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le blog en sucre
17 mai 2007

Mon amant était suisse, un homme galant et gentil

Mon deuxieme ami était suisse. Bien rond, dodu, pas trop grand un peu dégarni mais le coeur sur la main. Gentil à n'en plus finir.

Le soir il m'accompagnait  devant  la porte de ma chambre. Le matin il m'attendait avec le sourire, des yeux remplis de malice. Le baise main était de rigueur à chaque occasion.

Le deuxieme matin je le bousculais dans la pièce. Il était pétrifié. Debout, les mains sur sa poitrine il attendait, ne bougeait plus. Je profitais pour lui souhaiter une bonne journée, et de m'attendre pour que je m'habille. Mes bizous coquins dans le cou et sur sa bouche lui coupait la respiration à chaque fois. Ebahi et tremblant, il fermait les paupières quand mes mains frôlaient son ventre...

Enhardie je m'agenouillais devant lui. Je ne le quittais pas des yeux en ouvrant la ceinture en cuir, doucement je déboutonnais la braguette. Mon ami était rougeaud et suffoquant. Il avait le regard vitreux.

Mes mains faisaient glisser le boxer noir, son sexe mou s'échappait. Je humais la verge et les poils gris de son bas ventre. Des frissons parcouraient son corps. Mon ami était muet, surpris.

Ma langue lapait la verge pendante sur toute sa longueur. Mes doigts soupesaient les bourses rondes, remontaient sur le pénis qui prenait forme et grosseur. La bite longue était mince. Calotté, le gland était petit et pointu.

Ma bouche s'ouvrait, ma langue recueillait le dard encore timide. J'étais maitresse de la situation , je m'excitais de jouer le rôle. Je léchais, je suçais, la verge qui avait une odeur de bébé. Je carressais les couilles bien grosses. J'aspirais toute la longuer de la bite au fond de ma gorge, ma langue tournait autour du sexe devenu raide et fièrement érigé. Mon ami décroisait les bras, essoufflé il me fit lever. J'adorais l'image que le miroir de ma chambre réflétait. Cet homme tranquille, au ventre rond, debout dans cette pièce, le sexe long et droit, à l'horizontale.

Il me prenait les épaules et m'asseyait sur le lit bas et défait.

Sans quitter mes yeux il me dit; " j'en avais envie depuis le premier jour, mais je suis timide, je vais vous prendre de suite. "   Les gestes désordonnés, la respiration forte et bruyante il me demandait de m'allonger sur le rebord du lit.

Sans attendre  je m'allongeais écartant mes jambes et mes cuisses. Ma robe de chambre  en soie noire s'ouvrait totalement. Mes doigts caressaient ma chatte, elle était mouillée et profonde. Mon ami suisse se mit à genoux. Avec ardeur il plongeait sur mon sexe ouvert et dégoulinant. Il  lécha les grandes lèvres, la pointe de sa langue se perdait dans mon petit trou. Exquis, il était ordonné et d'une douceur mielleuse.

Ses mains attiraient mes fesses et mes hanches sur le bord du lit. J'avais les pieds posés sur le sol, les cuisses écartées à l'extrème. Sa main caressait vivement sa bite longue. Fasciné il contemplait ma chatte, un sourire aux lèvres. Puis il s'approchait très près.

Son sexe frappait ma chatte trempée. Doucement il plaçait le gland devant ma grotte avide, doucement il enfonçait sa verge au fond. Son pouce triturait mon clitoris, écartait les lèvres revenait me titiller le capuchon rougi. Ma chatte débordait de cyprine, j'adorais sa lenteur, sa douceur, sa constance. Il me baisait longuement, me fit l amour doucement mais bien. Parfois il me ramenait contre lui, ses coups de reins me poussaient.

Mon plaisir était atteind, surprenant, répété. En confiance totale je savourais ses mouvements lents mais précis.

Son visage marquait la jouissance naissante et montante. Il avait les yeux fermés. Dans un soubresaut il éjaculait du sperme chaud dans ma chatte. Il retirait sa bite de mon petit trou et giclait sur mon ventre et mes seins. Les gouttes blanches étaient parsemées sur ma peau. Mon ami suisse tordait sa verge, comme pour l'essorer, il l'a frappait sur mon ventre.   Ses paupières s'ouvraient pour contempler mon corps luisant de foutre.

Comme un petit garçon, il s'excusait. Il me prenait dans ses bras, comme pour me protéger. Le drap blanc lui servait pour enlever et effacer le sperme gluant. Je le taquinais, je riais.                                                                bisou

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Commentaires
I
Coucou! je vois que personne ne te laisse de com, c'est bien dommage. En tous cas moi je te lis regulierement! a bientot! et bonne soiree...(sourire)
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