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le blog en sucre
21 août 2016

Il retrousse la chemise de nuit, écarte mes cuisses, baise ma fente vigoureusement...

Les draps tirés jusqu'au cou je ne laisse rien entrevoir à mon amant.  Son voeu est que je mette une chemise de nuit longue comme nos grands-mères avaient.

Je n'avais aucune difficulté à trouver ce qui fera son bonheur, j'en étais certaine. Après mon bain à l 'odeur de lavandin, devant le miroir je mets cette chemise de nuit longue, boutonnée sur le devant. Elle avait des dentelles, des fleurs roses, des plis serrés sous la poitrine, ce qui augmentait la rondeur de mes seins.

Mon amant me voit dans la position allongée, couverte. Il sourit, vient vers moi.

" Tu ne te déshabilles pas ? " lui dis-je !

" Non, je vais te faire l'amour habillé, je vais te trousser comme une vieille...."

Etrangement mon homme a les yeux sombres, son sourire est figé. Il est nerveux, remet sa mèche de cheveux en place.

" Je vais t'arroser de foutre ma chérie . "

Sa main descend le zip de la braguette de son pantalon, elle glisse sous le vêtement trop étroit. Les doigts se décalquent, ils fouillent le côté. Mon amant est troublé, il tremble, est en sueur. Excité il ramène son sexe hors de la braguette, son autre main plaque le tissu autour des testicules qu'il fait pendre sur l'étoffe. La verge est tendue, raide. Elle est à l' horizontale, le gland est recouvert du prépuce. Du sperme coule de l'ouverture ronde et arrogante. Mon amant murmure des mots obscènes...

" Je vais juter en toi grosse cochonne, salope, je vais te baiser... "

Enflammé par le désir il masturbe sa bite, s'avance vers mon visage qui seul dépasse des draps. Ma bouche s'ouvre. Mon amant enfonce sa pine au fond de ma gorge tout en se masturbant la hampe. Je serre mes lèvres pour décalotter le pénis qui grossit de plus en plus sur ma langue chaude. Je suce avec audace, avale avec plaisir les gouttes épaisses de foutre, j'aime..

Mon plaisir est inouï. J'adore voir mon amant se masturber, caresser sa pine raide. Il est autre, bestial. Il se déchaine avec volupté, je le ressens mâle, déconnecté.

L'énorme bite s'engouffre entre mes dents, s'enfonce dans ma gorge, tape sur l'intérieur des joues qui se déforment. Je ne peux m'empêcher de toucher ma fente. Entre mes lèvres vaginales la mouille déborde, je ressens l'humidité chaude.

Je m'enfonce un peu plus sous les draps pour caresser ma chatte recouverte de la chemise de nuit, le tissu est trempé, il colle sur ma peau.

D'un coup sec, mon amant retire le drap, me voilà allongée devant lui, jambes jointes comme il le désire. Mon corps est recouvert entièrement de la chemise rose. Mon homme enjambe mes pieds, son visage s'approche de la tache odorante qui apparaît sur mon vêtements. Il lèche, aspire le parfum suave de femme amoureuse. Je discerne une chaleur de plus en plus profonde. Je soulève un peu mes fesses, mon pubis est rond.  La langue de mon amant s'active, sa salive démarque ma fente, je tremble d'émoi.

Sa main se ferme sur mon bas ventre, elle écrase le haut de ma fente. Je sursaute, mon clito est serré, malaxé par les doigts. L'index se faufile sur l'étoffe mouillée, il suit la raie, s'enfonce entre mes lèvres mais est stopé par la barrière fine.

Je soupire, alanguie. Mon homme s'assied sur mes cuisses, ses mains ouvrent les boutons de nacre. Doucement il ouvre le col qui glisse sur ma peau. Ses doigts écartent le tissu de dentelles, je me découvre de plus de plus, je frissonne de désir. Les mains caressent mes seins libres, mon amant se rapproche, sa bite frotte le creux de ma poitrine, mon homme presse mes globes, masse les tétons. Il branle fougueusement sa queue entre mes seins. J'écarte mes jambes, mon homme claque la paume de sa main sur mon sexe qui chaufe encore plus.

Je gémis, je devient chienne, je ne peux bouger, le corps de mon amant écrase mon bassin. Son cul chaud m'excite, ses mouvements de copulation m'ébranlent.

" Attends ma petite, je vais te baiser...."

D'un seul geste il me retourne à plat ventre, la chemise de nuit s'enroule autour de mes cuisses. Mon amant passe ses bras sous mon bassin qu'il soulève un peu. Ses deux genoux collés aux miens empêchent l'écartement de mes jambes. Une main écrase mes reins, je creuse mon dos, mon cul se lève. J'ondule ma croupe comme une chienne. Mon amant lèche la raie de mes fesses, une main empoigne ma chatte à travers le tissu.

" Mmmmm, tu mouilles comme une cochonne.... "

Sauvagement ses mains agrippent ma taille, bestialement sa queue frotte la grande tache mouillé sur la chemise qui calque ma fente.

Je jouis avec délice, femme fontaine je gicle sous le plaisir d'être soumise....

Euphorique je ne ressens plus ses gestes, il soulève le tissu de la chemise de nuit, mes fesses sont nues. J'adore cette sensation de lui appartenir, j'adore cette extase.

Une claque sur la peau du cul me réveile. Ses jambes emprisonnent mes cuisses, ses mains écrasent tendrement mon dos. Il a placé un oreiller sous mon bassin quand mon esprit divaguait.

Un souffle dans mes cheveux longs me fait sursauter, une ombre s'approche de moi...

" Je vais te saillir ma vieille, te baiser à fond ma douce "

Je m'agite, tressaille....

Sa pine s'appuie sur ma chatte, aucune résistance possible, elle est mouillée, mes lèvres vaginales s'ouvrent, je serre mes muscles. Mon amant rit, un ricanement lubrique.

D'un coup brutal, la bite tenue par une main experte desserre le vagin, d'un coup sec elle s'enfonce au fond. Furieusement il baise ma fente en se levant derriere moi. En balancier il enfonce sa queue dans  ma vulve. Les coups deviennent de plus en plus lestes, mon homme crie. La chemise de nuit roule sur ma tête, mon dos est écrasé par la force de mon mâle sauvage. Sans défense j'ai le plaisir d'être sienne, d'être sa chienne.

Mon amant râle, grogne, il  jute, il  éjacule dans ma foufoune serrée. Sa bite  bouge en moi quand il est collé contre moi sans mouvements, quand il se vide dans ma fente bouillante par les derniers coups secs.

J'ote la chemise de nuit de mon visage, mon homme se remet sur ses genoux, mon cul adhère contre lui, sa queue reste prisonnière. Doucement elle débande, lentement mon amant s'affaisse, j'allonge les jambes, je ressens son corps lourd et chaud.

Heureux.

 

© bisou

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Commentaires
M
Votre récit m’a mis dans tous mes états, très chère Lysia. Vous savez être si délicieusement vicieuse, sinon perverse. Vous avez ravivé certains de mes instincts d'érotomane de longue date, ramené à mes années de jeunesse, où je "jouais" avec une cousine.<br /> <br /> Au plaisir de vous lire encore...
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M
Votre récit m’a mis dans tous mes états, très chère Lysia. Vous savez être si délicieusement vicieuse, sinon perverse. Vous avez ravivé certains de mes instincts d'érotomane de longue date, ramené à mes années de jeunesse, où je "jouais" avec une cousine.<br /> <br /> <br /> <br /> Baisers<br /> <br /> Marc
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A
C'est (comme toujours) bien écrit, c'est fort, c'est délicieusement cochon, c'est terriblement bandant… bref, c'est Lysia en pleine forme et c'est un plaisir de te retrouver !<br /> <br /> <br /> <br /> Je t'embrasse<br /> <br /> Andrea
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