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le blog en sucre
18 mars 2017

Il lèche ma chatte, fébrile je mouille comme une catin

Il hante mes jours, mes nuits. Mon esprit est prisonnier, mon corps tremble, ma chatte mouille d'envie. Les mails qu'il écrit sont enflammés, mystérieux. Sur le net il me domine, j'attends avec impatience sa connexion, la relation virtuelle devient intime. Nous parlons comme si nous nous connaissions depuis des lustres.

Je suis prête à tout, je veux être sienne pour quelques minutes, pour quelques heures. Je fantasme, mon imagination déborde sur ma raison, je suis fascinée par cet inconnu. Même pas une photo de son visage, par contre des images de son sexe, de ses mains qui caressent une bite pleine de sperme.

Devant mon clavier j'ouvre ma bouche, je lèche, je ressens le pénis, j'ai envie de lui, envie d'être chienne, putin, catin......

Le rendez-vous est pris, un hôtel simple m'attend. J' ai enfilé une petite robe légère avec des bretelles fines qui tombent régulièrement sur les avant-bras, j'aime avoir les épaules nues. Les sandalettes aux pieds sont à lacets avec un talon compensé, je suis bien. Je frôle mes seins qui gonflent, mes tétons durcissent, pourtant il fait chaud. Est-ce l'excitation !!!!!

Dans la rue, mon coeur bat la chamade. Au concierge, d' une voix tremblante, je demande la clé de la chambre du rendez-vous.

Mon inconnu m'a laissé des consignes sur une feuille de papier posée sur le grand lit,  je dois suivre ses désirs. Je frissonne, quelques gouttes de sueur perlent sur mon dos. Fascinée, je regarde la chambre aux volets fermés, à la lumière tamisée. Les draps sont tirés, de gros coussins sont posés sur le linge blanc. Sur la table de nuit, un bandeau.

Doucement, je tire le zip de ma robe qui tombe à terre. Mes sandalettes trouvent place près du mur. Mes mains ferment le loup noir qui cache toute lumière. Comme un prostituée, j'attends, mon sexe coule, mon bas-ventre palpite, je reste debout, je suis perdue sans ma vision.

Le bruit de la porte qui s'ouvre me rend fébrile. Automatiquement je recule d'un pas.

" Non, ne bouge pas..."

L'air d'une présence me caresse, je discerne son souffle, le lit grince un peu, il s'est assis. Dos face au lit, je patiente, il a le loisir de me regarder. Privée de la vue, mes sens sont en éveil. Ma tête n'est que bourdonnements, ma peau bouillonne. J'essaie de me calmer, quand un doigt touche mon cou, un autre sépare mes cheveux longs. Je sursaute. Des mains suivent le creux de mon dos, s'arrêtent sur mes hanches rondes.

En silence, l'homme prend mes bras, croise mes poignets dans mon dos. Un fin ruban noue mes mains l'une sur l'autre. Prisonnière, je veux crier...presque apeurée. Pourtant je mouille de plaisir. Je ressens ma chatte ouverte.

Je frémis, une bouche se ferme dans mon cou, sur mes épaules. L'exploration amorce une descente dans le creux de mes reins. Je sursaute quand des doigts m'obligent à l'écartement de mes jambes. Une main se faufile entres mes cuisses, elle se pose sur mon mont de vénus. Je murmure en silence quand les lèvres de mon sexe sont séparées.

Mon être brûle de désir, ma chatte  est profonde, un doigt s'enlise, écarte mes lèvres vaginales. Je creuse ma taille, suffoque de désir. Brutalement les doigts longs masturbent mon vagin, le bruit de ma mouille casse le silence, mes murmures de plaisir s'y ajoutent......

L' inconnu tâte mes fesses rondes. Son corps se frotte contre moi, sa veste, son bassin se colle sur mon ventre. Le tissu, la ceinture de son pantalon éraflent ma peau tremblante. Des mains ramènent mes hanches vers l'avant, je ressens avec plaisir un sexe raide emprisonné. Je me penche un peu en arrière, l'homme cogne sa bite comprimée, la bosse se mouille certainement au contact de ma chatte trempée.  J'imagine......

Son souffle s'approche de ma poitrine. Mes seins sont caressés, sucés, mes tétons pointent dur.

Enfin, une main s'attarde sur ma chatte, elle malaxe mes lèvres, un doigt s'aventure sur mon bouton d'amour qui est titillé. De délicieux spasmes annoncent ma jouissance. J'étouffe mes gémissements, mais l'extase est grande. Mon sexe palpite, se serre, se desserre sur les doigts agiles profondément enfoncés dans mon vagin inondé.

Deux mains me poussent sur le bord du lit, un peu trébuchante je me laisse guider. Je frissonne quand ma peau touche le linge qui me semble froid. Les mains liées, ma vue interdite, j'obéis à l'homme qui écarte mes cuisses, plie mes jambes. Docile, pute, je me donne, écarte mes genoux.

Une langue douce pénètre dans ma chatte, elle lèche goulûment mes lèvres, mon clitoris est suçoté, mordu. Des doigts s'enfoncent encore et encore dans ma vulve gonflée.

Mon souffle se fait court, l'orgasme monte en moi, je jouis fort, mon esprit divague complètement. Je ne ressens qu'un plaisir intense, un bien-être total. Fébrile, femme fontaine, je mouille fortement, j'arrose les draps, mes cuisses. J'étouffe mes cris, mes convulsions de bonheur.

L'homme me bascule sur le côté, il délie le cordon autour de mes mains, je reste dans la position du foetus, épuisée, écoutant le battement de mon coeur. Tout est calme, le bruit sec de l'interrupteur de la lampe m'éveille.

J'ai ouvert les paupières, j'ai cherché mon inconnu,  il est parti me laissant sur le bord du lit aux draps blancs, sexe trempé, complètement émue, affaiblie du plaisir.....

Près de moi, un papier, une feuille avec quelques mots .

" Jeudi de la semaine prochaine, reviens à la même heure, ne dis rien, reste nue, sans culotte sous une jupe serrée.... "

 

 

© bisou

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Commentaires
M
Chère Lysia,<br /> <br /> <br /> <br /> Le plaisir de vous relire après cette très longue absence (de ma part), de vous retrouver, toujours aussi cochonne, obscène, impudique, salope, vicieuse, pute… et...et…( je suis à court d'adjectifs, pardonnez-moi), n'en est que plus fort. <br /> <br /> …" Cochonne, obscène, impudique, salope, vicieuse, pute", voyez-les, acceptez-les comme des compliments, à l'adresse d'une "maitresse" du sexe, d'une "virtuose du cul", pour parler clair.<br /> <br /> Oui, le plaisir de vous relire fut fort, mes érections le furent également, sinon violentes… La pine en feu, j'ai abondamment juté, giclé, alors, s'il-vous-plaît, chère Lysia, continuez !<br /> <br /> <br /> <br /> C'est la verge raide que je vous embrasse.<br /> <br /> <br /> <br /> Marc
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S
euh...comment dire...tout cela me laisse rêveur.<br /> <br /> Merci pour ce moment. J'avais l'impression d'être dans un coin de la chambre.
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B
beau texte
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