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Les vieux se masturbent dans la cabane, la porte est fermée mais les gémissements assez forts sont perceptibles au dehors. Je continue mes travaux de jardin, l'automne approche, les fleurs ont donnés tout l'été. Un des vieux crie de plaisir, un autre a des mots grossiers, un autre encourage ses compagnons. Dès que la femme de mon voisin regarde à la fenêtre de la maison, les vieux se taisent, mais reprennent de suite leurs ébats bruyants. " oui enfonce la moi, au fond. " c'est les mots qui reviennent le plus souvent. Je suis excitée, j' magine les compères se sodomiser mutuellement. Je connais mon voisin intimement, je sais que sa verge est belle, ridée, longue. Ses testicules couvre la longueur d'une main d 'homme.
C'est un amant qui sait doigter, qui aime se faire sucer le pénis, un cochon de vieux comme j'aime. Combien sont ils ?
Je ramasse les quelques fruits tombés la veille, ma petite culotte colle sur mes lèvres vaginales. Ma main trouve une tache humide, j'appuie mes doigts sur mon clito, le masse entre les lèvres jointes. Plaisir. J'enlève mon slip.
Mon voisin ouvre la porte de sa cabane " Bonjour, venez, viens chez moi, viens voir, je ne suis pas seul, il fait chaud ici, viens ". Il touche sa braguette déformée, bossue. Excitée je vais le rejoindre, curieuse de voir ce qui se passe. Dans la cabane, deux de ses compères se masturbent, un troisième affalé sur le vieux fauteuil a une grande tache sur le pantalon, la braguette encore ouverte. Sur la table en bois, divers objets, des concombres avec des condoms déroulés, qui visiblement ont servis pour le plaisir. " T'a envie ma chérie " Les mains du vieux tripotent mes seins. Libertine je me laisse masser la poitrine, je me laisse deshabiller, hypnotisée par cette peau ridée, par ces mains rugueuses, par les deux verges tendues et droites.
La grosse main rèche se faufile sur ma chatte, ses doigts s'enfonçent dans ma fente, écarte ma vulve rose. Le plaisir est intense, je m'éxhibe, je mouille. Mon vieux a ouvert le pantalon et descendu son slip. Sa main masturbe sa verge contre mes cuisses. Un de ses amis s'est rapproché, mon vieux voisin m'enfonçe deux doigts profondement dans la chatte. Son compère caresse mes fesses.
" Viens suce moi un peu, prend le dans ta bouche. " Agenouillée devant lui, la verge tendue s'engouffre entre mes dents, glisse sur ma langue, dans ma bouche chaude. La peau tirée vers la base je pompe entièrement la verge de mon vieux voisin tandis que son compère ne cesse de me doigter l'anus de plus en plus vite. " C'est bon, oui continue de me sucer salope "
Devant moi sur le fauteuil, le troisième homme s'est levé, le pénis tendu. Il se masturbe dans un mouchoir qu'il a enroulé autour de la bite raide. Mon vieux me relève, me demande de m'agenouiller sur le fauteuil le cul en l'air, les cuisses écartées. Les coudes sur le dossier j'offre mes fesses, ma chatte mouillée aux regards.
L'un après l'autre, ils m'enfonçent leurs membres raides. Je sursaute quand l'un se retire, que l'autre prend l 'attaque de ma vulve. Les différentes grosseurs, longueurs, me font frémir. L'offensive est grande. Les spasmes, les vagues de bonheur sont présents au fond du vagin. Je jouis longuement, à plusieurs reprises.
Mon vieux me lime le sexe en tenant fortement ma taille, un des compères a mis un préservatif sur un concombre. Il pousse la pointe du légume sur mon anus. " Bouge pas dit il à mon voisin reste au fond de la chatte, tu verras comme c'est bon " Mon rectum s'ouvre doucement sur le concombre, j'avale la longueur du légume. La verge du vieux glisse de ma fente trempée, mais de suite il remet son pénis entre les lèvres vaginales.
Je suis empalée, ouverte, cochonne, salope. Mon vieux frotte sa verge enfouie contre le légume qui est coincé dans l'anus. Mon vieux éjacule sa semence, sa verge a des soubresauts à chaque jets de sperme et fait bouger le concombre. Mon plaisir part, les palpitations régulières s'étendent dans ma chatte.
Le troisième, masturbe son pénis, il gicle son sperme sur mes seins, il tape sa bite sur mes tétons durs. Mes cheveux sont tachés. Mon voisin se retire, ote le concombre de mon anus défoncé, douloureux.
Assis dans le fauteuil un des compères tient fermement sa verge à la base. Elle est bien droite, il m'invite à m'asseoir sur le pieu. Les cuisses serrées je me penche un peu vers l'avant, descend mes fesses sur la verge droite. J'écarte mes fesses, ma chatte glisse sur le membre d'un coup, elle est plus fine, plus pointue que les autres. Je m'enfonçe au plus profond pendant de longues minutes. Je me tiens aux cuisses pour garder l'équilibre. Dans un gémissement sourd il gicle. Mes hanches balançent d'avant en arrière. Je suis assise sur le bassin de mon amant, empalée profondément.
Je jouis de l'emprise, la queue est prisonnière dans mon ventre. Mon amant a des sursauts, murmure, gémit de bonheur. Une forte chaleur se fait ressentir entre mes cuisses, dans ma chatte. Je ne cesse les mouvements de mes fesses, de mes hanches jusqu'au plaisir voulu et obtenu. bisou
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