais.

L'orgasme sévit, JP se penche vers moi, sa bouche bâillonne la mienne, elle couvre mes cris de jouissance, atténue ses grognements.

Voluptueusement, les vagues de plaisir s'épanouissent, je serre ma chatte, mon anus. Mon bas-ventre explose de plaisir. JP murmure.

Ses mouvements de pénétration se font plus courts, il me suit dans la jouissance. Il éjacule son sperme chaud. Des mots obscènes me percutent. JP divague, rit, puis reprend un sérieux majestueux.

Je ressens en moi sa verge qui, peu à peu, perd de sa rigidité. A chaque mouvement, je me fusionne à lui, encore et encore. JP éclate de rire. Sensibilisé, affaibli, il redevient l'homme doux, enchanteur.

Doucement il recule son bassin, son pénis ressort de ma fente, un petit bruit mouillé s'échappe.

" Chut ! "

Son doigt sur sa bouche, il demande le silence, JP pouffe de bonheur. Doucement je pose mes pieds sur le sol carrelé.

" Désolé Lysia, je me suis laissé emporter, depuis que tu es partie avec Luc, je bande au point que cela me fait souffrir! je t'aime mon coeur! "

Je le prends dans mes bras, embrasse sa bouche, je l'adore. Enlacés, nos baisers se multiplient. Je n'oublierai jamais ces souvenirs.

Le repas nous a trouvé plus que jamais réunis. Le début de saison n'a pas donné envie à d'autres personnes de venir au gîte pour le moment. Virus oblige, ou tout simplement la peur du mauvais temps, mais lui, JP était au rendez-vous.

 

Merveilleux week-end.

 

© bisou

 

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